18 ans ϟ Cursus secondaire - Offensive magique ϟ Un persan (chat) roux & un hibou des marais ϟ Sang Pur
Lorsque vous croisez Anésidora dans les couloirs, il est difficile de ne pas faire le rapport. Cheveux corbeaux, teint blafard, allure soignée, avec un certain dédain dans le regard. Oui, cette jolie fille hautaine n'est autre qu'une Black, ça se lit dans ses yeux, sur son visage. Elle est la fierté de sa famille, prônant la pureté du sang comme seule souveraine, partageant les idéaux obscurs, soutenant VousSavezQui. Pourtant, elle est très différente de ce que vous pouvez penser, très différente de ce que sa famille pense d'elle. Pleine de contradictions, lunatique, on pourrait même dire qu'elle est bipolaire, sans extrapoler. Il est très difficile de cerner sa personnalité, tout simplement parce qu'elle-même ne se comprend pas. Au fond d'elle-même, elle vomit toutes ces manières propres au Black, tous ces idéaux stupides sans queue ni tête, tous ces actes infâmes menés sans aucune culpabilité, sans aucune remise en question. Elle ne comprend pas en quoi la pureté ou non d'un sang définit un sorcier, ou pire, permet de donner le droit de mort à certains sur d'autres, qui restent des êtres humains avant tout. Elle en veut du plus profond de son être à sa famille, pour toutes les raisons qui font d'eux ce qu'ils sont. Des Black. Elle leur en veut de vouer une haine sans limite à sa mère, cette même haine vouée aux « sang-de-bourbes » comme ils les appellent. Mais par-dessus tout, elle ne peut s'empêcher de les détester, en secret, pour tous ces actes qu'ils l'ont poussée à commettre.
En réalité, ils ne l'ont pas poussée à utiliser son don. Ils ne l'ont jamais forcée à entrer dans la tête de ces individus, les torturer psychologiquement, pour en obtenir les aveux, ou en obtenir le suicide. Ils ne lui ont jamais ordonné de rejoindre leurs idéaux, de se battre à leurs côtés dans cette quête du pouvoir et de la suprématie du sang pur. Ils ne l'ont jamais poussée à être comme eux. Mais a-t-elle vraiment le choix ? Si elle décidait de tout leur avouer, de les laisser entrevoir ne serait-ce qu'un quart de ce qu'elle pense vis-à-vis de tout ça, ils la renieraient, ou la rabaisseraient au même rang que sa mère, à qui ils ne se gênent pas pour mener la vie dure, à qui ils ont implicitement ordonné de ne pas être elle-même. Voilà pourquoi Anésidora fait semblant. Elle fait semblant depuis toujours. Jamais elle n'a essayé de s'interposer, de se rebeller, d'imposer son vrai moi. Et jamais elle ne le fera. Elle a choisit de feindre. En apparence, elle est donc tout ce que sa famille a toujours voulu, tout ce que son père est. Elle est leur reflet, leur création. Leur semblable. Aucun d'entre eux ne peut se douter qu'à l'intérieur, elle leur voue un mépris grandissant. Un mépris qu'ils n'ont pas réellement mérité, en soi, après tout, c'était son choix de s'abaisser à être la petite fille Black parfaite, malsaine, hautaine et présentable. A Poudlard, c'est la même chose. Lorsque vous la croisez dans les couloirs, jamais vous ne pourriez vous imaginer le passé, les pensées et l'état total de perdition d'Anésidora, qui s'est perdue dans ses propres mensonges. Si vous lui marchez littéralement sur le pied, il est certain qu'elle réagira comme son père l'aurait fait. Si vous croisez son regard, il est certain que vous le baisserez aussitôt, gênés par le mépris et la supériorité du sien. Pourtant, rien ne l'empêchera d'être en bonne entente avec un né-moldu, en aucun cas vous ne la verrez le maltraiter, comme son père l'aurait fait, et aurait voulu qu'elle le fasse.
Fort heureusement, à Poudlard, sa famille n'est pas là. Et même si elle s'efforce de faire bonne figure au sens des Black, de garder les apparences, de masquer sa réelle personnalité, elle se sent libre d'agir un minimum comme elle le souhaite. C'est ainsi que si vous apprenez à la connaître, vous découvrirez une jeune fille altruiste, généreuse, à l'écoute, et fragile – bien que ça, elle ne le montrera sûrement jamais et préfère être seule en compagnie de son patronus ailé pour se laisser aller à des moments de faiblesse. En réalité, si l'on fait abstraction de son appartenance à la lignée des Black, elle semble être tout ce qu'il y a de plus normal. Elle est sociable – lorsqu'elle n'est pas en train de revendiquer son rang -, elle a le sens de l'humour, a des amis, des phobies, des lubbies. Elle s'est toujours impliquée dans ses études, pour satisfaire ses parents. Mais certaines périodes sont plus fructueuses que d'autres. A certains moments, elle se laisse emporter par son mal-être et offre de vilaines notes à ses géniteurs. Mais en général, elle connaît le mot Optimal presque par cœur, et a passé ses Buses et dernièrement ses Aspics avec succès. Elle a d'ailleurs choisit le cursus d'Offensive magique, tout simplement parce que ça lui offrira l'opportunité dont elle a besoin pour enfin voler de ses propres ailes. Son père s'est avéré être ravi par son choix, répétant à tout le monde que cette section va leur former une véritable alliée de taille. Pourtant, elle compte utiliser ses connaissances pour le bien, et non le mal. Lorsqu'elle sera à la hauteur, elle pourra enfin se défaire de ses chaînes, sortir de ses mensonges, et devenir elle-même, au grand jour. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle elle n'a plus aussi peur qu'avant.
a little something from you.
Les deux patronus d'Anésidora sont tellement différents l'un de l'autre. Lorsqu'elle y réfléchit bien, elle ne peut s'empêcher de penser que chacun est le reflet d'un côté de sa personnalité. Le premier, sublime persan roux, reflète d'après elle son moi extérieur. Adorable en apparence, il est en réalité d'une agressivité certaine. Il cherche la bagarre avec chaque patronus qui a le malheur de croiser son chemin. Heureusement, ça ne dépasse pas de simples regards. Alors oui, il lui fait penser à elle, d'apparence sournoise, hautaine. C'est un peu son côté Black qu'elle lit en lui. Prenez garde lorsqu'il est d'apparence brumeuse, car c'est le signe qu'Anésidora est furieuse. Et dans ces moments-là, mieux vaut ne pas l'approcher. C'est d'ailleurs un lien étrange qui les lie. Lorsqu'il s'adresse à elle, par la pensée, il passe la plupart de son temps à essayer de la culpabiliser, de la pousser à faire des choses qu'elle ne désire pas. Il lui rappelle un peu son père, en fait. Pourtant, il ne supporte pas lorsque quelqu'un s'approche d'elle, et serait le premier à réagir si elle se trouvait en danger. Et puis, ne dit-on pas qu'un chat retombe sur ses pattes ? Une expression qui correspond si bien à Anésidora. A l'inverse, son second Patronus reflète la partie secrète de sa personnalité, son intimité, en quelques sortes. C'est d'ailleurs pour cette raison qu'elle supporte mal son apparition. On dit que hibou est symbole de tristesse, d'obscurité, de retraite solitaire et mélancolique. Et malheureusement, cela s'avère vrai. En effet, il apparaît le plus souvent dans les moments sombres et pesants. Par exemple lorsqu'Anésidora se sent mal, coupable, il sera là, à ses côtés. Mais elle apprécie sa compagnie. Car à l'inverse du persan, il trouve toujours les mots qu'il faut pour la rassurer, il la soutient. Et puis, il apparaît également dès que la lumière s'éteint pour laisser place à l'obscurité, sa présence est donc normale dans les yeux des autres sorciers de l'école, elle n'a donc pas à avoir peur qu'ils découvrent ses moments de faiblesse.
This one moment when you know you're not a sad story.
« Attends, mais tu ne te rends pas compte ! T'es une Legilimen, c'est un don ! Tu peux entrer dans la tête de n'importe qui, savoir ce que les gens pensent de toi ! Quelle chanceuse. » Anésidora resta sans voix. Elle restait là, à le fixer, silencieuse. Il ne comprenait pas, bien sûr qu'il ne pouvait pas comprendre ! Elle essaya de garder son sang froid, car elle se devait de faire bonne figure. Il ne fallait pas craquer. Alors, dans un soupir, après avoir pris une grande inspiration, elle répliqua, froidement. « Arrête tes délires. Tu ne sais pas de quoi tu parles. L'idée que tu te fais est totalement erronée. Et c'est loin d'être un don, c'est un fardeau ! Alors lâche-moi avec ça, tu veux ? » Observant son air perplexe, elle savait qu'il ne comprenait pas sa réaction. Mais il ne savait pas ce qu'elle avait fait. Et personne au monde ne devrait avoir à vivre avec ça sur la conscience.
~
5 juin 1977.
« Mais puisque je te dis qu'elle a des informations en sa possession qui risqueraient fort de tous nous compromettre ! » La femme semblait inquiète, terrifiée. Son interlocuteur n'était autre que le père d'Anésidora, Oscar Black. « Arrête de paniquer pour rien, Helena. Nous n'avons aucune preuve. » Elle le coupa sèchement. « Et alors ! Est-ce que ça nous a bloqué auparavant ? Non. Alors qu'est-ce que tu attends pour appeler ta fille ?! On a BESOIN d'elle, besoin de ses capacités. » Voyant Oscar, perplexe, elle ajouta, sur un ton plus doux. « Bon, très bien. Si tu veux, on lui demandera dans un premier temps de rechercher dans sa mémoire une trace de ces informations. Si cela s'avère exact, il faudra qu'elle le fasse. » Postée derrière la porte entrebâillée, Anésidora avait tout entendu. Elle ignorait si elle devait annoncer sa présence, ou faire comme si elle n'était pas là. Elle mourrait d'envie de se dévoiler, de leur dire que non, elle ne ferait pas ça. Non pas parce qu'elle ne voulait pas, car cette excuse lui attirerait bien des ennuis, mais parce qu'elle ne le pouvait pas. Elle ne contrôlait pas bien son don. Il était très difficile pour une fille de seize ans d'y parvenir, aussi douée soit-elle en sorcellerie. C'est alors que le parquet grinça sous ses pieds. Les deux adultes se retournèrent en choeur vers la porte. « Tu as tout entendu, pas vrai ? » Elle acquiesça. « Parfait. Approche Ané. » C'était le moment où jamais. « Mais, père. Je n'y arriverai pas ! Il m'est impossible d'y parvenir sans dommages, je ne contrôle pas assez la Légilimencie pour parvenir à vos fins.. » Il répliqua, sèchement. « Silence. Tu es une Black, n'est-ce pas ? Alors tu y arriveras ! Je n'ai pas passé toutes mes vacances à t'y entraîner pour rien. Dans deux jours, ce sera le moment de me montrer ce que tu sais faire, de nous montrer que tu es digne du nom que tu portes.»
7 juin 1977.
Elle aurait dû s'en douter. Se douter que tous ces moments passés avec son père avaient un but précis : celui de servir les intérêts de la famille. Après tout, c'était une Black, il fallait faire avec. Elle n'avait pas le choix, elle ne pouvait pas rebrousser chemin. 75 Lindoln Street. Elle y était. Bien sûr, elle n'était pas seule. Son père, sa tante et son cousin avaient tenus à l'accompagner. Officiellement, ils étaient là afin de réagir si les choses venaient à tourner mal, mais Anésidora savait pertinemment qu'ils étaient là pour vérifier qu'elle irait bien jusqu'au bout, et assister à sa victoire. Elle se sentait faible, hésistante. Elle savait que sa soeur n'aurait pas hésité, ou que son frère aurait affirmé son opposition, son refus de commettre cet acte. Mais elle n'était pas comme eux. Elle ne partageait pas les mêmes idéaux que sa soeur, et n'était pas assez forte pour se rebeller contre son propre père. Elle avait toujours été comme ça. Depuis toute petite, elle avait toujours dit oui, à tout. Elle voulait plaire à ses parents. En grandissant, elle n'avait jamais été duppe. Elle savait comment sa mère se faisait traiter, elle savait comme son frère était mal vu de la famille. Et elle ne voulait pas être dans la même situation qu'eux. Sa mère, Manon, était comme un repère pour elle, une confidente qui lui permettait de ne pas devenir folle. Elle pouvait parler librement, car Manon avait la même façon de voir les choses. Et pourtant, la jeune Black avait du caractère. A Poudlard, elle ne se laissait pas marcher sur les pieds, et rabaissait quiconque osait s'approcher. Cette bassesse, cette habitude à toujours exécuter les ordres, explique d'ailleurs pourquoi, dans l'enceinte de l'Ecole de Sorcellerie, elle ne supportait pas qu'on lui donne des ordres, et a enfreint le règlement à plusieurs reprises. Elle n'eut pas le temps de penser qu'ils avaient déjà enfoncé la porte. La politesse selon les Black. La pauvre dame se trouvait là, le regard effrayé, tremblante. Elle semblait les avoir attendu toute la nuit. Elle ne dit pas un mot. « Qu'est-ce que tu attends ? » lui dit son cousin, la poussant en avant. Anésidoria se trouvait face à cette femme. Cette femme qui la suppliait du regard. « Concentre-toi. » lui souffla son père. Elle aurait aimé présenter ses excuses à cette dame, mais elle ne devait montrer aucun signe de faiblesse. Elle se rappela alors les jours d'entraînement avec Oscar. « Il faut que tu te détendes, que tu te relaxes. Comme si tu avais fait ça toute ta vie, comme si c'était un geste quotidien sans intérêt. Et concentre-toi. Visualise mes pensées. Rentre dans ma tête. Explore tous les recoins. » Alors elle laissa la pression retomber, faisant abstraction de tout ce qui l'entourait. « Pitié, pitié. Vous avez un bon fond, ça se voit dans vos yeux. » Anésidora se crispa. Elle savait qu'elle avait raison, que c'était mal, que ce n'était pas elle. Elle ignorait même pourquoi elle se trouvait là. « Vous ne me connaissez pas. » Elle s'était déconcentrée, et avait perdu l'emprise qu'elle avait sur la veille femme. « Ressaie. » Un ordre, sec, distinct, clair. Elle ne pouvait pas les décevoir, de toute façon, il était trop tard. Elle aurait donné n'importe quoi pour leur mentir, leur dire qu'il n'y avait rien. Mais les informations étaient trop précieuses, trop compromettantes. Et si elles arrivaient entre de mauvaises mains, ils étaient tous en danger, y compris elle. « Elle sait tout. » Après avoir entendu Helena dire à Oscar qu'elle avait eu raison, les deux mots qu'elle redoutait furent prononcés. « Fais-le. »
~
« Pourquoi cette réaction, Ané ? Qu'est-ce qui se passe ? » Ce qui se passe, c'est que j'ai infligé de terribles séquelles à cette pauvre femme, qui n'avait rien demandé à personne. J'aurais pu mentir, faire demi-tour, mais je ne l'ai pas fait. Et je l'ai torturée, mentalement, en mon âme et conscience. Je l'ai forcée à tout avouer. Elle pleurait, elle hurlait, elle me suppliait. Et j'ai continué, encore et encore. Je ne sais même plus bien les choses que je l'ai forcée à vivre. Je sais juste que je l'ai rendue malheureuse, que je lui ai fait ressentir toutes sortes de sentiments, horribles, les pires qu'ils soient. Je l'ai poussée à revivre la mort de son fils, à se voir mourir de la main de Voldemort, je l'ai détruite. Je déteste ce don, parce qu'il m'a fait faire des choses affreuses. Parce qu'en l'utilisant à mauvais escient et avec trop peu d'entraînement à mon actif, j'ai ressenti exactement ce qu'elle ressentait. Comme un miroir, ou un boomerang. C'est loin d'être facile, d'être Légilimens. Tu n'oses pas imaginer à quel point. Je suis brisée, partagée entre la fierté de mes parents, et mes propres choix. Ça, c'est ce qu'elle aurait aimé répondre. Ce qu'elle n'a jamais dit à personne, sauf à son patronus, qui l'écoute et ne la juge pas. Mais elle secoua la tête, la releva, afficha cet air fier propre aux Black, et sourit. « Rien. »
Tell me who you really are.
ϟ pseudo et âge: UreDazzled, 18ans ϟ Où as-tu trouvé le forum? Bazzaaaart ϟ Personnage: Inventé ϟ Présence: Régulière ϟ Une remarque? MUUUFASSAAAA
Dernière édition par Anésidora S. Black le Jeu 31 Jan - 22:49, édité 24 fois
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Re: Anésidora S. Black ♦ You can't judge a book by its cover.
SOEUR MAIS TU ES MAGNIFIQUE bon, je dis soeur, mais tu pourrais très bien être une cousine. enfin, faudrait quand même tout voir par mp, histoire de toute faire faire hésite pas à m'en envoyer un, sinon, je pourrais toujours te résumer bientôt (car je m'envole bientôt) les grandes lignes de la famille (à).
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Re: Anésidora S. Black ♦ You can't judge a book by its cover.
Merci beaucoup à tous :jump: Quel accueil ! Mykaela, merci beaucoup, je te retourne le compliment Alors justement, je t'ai devancée et je t'ai déjà envoyé ce fameux mp :pacman: Hâte de recevoir ta réponse
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Re: Anésidora S. Black ♦ You can't judge a book by its cover.
Oui, c'est ce que je trouvais aussi *-* Je l'ai trouvé sur bazzart, il faudra que je retrouve le nom de la personne qui l'a fait Merci beaucoup, tu le découvriras très vite D'ailleurs, j'aurais besoin de vos avis : je viens de m'apercevoir que le prénom Pandora a également été choisi pour un scenario, devrais-je en changer? Si oui, avez-vous des propositions?
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Re: Anésidora S. Black ♦ You can't judge a book by its cover.
Si tu pouvais en changer, ça serait bien effectivement, le doublage de prénom étant interdit Je connais un site excellent pour les prénoms, tu peux classer pas nationalité, sexe, usage et il y a même la signification de chacun bref, c'est [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
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Re: Anésidora S. Black ♦ You can't judge a book by its cover.
Sachant que Pandore (ou Pandora) était le prénom de la première femme dans les croyances grecques, tu peux utiliser celui d'Eve (et toutes deux sont à l'origine des maux de l'humanité, n'est-ce pas formidable).
Dans un sens plus imagé encore, Aphrodite ou Lilith peuvent fonctionner. Vu que Pandore est en fait la traduction du feu des désirs qui causent le malheur des hommes. /part loin
Aussi, Anésidora est un second prénom donné à Pandore que je trouve très joli. (a)
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Re: Anésidora S. Black ♦ You can't judge a book by its cover.
Merci Daedra, c'est vrai que le site est vraiment génial Wow, que de connaissances Erachteus, c'est bon à savoir ! J'ignorais tout ça J'aime beaucoup Lilith et Anesidora. J'ai également trouvé Aenor, que j'aime beaucoup, ou Helena, pour plus de simplicité. Quelles sont vos préférences? (Oui, j'ai du mal à me décider ) Et merci beaucoup Madenn !
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Re: Anésidora S. Black ♦ You can't judge a book by its cover.