Cet homme est vide, c'est le néan qui l'habite jamais il ne ressent quoique ce soit si ce n'est pas mon biais et encore ...C'est bien mince. Voilà son premier trait distinctif qui se profile, léandre est un insensible au sens propre du terme rien à voir avec ces pauvres garçons en manque d'assurance qui cherche à ce donner des airs de colosse. C'est plus frot que lui il ne peut que mimer ces sentiments qu'il à jadis ressentis. Les scènes les plus déchirantes ne l'ont jamais fait se morfondre mais un pincement occasionnel était possible maintenant il reste stoïque. La sensiblerie n'est donc simplement pas sa tasse de thé puisqui'il en est incapable. Avec cette chute sont parties toutre trace de romance, même si l'art de la séduction n'est selon lui qu'un bon jeu de rôle tout ce qui pouvait être découlement directe de l'amour, de l'amitié n'est plus.. Il n'éprouve plus le besoin de demander des nouvelles à ses tiers importants ou pas ou bien même à connaître les fin fonds des histoires en tout genre qui circulent à Poudlard, écouter la vie des autres ne l'égaye même pas néanmoins il écoute jusqu'au jour il pourra en user voir le retourner contre vous à votre insu. Oui, Léandre semble parfois ailleurs perdu dans des songes que l'on devine morne mais il a toujours une oreille plus attentive qu'on l'imagine. Il est là sans être là mais rien que sa présence physique devrait trahir ses véritables intensions. Ce garçon sait apprécier la compagnie des autres dès lors qu'ils se taisent ou qui ne l'interrompe pas dans une activité à laquelle il s'abandonne avec complaisance, à mon image il me semble il apprécit mettre le doigt où cela fait mal il a tout de même les vestiges d'un sadisme à son paroxysme par son passé. McLeod aime être stimulé, il adore sentir son esprit se vivacifier et sentir en moi l'esprit du chasseur se réveiller. Il aime les énigmes dès l'instant qu'il les orchestres lui même et pourvu qu'elles aboutissent à une fin tragique. C'est un joueur qui joue avec ses propres règles autrement dit il décide et vous faîtes. L'opposition ne le gêne plus maintenant qu'il a perdu sa vanité mais il aime s'imposer pour se sentir vivant ainsi il vous fera plier par l'autorité première, la violence seconde et si vous avez encore de l'audace, l'humiliation dernière. Léandre a besoin de se sentir le dominant par simple habitude bien qu'avant il en tirait une réelle satisfaction et un plaisir malsain. Autruis lui sert aussi, dans votre soumission forçée ou votre faible caractère entendez le comme bon vous semble le brun n'hésitera à vous quémander des services sous le joug de sa nonchalance ou de sa flemme, si une basse besogne lui ait confié il pourrait très bien vous la confier idem pour bon nombre de ses devoirs à rendre et autre nécessité de l'enseignement. Il ne porte pas d'intérêt au travail puisqu'il est assez intelligent pour s'en sortir et assez futé et malin pour combler les possibles lacunes qu'il peut avoir en certaine matière. En dépit du fait qu'il ne soit qu'une coquille vide, McLeod vise les hauteurs, pour sa famille, pour l'image de celle-ci il veut devenir chef du département des mystères ou .. modestement ministre de la magie. C'est un garçon ambitieux bien trop pous ses sombres passe temps. Comptez parmis l'attrait du pouvoir et ce qui en découle, la pratique de la magie noire, les arts occultes ... les potions soupçonneuses... Léandre se fiche de l'image que les autres ont de lui, il ne ressent plus la honte ni l'humiliation. Pour lui tout se résume à un jeu de soumission et domination malsain. Sa fourberie lui confère des travers mielleux, tel la vipère qui s'imisse lentement entre les herbs en se rapprochant dangerusement de vos mollets. C'est un peu l'attitude du garçon avec les autres. Il se rapproche du pouvoir, du groupe de tête de Poudlard et particulièrement de sa maison pour avoir une place confortable et dans cette image intacte de figure emblématique frappé comme bon lui semble, indirectement ou directement verbalement ou physiquement. Ha voilà un point à savoir ! Léandre peut être définit autant que sado que de maso, disons le franchement il rcherche les sensations dans la douleur, dans le charnel puisqu'il ne ressent plus que cela. Il est bien entendu égoïste avec autruis, déloyal au plus haut point les coups bas il aime ça et parfaitement imperméable. Vous pourriez lui balancer les pires saloperies au visage si je n'étais pas là il n'en ferait rien ! Après mon intevention vous finirez surement en sang cela dit .. Enfin passons, il n'est pas possessif, il n'est plus jaloux et ne peut plus vraiment être fidèle. La fidélité est une règle morale qu'une fois briser provoque une grand eculpabilité pour certain... Lui bien sur il nepeut plus la ressentir et ne brillant pas de par sa moralité, je vous laisse deviner le reste. En amitié, j'espère que vous avez un nom connu du genre "Malefoy" ou encore "Gaunt" sans quoi vous pourriez éventuellement entrer dans un cercle d'utilité physique mais sans plus. Le gaillard a bien compris le fonctionnement de la société : marche ou crère, écrase ou fais toi écraser. Il l'applique naturellement. La peine que vous voudriez lui infliger sera en vain c'est une souche de bois coupé, il n'y a plus d'écore à dépeucer. La conséquence principale de sa maladie reste tout de même ce don conférait pour la manipulation. Chaque lipe, chaque sourire, chaque regard est finement et murement réfléchis, c'est un acteur on ne peut plus doué et un menteur avéré. Il peut vous farinez jusqu'à ce que vous y perdiez mais la plupart du temps lorsqu'il n'y a pas de gain véritable et matériel il reste franc et n'est pas du genre à rester silencieux lorsqu'il à une remarque à faire, il l'a fait. A vos risques et périls. Parlons maintenant de son comportement général en société, de ses approches qui font de lui ce qu'il est Léandre McLeod. Autant il peut être autant il peu être des plus remarquable, Léandre est souvent perçu comme un provocateur. Alors que cela est parfaitement faux sachez-le ! Il sait se tenir, il applique généralement les codes de politesse qu'on lui a inculquer et respecte les jeunes femms pouvant se montrer galant mais à Poudlard c'est autre chose. Il brise les espaces vitaux par une proximité génante, il peut vous aborder d'une manière parfaitement inattendue en fonction de ce qu'il attend de vous ou de l'image que je lui conseille d'adopter. Son comportement est toujours un jeu de rôle ne l'oubliez jamais. C'est un homme maléable tout en étant inflexible dans ses idées ancrées depuis sa jeunesse et qui lui sont restées. Les sangs-impurs sont tolérables mais très difficilement, les sang de bourbe n'ont pas lieu d'êre et les moldus sont infâmes, l'homosexualité ? Une foutaise ! Les elfes de maisons libre ? Pffeuh ! Bref de bonnes vieilles idées préconçues et conservatrice auxquelles il ne déroge jamais, bien trop dans le moule familiale et en dépit de cela grandement attaché à sa fratrie ou presque. C'est surement les seuls à hériter d'un profond respect de la part du jeune homme, ses grands frères de l'aîné aux triplets jusqu'à Cassio puis Matthew ainsi que Lewis..Lysander et Violett ? Non sans façon. Par le passé dans sa jeunesse adolescente s'était une vraie admiration qui leurs donnaient mais avec le temps c'est devenu plus distinct mais tout aussi franc. Enfin quand à ce qui de la compétition et autre fadaise en tout genre, Léandre ne ressent plus le besoin de perdre ou de gagner, il n'est par conséquent .. plus mauvais joueur, il s'en tape et c'est tout. Des rivaux ? SI certains veulent le prendre comme tel pourquoi pas pour lui ce ne sera qu'un idiot trop crédule pour penser égaler un McLeod. Oui, il est très fière de son sang et de son nom par habitude plus que par sentiment bien entendu. Léandre a l'esprit sportif par le besoin de s'entretenir, l'élégance le raffinement c'est son truc ou presque... Il pense également que le sport lui donnera quelques sensations ce qui pourrait être possible si on le laissait à nouveau intégrer l'équipe. Enfin McLeod n' a plus la notion de danger ce qui le porte à être dangereux pour nous comme pour les autres mais ce n'est pas du courage venant de lui c'est de l'inconscience. D'un point de vue extérieur Léandre est l'archétype parfait du garçon énigmatique qui fait chavirer les coeurs d'un moindre regard, distant, l'allure haltière, ce regard de mauvais jeune homme ... Pffiouh ! Il en crée des émois et il faut l'admettre cet animal a du charme dont il sait jouer. Une arme au service de ses manipulations les plus douteuses fruit de ses caprices les plus caractériel. Léandre contrairement à ce que l'on pourrait penser n'accumule pas les ennuits, non il sait s'en tirer de manière très rusée ou simplement en rejettant la fuate sur autrui. Il n'avoue jamais sa sa faute même si vous l'aviez vue faire. Nous finirons sur une note positive .. ou pas Léandre se lasse assez vite ce qui fait qu'il n'est pas persévérant cela dit une chose qui lui a résistée pourra toujours être rententée quelque mois plus tard le temps que l'intérêt naisse à nouveau et que ma rancune personnelle retombe.

Montaigne tel est son nom. Pourquoi ce nom ? Pourquoi pas tout simplement. Cette chose m'a évoqué dès ses premiers mots ce nom, je n'ai pas à me justifié. Lorsqu'il est apparût à mes cotés ce devait être aux alentours des vacances de Noël de l'année 1978. Nous avions eut le droit à un repas de famille fastidieux et alors que je regagnais ma chambrée il était là. Flottant et brumeux ce regard placide et carnassier, il me regardait. Il ne fut pas chose aisée pour moi de l'accepter. Je ne le voyais que comme un poisson, un poisson quelque peu hargneux je dois l'avouer mais un poisson tout de même. Ses dents pointues faisaient l'objet de toutes mes contemplations puis ces écailles par endroits sinueuses laissant planer une impression de lutte passée..C'est Lysander et son horrible volatile bleu qui me fit néanmoins adorer ce que quelques jours plus tard le ministère appelait : patronus. Mon piranha car Montaigne n'était que cette horrible bestiole mauvaise jusqu'à la pointe de queue écailleuse s'avériat tout ce que je n'étais plus. Vous l'apprendrez plus tard mais les aléas de la vie firent qu'à présent 'jétais atteint d'une maladie, je n'avais plus aucune espèce de sentiment. Montaigne lui en avait ... il me les transmettaient lorsque l'intensité suffisament forte de ces derniers arrivaient tant bien que mal jusqu'à mes méandres graciées de vie. Il était donc en quelque sorte une ramparde face à mes maux les plus profonds et c'est ainsi que j'acceptais sa présence. Un accord tacite entre lui et moi ? Plus vraiment même si sur nos débuts cela pouvaient y paraître. Les premières semaines furent douloureuses pour nous deux, nous n'arrivions pas à cannaliser ce besoin de domination qui me faisait haïr ses interventions inopinées dans ma tête. Jusqu'à ce que je comprenne qu'il était tout mon être, qu'il était moi, non pas seulement une partie mais totalement. Montaigne était l'inespéré, il était l'être qu'avant lui j'avais été mais maintenant oublié. A la fois mon inconscient et mon jadis, l'ancien Léandre renouait avec le futur. A force d'observation silencieuse je compris bien vélocement qu'il avait ce même comportement d'apparence calme mais prêt à déferler une vague d'agressivité gratuite au premier venu rythmée de quelques violences. Un calme troublée par une aura étrange malsaine comme-ci il ne cherchait qu'une chose votre humiliation, votre maux, votre souffrance. J'ai rapidement remarqué que les autres étaient son enfer autant que sa jouissance. En quelque sorte c'était à la fois son terrain de jeu nourissant son plus profond sadisme et ses plus profondes souffrances faisant bien trop souvent naître des impératifs contre son grès. C'est à cette occasion que je perçu sa flegme quant aux tâches qu'autrui pouvait lui léguer et de l'intérêt naissant lorsque quelque chose l'intéréssait ou même le stimulait de part une quelconque naussivité tapis pour les autres. Cela lui donnait des travers capricieux qui me sied si bien par le passé .. Il aime voir l'exécution de sa volonté et pourrait même s'en montrer particulièrement insistant à votre égard, il a de nombreuses fois tenté de m'escalvager comme je le fais avec les personnes qui peuvent m'être util. Il aime le conformisme et partage les idées de notre famille, il ne caresse des doigts que les hauteurs et ne tolère aucune remise en question. Au service de ses idées il est mordant lorsque l'on s'oppose à lui, il ne supporte pas l'opposition, ni même l'insolence envers lui. Ce poisson a la sale manie de prendre pour ce qu'il n'est pas quoique dans la mesure où il est moi je conçois que cela lui donne des ailes. Il aime diriger et tyraniser, il aime se moquer, ridiculiser. Montaigne n'est pas plus franc que je ne l'étais pas le passé. Il a tendance à me conseiller de toujours huiler l'égo de mes tiers et que la subtilité est une arme ... Il dit que peu importe les moyens seule la fin ne compte. Il réagit à chaud c'est un gros défaut que je souligne là et peut-être le plus problématique pour nous deux. Lui il ressent des sentiments et comme moi avant lui il n'hésite pas ) crever les abcés lorsque l'occasion se profile, il poignarde dans le dos pour une vengeance sanglante et ironise carnassier pour humilier tout de suite. ENcore quelques bribes de ce qu'il est, Montaigne ne supporte pas qu'on l'importune quoiqu'il fasse amis adorera vous faire royalement chier par tous moyens. Il jubile des bassesses les plus odieuses, il se délècte des actes les plus violents et se complaît lorsqu'il ouït des parloes vexantes, c'est un sadique. Un carnassier qui aime le sang, il aime traquer. Souvent pour le plaisir nous prenons des proies en chasse jusqu'à-ce qu'elle craque, ça l'amuse .. et quand le poisson est gros il m'arrive de ressentir son plaisir. Sur ce point il n'est pas égoïste puisque c'est partager avec lui même, mais aps d'altruisme, pas de bon sentiment. Vous n'êtes qu'une pièce dans son échiquier où il est le Roi. Il a le sens du sacrifice quand le sacrifice est d' autruis et donne de sa personne pour ses propres caprices. Il est fasciné par ce qui nous rend plus fort, ce qui nous fait trépigner, les essais occultes, les potions douteuses , les lectures interdites. Montaigne ets un monstre celui que j'étais avant, avant de devenir celui que je suis devenu maintenant. Il est à présent temps de connaitre pour vous sa deuxième forme une splendide et velue mygale géante. Un pelage noir de geais, huit pattes, huits yeux ... la trahison même de mon observation actuelle, de ma fourberie, de cette sale manie que j'ai de m'entourer de gens utils, de personne au beau nom, de cette façon que j'ai d'être partout et nulle part à la fois.