BELLUM PATRONUM
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Version 34
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Groupes fermés
Les sang-purs étrangers sont fermés. Redirigez-vous vers les familles de la saga ou des membres.
équilibre des groupes
Nous manquons d'étudiants, de membres des partis politiques Phénix et Gardiens. Nous manquons également de Mangemorts.
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| i am not quite sure when it began, this thrumming, humming in my chest, this mad craving, this exquisite ache (lip) | | | i am not quite sure when it began, this thrumming, humming in my chest, this mad craving, this exquisite ache (lip)par Invité, Mer 7 Jan - 23:29 ( #) | Philip "Lip" Heath Jacobsen ft. Douglas Booth Né-moldu Dix-neuf ans Célibataire Hétérosexuel deuxième année d'offensive magique panthère nébuleuse et buse montagnarde pro ordre du phénix shiya & tumblr | |
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] À propos Nom: Jacobsen, nom aux lointaines origines danoises, origines qui se sont perdue depuis longtemps puisque sa famille vient strictement du Royaume-Uni à présent. Prénom:Philip, prénom qui lui a valu de se faire surnommer Lip depuis son enfance, et Heath. Âge et Date de Naissance: il est âgé de dix-neuf ans, étant né le vingt-six novembre 1961, à Godric's Hollow, au Royaume-Uni. Le fait qu'il s'agit d'un village semi-magique est une pure coïncidence. Nature du sang: né-moldu, statut dont il a souffert toute sa vie. Situation familiale: il est l'ainé de cinq enfants, n'ayant que des frères si on exclu la petite dernière, la seule à être sorcière, comme lui. Ses parents lui ont annoncé aux vacances de Noël qu'ils souhaitaient divorcer. Patronus: une panthère nébuleuse, qu'il a baptisé Hera, ce qui veut dire guerrière en grec. Il a conservé cette unique forme jusqu'à la peste des patronus. Miroir du Rised: lui-même, sa petite sœur sur les épaules, comme il le faisait lorsqu'elle était plus jeune. Epouvantard: lui-même, la marque des ténèbres au bras, chose improbable mais qui l'effraie tout de même. La perte de son identité au profit de ceux qu'il déteste, en somme. Composition de la baguette magique: bois de tremble et cœur de crin de licorne, elle mesure trente-trois centimètres. Etudes Suivies: deuxième année d'offensive magique, sous-cursus offensive, options arts occultes et legilimencie. Animal de compagnie: aucun. | Caractère Attentionné : il l’est particulièrement avec les proches, les faisant souvent passer avant lui même. Son enfance passée à défendre sa sœur auprès de ses frères et plus tard des sang-pur l’a aidé à forger ce trait de caractère. Il a donc tendance à se montrer extrêmement protecteur et est dévoué envers ceux qu’il aime. Possessif : cependant, il peut également se montrer trop protecteur et a parfois tendance à devenir possessif et assez jaloux. C’est quelque chose qu’il essaye parfois de masquer mais qui est assez évident. Egoïste : pour ce qui est du reste de ses relations, il ne sait pas comment se montrer généreux. Il partage peu malgré le fait qu’il défendra toujours quelqu’un qui en a besoin. Froid : dans cette optique, il peut se montrer assez froid envers les autres et ne mâchera pas ses mots, sortant de manière directe ce qu’il pense. Il peut se montrer assez dur, parfois sans véritablement le vouloir, souvent de manière intentionnée. Fier : il est particulièrement fier, surtout auprès des sang-pur et baisse rarement les yeux. Il cherche souvent à avoir le dernier mot, en particulier avec ceux qu’il méprise et abandonne rarement un débat. Hypocrite : il peut se montrer assez hypocrite, bien que ce soit rarement voulu et sa fierté le pousse à ne pas reconnaître ses tords, bien qu’il soit le premier à pointer du doigt ceux des autres. Impatient : il est incapable de rester calme s’il attend quelque chose et déteste que ce soit le cas, ce qui fait qu’il peut se montrer très nerveux. C’est également pour cela qu’il évitera de tourner autour du pot pendant des heures. Imprudent : cela veut également dire qu’il est assez impulsif et par conséquent, imprudent. Il regrette rarement ses décisions cependant. Indépendant : il ne pense pas avoir besoin de qui que ce soit pour l’aider à faire quoique ce soit et préfère être laissé tranquille la plupart du temps, préférant rester souvent seul malgré le nombre d’amis qu’il a pu bien se faire. Il déteste également qu’on lui dire quoi faire. Impassible : il ne montre que rarement ses émotions, surtout lorsqu’il se fait insulter et préfère faire comme s’il n’en avait rien à faire plutôt que de montrer qu’on l’a blessé. Susceptible : cela ne l’empêche pas de se vexer facilement, bien qu’il ne le montre pas, si l’on exclu les insultes sur son sang qu’il a arrêté d’écouter depuis longtemps. Intolérant : il déteste l’injustice et la dénoncera toujours. Cependant, il ne se rend pas compte que lui même pense que les sang-pur ne sont pas dignes d’intérêt. Il se pense à tord plus juste qu’eux alors qu’il ne l’est clairement pas. Rancunier : il ne supporte pas qu’on le trahisse et il est très rare qu’il le pardonne. Il a tendance à croire que ceux qui se paye sa tête le referont et a tendance à couper les ponts avec eux. Réaliste : il est souvent assez pessimiste, ce qui a tendance à énerver son entourage. Il a simplement tendance à se croire réaliste et terre-à-terre. Passionnel : il défend avec passion ses opinions et se sent certainement plus impliqué qu’il ne devrait l’être. Colérique : il a donc tendance à s’emporter trop vite, trop fort, lorsque l’on s’attaque à quelque chose auquel il tient et devient très rapidement violent. Il a du mal à savoir quand s’arrêter. | Patronus Il est allongé sur son lit dans sa chambre, sa baguette tournant entre ses doigts appliqués, lorsqu’elle apparaît pour la première fois. Il a l’autorisation de faire de la magie en dehors des murs de l’école depuis des mois déjà et il l’utilise principalement pour faire plaisir à sa sœur, qui n’a pas encore cette chance, et pour crâner devant ses frères, qui prétendent ne pas être intéressés uniquement pour le provoquer. Au début, c’est une lueur bleutée qui éclaire un coin de sa chambre et il n’y porte pas attention, persuadé que cela vient de l’extérieur, persuadé que cela ne mérite pas qu’il déplace ses prunelles. La lueur s’éteint et il n’y prête pas plus attention, marmonnant quelques mots pour attirer jusqu’à lui un livre, qu’il lâche finalement par terre. Ce n’est que lorsqu’il sent un poids s’ajouter à sur son lit qu’il se redresse brusquement. Son regard se fixe avec effroi sur la panthère qui s’est confortablement installé là, allongée sur son lit. Il a un brusque mouvement de recul et pointe sa baguette sur l’animal, hésitant sur l’action à prendre. Finalement, il pense fort aux mots et le sort pétrifie immédiatement l’animal. Il ne veut pas prendre le risque qu’il l’attaque mais à présent qu’il est hors de danger, il fait quelques pas en avant. Il ne comprend pas ce que fait une panthère dans la campagne anglaise. Après un instant, il est certain que l’animal ne bouge plus d’un millimètre. Doucement, il le prend dans ses bras, décidé à le remettre dans la nature et à le libérer de son sort une fois éloigné. Mais lorsqu’il essaye, l’animal se met à parler. Dans son esprit. Après plusieurs minutes, voire quelques heures à paniquer à l’idée de devenir dingue, il comprend que la panthère dit la vérité. Qu’elle est son patronus. Il comprend très vite qu’elle a un caractère bien à elle. Elle boude souvent, comme après qu’il l’ait pétrifié, juste pour l’effet. Mais le reste du temps, elle ne parle que très peu. Elle devient sa plus grande alliée. Il l’appelle Hera, guerrière en grec, parce que cela lui va bien. Et il comprend également qu’elle n’est pas comme les autres patronus. Elle ne change jamais de forme. Il ne sait même pas si elle en a une autre. Elle ne lui dit pas. |
Pseudo et âge: cosmic dust, laura, 21 ans Où as-tu trouvé le forum ? je me le demande Personnage: scénario, kind of As-tu un autre compte sur BP ? athanasia, romy et zahra. Présence: un peu trop beaucoup. Une remarque ? |
Dernière édition par Philip H. Jacobsen le Dim 15 Mai - 12:40, édité 6 fois |
| | Re: i am not quite sure when it began, this thrumming, humming in my chest, this mad craving, this exquisite ache (lip)par Invité, Mer 7 Jan - 23:29 ( #) | Histoire He's got battlefield in his bones; his smiles are made of thunder – blinding, booming, brilliant [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Il a sept ans lorsqu’il la voit la première fois. Des cheveux blonds en bataille sur le sommet de son crâne, de la boue sur les genoux. Elle lui ressemble. Au début, il n’ose pas répondre à ses questions. Elle lui fait peur, avec ses grands gestes et sa voix aigüe. Des filles, il n’en connaît pas vraiment, à part sa mère et sa petite sœur. Il est plus habitué à la compagnie de ses petits frères. Mais il finit par comprendre qu’elle lui rappelle d’avantage ces derniers qu’une fille normale - même s’il ne sait pas ce que c’est, une fille normale. Alors il ouvre la bouche. Il rigole avec elle. Trois années passent. Trois années dont il ne se souvient plus très bien, à présent, parce qu’il était trop petit. Trois années où ils ne vont jamais l’un chez l’autre mais se retrouvent toujours dans les rues de leur village pour jouer. Il apprend son prénom. Roshario. Il lui dit le sien. Philip. Mais tu peux m’appeler Lip, ajoute-t-il tout bas. C’est comme cela que ses parents l’appellent. C’est comme cela qu’il veut qu’elle l’appelle. Il a dix ans lorsqu’il décide de lui demander d’être son amoureuse. Il l’attend au coin de rue où il la voit le plus souvent. Mais elle n’arrive jamais, alors il fait rapidement le tour du village, sans la trouver. Il rentre chez lui, la tête baissée, un nœud au creux du ventre. Mais il revient le lendemain. Et les jours suivants. Elle, ne revient pas. Il a onze ans et plus de six mois lorsqu’il l’aperçoit l’attendre de nouveau, au coin de la rue. L’été est revenu et un sourire timide danse sur ses lèvres. Lui ne sourit pas. Il a changé, peu, mais assez pour qu’il puisse lire un éclair de surprise dans ses yeux. Sa bouche n’est plus qu’un trait droit, ses yeux sont froids, désintéressés. Il n’a plus d’amis depuis qu’elle est partie. Il se referme sur lui même, effrayé par sa propre personne, effrayé par ses mains qui brisent des vitres sans qu’il n’y touche. Mais il enfonce ses poings dans ses poches et l’écoute quand même. Alors elle lui raconte. Elle lui dit qu’elle était en pensionnat. Elle lui dit qu’elle n’a pas le droit de dire pourquoi. Il hoche la tête. Il comprend. Mais il ne lui pardonne jamais.
Il a presque douze lorsqu’il comprend que le monde dans lequel il vit n’est pas si simple. Il reçoit une lettre qui change le cours de son existence et est transporté peu de temps après dans un pensionnat. Un pensionnat. C’est à ce moment-là qu’il comprend, passant les lourdes portes du château, avant même de voir son visage dans la foule d’élèves. Il ne comprend pas tout mais il en comprend suffisamment pour savoir qu’elle lui a menti. Un vieux chapeau est placé sur sa tête, il est envoyé dans ce qu'ils appellent une maison et il rejoint ses rangs en silence, même s’il ne saisit pas bien pourquoi il doit être séparé des autres et tout se déroule trop vite pour qu'il comprenne comment il est passé de sa campagne anglaise à une école de magie. Il lui faut plusieurs mois pour comprendre le monde magique. Il lui faut plusieurs mois pour comprendre la corruption qui l’agite. Il apprend que son sang n’est pas pur. Il apprend qu’il est peut-être la pire vermine qui puisse exister au sein de cette école. Il apprend qu’il ne mérite pas le respect aux yeux de ceux qui se disent purs. Des sorciers purs. Des sorciers depuis des générations. Lui a toujours été seul, dans sa famille. Elle non. Il apprend qu’elle vient d’une de ces familles. Il apprend qu’elle a su toute sa vie qu’elle viendrait ici. Et elle ne lui a jamais rien dit. Il commence à avoir peur. Ses affaires sont ensorcelées à plusieurs reprises, son corps même quelques rares fois. Il garde la tête baissée et serre les dents, encaisse les insultes qu'il fini par ignorer, parce qu’il ne sait pas comment se défendre. Il ne sait pas se servir de cette baguette qu’on lui a mis entre les doigts. Il est moins seul qu’avant, pourtant. Il trouve du réconfort dans ceux qui, comme lui, se font regarder de haut. Il rejette les autres. Il en a peur.
Il a quatorze ans lorsque sa peur se transforme en colère. Son poing s’écrase pour la première fois sur le nez d’un sang-pur. Alors qu’il plie les doigts pour chasser la douleur, il se laisse submerger par un sentiment de puissance, le visage ensanglanté du Serpentard couvert par ses mains. Par crainte. Il se rend compte qu’il a un atout. Il n’a pas besoin de sa baguette. Il peut frapper. Il peut cogner. Et ils auront peur de lui. Mais il ne le pas fait pour lui. Il le fait pour cette petite sœur qui s’accroche à sa manche. Il le fait pour cette petite sœur qu’il a toujours considéré comme une princesse née au milieu des brutes que sont ses frères. Il le fait pour cette petite sœur qui est la première de sa famille à le rejoindre dans le monde magique. Il le fait pour celle que l’on traite sang-de-bourbe lorsqu’il a le dos tourné. Il se fait reprendre plusieurs fois. Il se faire mettre en retenue. Il se fait même renvoyer quelques jours. Mais il revient toujours. Il continue de frapper. Et il laisse se déverser toute cette colère qu’il a emmagasinée contre ce monde injuste. Contre ce monde qui ne veut pas de lui. Ou de sa petite sœur.
Il a dix-sept ans lorsque sa colère se transforme en haine. Le monde prend feu sous ses yeux et il ne lui faut pas longtemps pour comprendre qu’il est la principale cible de l’attaque. Il est accompagné par une panthère à présent, une guerrière comme lui et elle ne le quitte pas. Il sent la colère s’immiscer dans ses veines lorsqu’il voit des corps sans vie étendu sur le sol mais ne s’arrête pas. Il ne peut pas. Il retrouve sa sœur plus vite qu’il ne l’aurait espéré et après des minutes passées à essayer de la dissimuler, il comprend que des portoloins les attendent. Il l’y emmène. Et il fait demi-tour. Sa petite sœur n’est pas la seule née-moldue qui risque de perdre la vie. Il n’arrive pas à s’empêcher de songer à elle. Il la cherche sans y réfléchir, dans les flammes. Puis il se souvient. Elle ne craint rien. Elle est protégée, par son sang, alors que lui doit fuir à cause du sien. Elle fait partie des privilégiés qui détournent le regard lorsqu’un né-moldu se fait cracher dessus. Ou tuer. Il serre les dents et continue son chemin, essayant de repérer ceux encore piégés par le feu. Lorsqu’il aperçoit une silhouette encapuchonnée, de dos, il lève sa baguette et le sort atteint le mangemort avant qu’il n’ait le temps d’y réfléchir. Avec précaution, il s’approche et retourne à l’aide de son pied le corps du sorcier pétrifié, son visage caché par un masque. Il pointe de nouveau sa baguette, observant les yeux de sa victime encore consciente s’agrandirent. Et il attend. Il hésite, sans doute trop longtemps. Il pourrait y mettre fin rien qu’en prononçant quelques mots. Il pourrait prouver que son sang ne fait pas de lui un sorcier moins capable. Mais il baisse sa baguette et s’éloigne. Il le regrette toute sa vie.
Il a dix-huit ans lorsque sa haine se transforme en rage. A ce stade, il n’a plus aucune estime pour les sang-pur et sang-mêlé qui se comportent comme tels. Il sait que ce sont encore ces fanatiques qui font dérailler le train dans lequel il se trouve. La panique le gagne à la première secousse. Pas parce qu’il a peur pour lui mais parce qu’il a peur pour sa sœur. Elle n’est pas avec lui. Elle partage un compartiment avec plusieurs de ses amis mais il ne sait pas lequel. Il tente d’ouvrir la porte mais quelqu’un le devance, de l’autre côté. Il fixe sans comprendre celle qui vient d’ouvrir la porte, avant de se retourner vers son meilleur ami, visiblement plus perturbé que lui. Il n’a pas le temps de se lever à son tour. La porte se referme. Le monde bascule. Il perd connaissance. Lorsqu’il rouvre les yeux, il est allongé sur l’herbe, une odeur de brûlé lui chatouillant les narines. Il regarde autour de lui, ne comprenant pas le chaos qui s’étale sous ses yeux. Quelqu’un l’aide à le remettre debout. Ma sœur sont les seuls mots qui sortent de sa bouche. On lui conseille d’aller voir du côté des blessés et il hoche la tête, une main se refermant sur son cœur. Il cherche pendant ce qui lui semble être une éternité. Il reconnaît à peine les visages qui l’entourent. Il entend à peine les mots qui sont prononcés. Il ne la trouve pas. Il ne la trouve pas. Il ne la trouve pas. A la place, il la voit, elle et quelque part il est soulagé de la savoir en vie. Même s’il doit se faire violence pour se rappeler que ce sont les siens qui ont causés cela. Il ne veut pas la voir. Il tente de s’éloigner. Mais ses yeux le fixent avec trop d’insistance. Il comprend qu’il peut abandonner ses recherches. Il remarque le corps à ses pieds.
Il a dix-neuf ans lorsque la fièvre manque de l’emporter. Le mal qui touche la moitié de Poudlard finit par l’atteindre et par-dessus tout, il a peur de perdre son patronus. Il a déjà trop perdu pour tout une vie, songe-t-il lorsqu’il finit par perdre connaissance. Il ne sait pas qu’il est transporté à l’infirmerie. Il ne sait plus qu’il est malade. Il rêve de sa sœur et de son sourire, de leurs jeux et de leurs semblants de disputes. Il rêve des fois où, plus jeune, il la prenait sur ses épaules et lui faisait faire l’avion. Il rêve de la première fois qu’il l’a vu faire de la magie, de la manière dont il était certain qu’elle était comme lui. Il rêve de sa mort. Il rêve du feu. Il rêve du sang. Il rêve de la douleur. A travers ses songes, il imagine qu’on lui prend la main, qu’on lui caresse la joue. Il pense que c’est peut-être elle, celle qui entrelace ses doigts avec les siens depuis plusieurs mois déjà. Ces derniers temps, leurs baisers ont un goût de sel, même si les larmes ont cessé de couler sur ses joues depuis longtemps. Il essaye de lui dire qu’il l’apprécie mais qu’il ne l’aime pas. Il devrait, pourtant, il le sait. Mais lorsqu’il croise son regard, ce ne sont pas ses yeux qu’il voit. Les doigts restent un moment sur sa main, sur sa joue. Il ne s’imagine pas que ce puisse être elle. Pourtant, il la voit derrière ses paupières closes.
Dernière édition par Philip H. Jacobsen le Mar 27 Jan - 2:55, édité 13 fois |
| | Re: i am not quite sure when it began, this thrumming, humming in my chest, this mad craving, this exquisite ache (lip)par Invité, Mer 7 Jan - 23:29 ( #) |
Dernière édition par Roshario Brown le Mer 7 Jan - 23:33, édité 1 fois |
| | Re: i am not quite sure when it began, this thrumming, humming in my chest, this mad craving, this exquisite ache (lip)par Guest, Mer 7 Jan - 23:29 ( #) | |
| | Re: i am not quite sure when it began, this thrumming, humming in my chest, this mad craving, this exquisite ache (lip)par Invité, Mer 7 Jan - 23:44 ( #) | |
| | Re: i am not quite sure when it began, this thrumming, humming in my chest, this mad craving, this exquisite ache (lip)par Invité, Mer 7 Jan - 23:45 ( #) | |
| | Re: i am not quite sure when it began, this thrumming, humming in my chest, this mad craving, this exquisite ache (lip)par Invité, Jeu 8 Jan - 0:30 ( #) | BOYFRIEND C'est l'amour fou entre nous |
| Nam So Hyun admin - the universe is full of intentions Répartition : 19/01/2014 Hiboux Envoyés : 1391
| Re: i am not quite sure when it began, this thrumming, humming in my chest, this mad craving, this exquisite ache (lip)par Nam So Hyun, Jeu 8 Jan - 0:37 ( #) | |
| | Re: i am not quite sure when it began, this thrumming, humming in my chest, this mad craving, this exquisite ache (lip)par Invité, Jeu 8 Jan - 0:45 ( #) | ce nouveau perso a l'air trop génial bienvenuue |
| | Re: i am not quite sure when it began, this thrumming, humming in my chest, this mad craving, this exquisite ache (lip)par Guest, Jeu 8 Jan - 1:02 ( #) | [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] voilà ce que tu rates en ayant mis le mémoire du rised dans l'épouvantard. voilà. ouais ça donne envie je sais. RE BIENVENUE TROP BEAU J'ai (peur/)hâte de voir ce que vous avez préparé avec Shish !!! |
| | Re: i am not quite sure when it began, this thrumming, humming in my chest, this mad craving, this exquisite ache (lip)par Invité, Jeu 8 Jan - 4:13 ( #) | rebienvenue ouais Shiloh a de la chance |
| | Re: i am not quite sure when it began, this thrumming, humming in my chest, this mad craving, this exquisite ache (lip)par Invité, Jeu 8 Jan - 4:41 ( #) | rebienvenue |
| | Re: i am not quite sure when it began, this thrumming, humming in my chest, this mad craving, this exquisite ache (lip)par Invité, Jeu 8 Jan - 10:37 ( #) | Rebienvenue à la maisooooon |
| | Re: i am not quite sure when it began, this thrumming, humming in my chest, this mad craving, this exquisite ache (lip)par Invité, Jeu 8 Jan - 10:57 ( #) | dsgqsdfqsdf Rebienvenuuue J'ai hâte de lire ta fiche *-* Etoubliepasjeveuxdesliens |
| | Re: i am not quite sure when it began, this thrumming, humming in my chest, this mad craving, this exquisite ache (lip)par Invité, Jeu 8 Jan - 11:08 ( #) | |
| | Re: i am not quite sure when it began, this thrumming, humming in my chest, this mad craving, this exquisite ache (lip)par Contenu sponsorisé, ( #) | |
| | i am not quite sure when it began, this thrumming, humming in my chest, this mad craving, this exquisite ache (lip) | |
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