Nom: Wright
Prénom: Jezabel
Âge et Date de Naissance: Dix-Neuf ans, né le quatre juillet dix-neuf-cent-soixante-et-un
Nature du sang: Moldue
Situation familiale: Ses parents sont très amoureux depuis toujours et ils vont probablement mourir amoureux. Ils souhaitent d’ailleurs la même chose à leurs enfants qui n’ont pas vraiment l’air de se soucier de leur avenir sentimental. Le père et la mère de Jezabel sont tous deux moldus, comme ses deux sœurs et son frère d’ailleurs. Il y a une belle ambiance familiale, toutefois, depuis que Jezabel fréquente Poudlard, il y a une certaine rivalité qui s’est installée entre elle et sa sœur ainée.
Patronus: Arthur un lion d’Afrique très indépendant et à l’occasion une hirondelle de mosquée très agressive.
Miroir du Rised: Jezabel se tien devant une foule et fait un discourt où les gens sont enflammés par ses idées
Composition de la baguette magique: 22cm, Cœur en plume de Phoenix et en bois de saule
Epouvantard: Un immense cafard
Etudes Suivies: Psychomagie, deuxième année avec les cours d’occlumencie et de sortilèges en option
Animal de compagnie: Roxy une chouette d’athéna
Caractère
Jezabel est né très expressive, contrôlante, perfectionniste et surtout avec un fort caractère. Sa mère ayant peur que sa fille volcanique voire tyrannique n’arrive jamais à trouver un homme assez fou pour endurer ses caprices, elle l’a élevée sévèrement. Du coup, du haut de ses dix-neuf printemps, elle est maintenant réservée, discrète, elle évite toute forme de confrontation en achetant la paix mais tout en gardant un petit côté contrôlant à travers son perfectionnisme.
Jezabel ce n’est la meilleure amie de personne et personne n’est sa meilleure amie. Elle est là pour tout le monde, même ceux qu’elle ne peut pas sentir parce qu’elle considère que ce qui est important c’est l’humain derrière le reste et parfois ce reste c’est un idiot fini ou une salope indomptable. Oui, elle est mature, vous l’aurez compris, elle n’aime pas beaucoup les groupes de son âge pour cela. Les querelles de qui couche avec qui, qui aime qui et qui ne peut pas sentir qui ce n’est pas dans ses activités favorites elle se tien donc un peu avec tout le monde et personne à la fois. Elle aime la compagnie mais préfère ses bouquins au reste du monde. Eux, ils sont toujours les mêmes, jamais ils ne changent un mot et sont plus souvent qu’autrement cohérent, ce qui n’est pas le cas des humains en général.
Jezabel est organisée, elle aime l’ordre et la structure. C’est un atout dans les études supérieurs sauf quand on fait la procrastination parce que la matière nous intéresse plus ou moins… dans ses cas là on performe drôlement moins bien ce qui fait de Jezabel une étudiante au dessus de la moyenne mais néanmoins pas la meilleure puisqu’il y a toujours au moins une matière qu’elle ne kif pas et du coup qui fait chuter le reste de sa moyenne.
a little something from you.
You're not a sad story.
First : Pretty little devil
Elle n’avait que dix-huit mois la première fois. Sa mère avait voulu lui enfiler son manteau à toute vitesse car il allait être, encore, en retard pour la messe de huit heures. D’abord Jezabel s’était exprimée avec un « Non » ferme et clair en serrant les points et en faisant la moue. Comme Charlotte insistait la petite a commencé à se débattre. « Non heu! Non! Non! » Les bras en l’air s’agitant de tous les côtés elle se laissa tombé sur le sol puis se mis à se cogner la tête violement contre le planché. Avant même que sa mère n’est eu le temps de la relevé, la petite était debout bras devant et attrapait tout ce qu’elle pouvait autour d’elle pour le jeter dans tous les sens. Terrorisée par son enfant, Charlotte resta à genou bouche bée. La petite hurlait à plein poumon puis se mit à se déshabillé, d’abord le chandail, puis une chaussette sur deux, pour finir avec le pantalon aux genoux. Marchand avec difficulté, elle ne cessait plus de crier.
« Charlotte, ça va?»
«Richard… Je crois que Jezabel est possédée.»
Richard passa sa tête dans le cadrage de la porte et se mit à ricaner. L’enfant l’amusait plus qu’autre chose mais son épouse ne semblait pas du même avis. Elle prit l’enfant par le bras et l’habilla de force malgré ses protestations incessantes. La crise dura jusqu’aux escaliers de l’église et se perpétua dans la grande salle. Après dix minutes d’interminable lamentation devant tout les paroissiens, monsieurs Wright sorti avec la fillette afin que celle-ci puisse faire sa crise dehors.
C’était la première d’innombrable crise qui s’en suivit. Au début madame Wright laissait passer, comment expliquer à un bambin. Lorsque Jezabel commença à comprendre un peu plus sa mère se mis à lui laisser de petits commentaires forts simples qui eurent leur impact à long terme.
« Hi Jezabel, je serais gênée à ta place, tu t’es vu? Tu es complètement ridicule.»
« Jezabel moi à ta place je changerais de comportement, jamais personne ne voudra marier une gamine avec un aussi sale caractère.»
« Tu réalises que personne ne t’aime parce que tu es méchante avec tout le monde? Petit bosse des bécosses.»
Au fil des années Jezabel s’assagit. Elle se fit de plus en plus discrète et comme son caractère n’avait pas changé mais qu’elle ne voulait plus le laisser prendre le dessus, elle se mit à acheter la paix à n’importe quel prix. Tout pour éviter les confrontations. Le seul trait dominant qui lui resta c’est son petit côté contrôlant qu’elle conserva à travers son perfectionnisme.
Second : The first time
Elle n’avait que cinq ans la première fois. Son petit frère l’avait volontairement piqué jusqu’à la faire sortir de ses gonds. Son cœur battait à tout rompre à un point où elle n’entendait plus ce que les gens disait autour d’elle. Seul le rythme frénétique de son cœur palpitant de colère raisonnait dans ses tympans. Cette fois il était allé trop loin, arracher la tête de sa poupée préférée, jamais il n’aurait dû oser. Le corps crispés par sa hargne, Jezabel hurla dans le couloir de la maison.
«Damien!»
Sa voix raisonnait de haine, elle était à la fois tremblante et trop bien contrôlée. Le petit Damien paniqué par la rage de sa sœur ainée, s’enfoui sous son lit la tête de la poupée contre la poitrine. Comme la chambre de Jezabel était à l’étage, il l’entendit franchir le couloir d’un pas lourd et dangereux. Jezabel descendit l’escalier précipitamment et se dirigea directement dans la chambre de son petit frère. Hors d’haleine, Jezabel se mit à vider le dessus des armoires du petit garçon en espérant le faire réagir mais il ne bougea pas. Tout à coup, alors que la tempête semblait terminée, il se senti tiré par les pieds. Voulant regarder qui le tirait, il se cogna la tête se le rebord du lit. En deux temps, trois mouvements le gamin était allongé sur le dos dans sa chambre les mains crispée sur la tête de la poupée.
« Donne la moi!»
Jezabel sauta sur son frère pour le chatouillé espérant le faire lâcher prise mais en vain. Le gamin se recroquevilla sur lui-même et éclata de rire sans pour autant lâcher sa proie. La jeune fille du recourir à la force pour lui faire lâcher sa prise. La tête de la poupée roula et révéla une chevelure taillé inégalement aux ciseaux et des coups de crayons dans le visage qui lui donnait l’allure d’un clown de film d’horreur. La respiration de Jezabel se fit haletante, elle se mit à hyper-ventiler puis elle hurla à plein poumon. L’ampoule de la chambre de Damien éclata et tout ce qui était sur les étagères près du plafond tombèrent sur le sol comme si un immense coup de vent avait balayé la pièce mais personne n’avait bougé et toutes les fenêtres étaient bien fermées.
Alarmée par le bruit, Charlotte accouru à la chambre. Lorsqu’elle vu l’état de la pièce elle empoigna son fils par l’oreille.
« T’as fait quoi la?!»
« Mais rien maman c’est Jezabel!»
Charlotte lança un regard incrédule à Jezabel qui semblait tout aussi étonnée. Elle avait essayé de se contenir, vraiment, mais elle savait pertinemment que ses parents n’avaient pas d’argent et sa poupée était un cadeau de sa marraine. Damien le savait ça et pourtant il avait détruit l’unique confidente de sa sœur. Jezabel savait qu’elle n’en aurait pas d’autre que c’était fini et elle avait éclaté, tout simplement. Mais ce qui était arrivé dans la chambre de son frère, elle n’y comprenait rien, pas plus que Damien ou Charlotte. Les enfants eurent droit au bénéfice du doute mais durent tout de même ranger la chambre après coup.
Chapitre III : Un c’est bien mais deux c’est mieux.
C’était l’hiver et tous les Wrights étaient dehors en habit de neige. Le temps était doux, la neige poudreuse, c’est l’idéal quand on veut faire du toboggan. Alors que Charlotte et Samuel s’afféraient a dégager l’entrée familiale, les enfants se glissait à tour de rôle quand l’ainée eu une idée de génie, enfin c’était son avis. Il allait descendre à trois sur le même toboggan. Jezabel était assise à l’avant suivit de son petit frère et de sa grande sœur qui fermait la chaine. Oui, c’était une mauvaise idée. Dans le bas de la petite colline y était camouflé, un « jump » de bonne fortune qu’avaient fais des adolescents. Quand le trio s’envoya dans la poudreuse. La neige était froide mais douce, ils perdirent tous la vue à force d’avoir les yeux pleins d’eau. À travers les éclats de rires, ils dévalèrent la pente à toute vitesse. Leur plaisir fut interrompu lorsque la neige retomba sur le sol et qu’ils retrouvèrent la vue. Ils furent horrifiés de constater qu’ils ne touchaient plus au sol et que leur course allait finir tout droit dans un arbre.
Prise de panique, Cassiopée voulu se jeter en bas du toboggan mais tout arrivait si vite. Jezabel essaya de protéger son visage de ses mains tremblotantes, réflexe banal et idiot. Alors qu’ils attendaient le choc, le toboggan s’arrêta à quelques centimètres de l’arbre. Quand elle leva les yeux pour voir pourquoi ils n’avaient pas percuté l’arbre, le toboggan retomba dans la neige molle.
Les enfants se regardèrent stupéfaits. Salomé était en haut de la pente et n’avait pas manqué une seconde mais elle ne comprenait pas plus ce qui venait de se produire. Sans avoir saisi l’ampleur de l’évènement, les enfants décidèrent de ne rien dire à leurs parents. De toute manière les adultes ne les croiraient pas… mieux valait ne rien dire.
Chapitre IV :
Quand Jezabel atteignit 11 ans, elle eu la lettre qui changea sa vie. Sa famille et elle, avaient comprit depuis longtemps maintenant qu’elle était différente. Mais lorsque la lettre arriva ça confirma ça différence mais également qu’il en existait d’autre. Elle n’était pas seule. D’un commun accord, monsieur et madame Wright décidèrent d’envoyer leur fille dans cette école pour les enfants particuliers comme elle, Poudlard. Les premières années furent agréables, l’intégration avait été facile mais Jezabel avait tout de même gardé contact avec ses amis moldus, elle continuait de les fréquenter tous les étés. Et au fil des étés elle s’attacha plus à un qu’au autre. Tommy. Il était le jeune homme parfait, attentionné et à l’écoute, il était débrouillard et jouait merveilleusement bien de la guitare. Il était brillant mais sans vantardise et il prenait soin de son corps. Il n’avait pas grand-chose à envier à la majorité des sorciers. Il était gentil, simple et doux. Il lui donnait l’impression qu’elle était un peu normale, comme le reste de sa famille et il lui rappelait qu’elle avait grandi chez les moldus.
Elle le connaissait depuis longtemps. Bien avant qu’elle ne découvre qu’elle était une sorcière. Depuis plusieurs été maintenant qu’ils se fréquentaient. Tous les deux s’envoyait un flot constant de parchemin par l’entremise de Roxy la chouette de Jezabel. Par contre, il ignorait tout du monde de Jezabel jusqu'à Noël 1978 sinon qu’elle avait une chouette drôlement bien dressée.
Alors que toute la famille incluant Tommy était à table pour les festivités de Noël, Jezabel eu un malaise. Elle devint blême et du se tenir sur le rebord de la table pour éviter de chuter. D’un geste agile, Tommy se précipita près d’elle pour la rattraper. Elle se laissa glisser dans ses bras et il l’a conduisis à sa chambre. Inquiet, toute la famille s’affaira à chercher quelque chose d’utile pour aider. Mais avant que le reste de la famille n’ait le temps de monter à l’étage, Tommy descendit en trombe en s’agitant dans tous les sens.
« Un lion! Y’a un lion! Il est sorti…»
Sans finir sa phrase Tommy s’écroula sur la dernière marche en perdant connaissance. Paniqué Nathan monta à l’étage baguette en main. Il trouva sa fille étendu sur son lit visiblement dans un sommeil profond et un lion de fumé couché à ses pieds. Nathan sursauta. Il cru d’abord qu’il y avait là le début d’un incendie et qu’il avait des hallucinations mais quand il chercha la source du feu il ne trouva rien. Monsieurs wright tenta de réveiller sa fille quand soudainement, l’animal leva la tête l’air et secoua sa crinière réveillant Jezabel assoupi. Nathan s’accula au mur loin de l’animal. En ouvrant les yeux elle sursauta et se recroquevilla sur sa tait d’oreiller d’un geste si brusque qu’elle failli chuter de son lit. L’animal tourna son regard vers la jeune femme et se secoua de nouveau, cette fois la fumée laissa place à une somptueuse fourrure dorée. Chaque centime de son corps se matérialisa sous les yeux stupéfaits des Wright qui avaient joint la fête dans la chambre de Jezabel.
Il y avait quelque chose d’étrange. Comme une connexion entre Jezabel et l’animal. Puis une voix retentit dans la tête de la jeune femme.
« Je suis une partie de toi… mais tu le sais déjà.»
« Mais je ne connais même pas le sortilège de Patronus… comment est-ce possible?»
« Faudra demander je l’ignore…»
« Où est Tommy?»
« Dans les pommes dans les escaliers, maman est à son chevet»
Soudain un ensemble d’idées se mirent à défiler dans la tête de la jeune sorcière. Avait-il vu l’animal? Comment lui expliquerait-elle? Elle ne savait pas elle-même ce qui s’était passé… il allait la prendre pour une folle. Elle ne voyait pas comment se sortir de se mauvais pas. À moins qu’elle n’utilise un sortilège d’oubliette? Ce n’était pas très honnête mais c’était la meilleure idée qu’elle ait et puis comme si l’animal pouvait lire ses pensées et son inquiétude alors que son visage ne laissait rien paraitre, il lui insuffla une réponse.
« Il n’appartient pas à ton monde, de plus il n’a rien à voir avec tes aspirations…»
« Mais je l’aime… »
«Vraiment?»
Après avoir longuement réfléchi et avoir semblé parler à voix haute puisqu’il n’y avait qu’elle qui entendait le lion, elle prit la decision d’avoir une discution avec Tommy qui ferait mal mais qui devait être faite. Lorsqu’il reprit ses esprits, Jezabel le convaincu qu’il avait prit trop de vin au souper et qu’il avait fait une mauvaise chute dans les escaliers puis elle le largua à contre cœur. En colère Tommy dit des mots qui dépassèrent sa pensé ou peut être pas qui sait…
« T’es pas approchable! T’as tellement peur que quelqu’un t’approche que quand sa devient sérieux tu les jettes. T’es un mur de béton! Non tu es froide… T’as idée de combien de temps ça m’a prit pour t’approcher? Y’a des siècles que je t’ai dans l’œil et maintenant t’es plus sur du gout de ta gomme. Et puis merde, tu dis jamais rien…»
Sans un mot de plus il tourna les talons. Les yeux en larmes, Jezabel ferma la porte à deux mains sans mot. Elle n’adressa la parole à personne et s’en alla dans sa chambre là où la vérité s’imposait. Et cette vérité, elle l’appela Arthur parce qu’Arthur c’est le nom d’un roi, quoi de mieux pour un lion.
Lorsqu’elle voulu poser sa tête sur l’animal pour se réconforté celui-ci se transforma en un petit oiseau frêle. S’était une hirondelle de mosquée. Avec son plumage bleuté et sa queue en flèche, elle avait l’air d’un oiseau de course. Le petit animal se posa sur l’épaule de la jeune femme et enfouit son bec dans la chevelure de la jeune femme en pleure qui engagea un roman comme si la vie continuait mais son cœur lui avait cessé de battre l’instant d’une peine d’amour.
Tell me who you really are.
ϟ pseudo et âge: Gabrielle 22 ans
ϟ Où as-tu trouvé le forum? Long time ago, en fait j’avais commencé une fiche avant noël mais j’avais plus accès à un ordinateur… so… prise 74!
ϟ Personnage: Inventé
ϟ As-tu un autre compte sur BP? Non
ϟ Présence: 5/7 jusqu’à preuve du contraire.
ϟ Une remarque? Pas vraiment.