BELLUM PATRONUM
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Version 34
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Groupes fermés
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équilibre des groupes
Nous manquons d'étudiants, de membres des partis politiques Phénix et Gardiens. Nous manquons également de Mangemorts.
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| Ego sum filius venti. - Terminée- | | | Ego sum filius venti. - Terminée-par Invité, Lun 23 Mar - 20:03 ( #) | [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Duncàn Aymslowe FEAT. Matthew Terry 20 ans ϟ 10e An. Sport magique - "Spécialité" ϟ Heftig - Pygargue à tête blanche ϟ Sang purNom: Aymslowe Prénom: Duncàn Âge et Date de Naissance: 20 ans, né le 17 avril Nature du sang: Sang pur Situation familiale: "God...Si seulement je pouvais ne pas répondre à ça. Notre famille est gérée par un gros chien femelle à qui nous devons le respect sinon on s'fait mordre violemment. En réalité, nous faisons belle figure, noble et charismatique famille aimante que nous sommes, mais une guerre interne nous divise. Une famille qui à mes yeux n'est pas la mienne mais je dois me conforter dans l'idée que pour le moment, je dois les supporter. Pour résumer, ma mère, après la mort de mon père, un célèbre joueur de Quidditch, s'est remariée avec un Aymslowe. Des deux frères, elle a choisi celui qui avait merdé apparemment et copuler avec une moldue (personne n'est parfait, bien que cette idée me fasse tiquer de l’œil), donnant naissance un petit chiot que je ne sais pas apprivoiser, Megan. Nous étions trois enfants au remariage, plus lui, donc quatre (Bravo Duncàn tu sais compter!) Mon oncle, l'autre frère, est bien plus sadique et militaire que mon beau père, et il a dans ses quatre enfants, deux roquets à la grande et belle gueule: Konràd et Kilian, deux adorables jumeaux plus pourris qu'un steak resté au soleil. Vous l'avez compris, je ne supporte pas la plupart de cette famille mais quand on est un Aymslowe, on ferme sa gueule, on marche droit, on fait le beau, on excelle à Pouldlard, et on doit dire merci. Sans quoi, c'est châtiment, pain dur et flotte, amen mes enfants. Très sérieusement, cette famille est cinglée, mais si je me tire, ils seraient capable de me coller Konràd au cul. J'm'en passerai, et puis... mes cadets chuteraient. Je ne tolèrerai jamais cet échec là de ma part. Mon père est mort tôt, mais il m'a appris une chose: "Aussi sombre sois ta nature, ne laisse jamais personne derrière. Gagner c'est bien, mais avec prestance, c'est mieux. " Alors j'essaie de les protéger au mieux sans pour autant perdre la face. Ils vont me rendre schizo. Leur dernière trouvaille? ... ma mère et l'autre harpie fripée ont décidé de me trouver un bon parti. Un bon quoi? Que dalle que je me marie, surtout pas pour transmettre un nom qui n'est pas le mien. " Patronus: Heftig. Un pygargue à tête blanche. Duncàn est accroc à son patronus. Fier, grand, puissant, il ne pensait pas abriter cette créature, d'autant plus qu'il n'a pas cette image ci de lui, mais il n'y a pas à dire, il ne peut pas s'en passer. C'est un genre d'ami sincère qui ne trahit jamais. Il lui donne la force, la motivation, la rage de vaincre et de se battre pour tout. C'est un lien puissant et violent qui les anime et on le voit dans le ciel quand ils volent ensemble en parfaite osmose sans même se parler. C'est comme s'ils se parlaient intérieurement. Il sait que son patronus ne le jugera jamais, et rien que pour ça, il fera tout pour le protéger. Rien ne peut les dissocier. Et il en est d'autant plus conforté par le fait qu'ils n'aient pas encore été touché par la peste, persuadé que c'est grâce à leur lien fusionnel qu'ils ont échappé à tout ça. peut-être aussi parce qu'ils passent leur temps dans les airs, ou que les deux sont insomniaques, à voir. Heftig fait 1m70 environ d'envergure, pour 2kg300. Agile, redoutable, c'est un chieur par excellence, qui passe son temps à fixer les autres patronus avec un regard pas net (on ne sait pas s'il veut les tuer ou leur faire des choses, tout le monde dit que ce patronus est flippant). Il se dandine souvent à même le sol dans les couloirs pour piquer les mollets des nanas en jupe ou des mecs qu'ils aiment pas, et a déjà coursé une professeure de potions. En cours, il est perché dans un coin ou sur la table de Duncàn, et observe autour de lui. Il lui a déjà détruit un contrôle, et Duncàn était furieux mais il a fini par en rire. Heftig s'amuse aussi à piquer des trucs aux élèves et vu qu'on ne doit pas toucher un patronus d'un autre , ce geste étant pris pour un affront, personne n'ose toucher Heftig, sous peine de se prendre Duncàn sur le coin du museau et ce n'est pas un tendre. L'aigle l'a bien compris. Outre ça, il oublie à Duncàn les trois quarts du temps. Ah oui, petite anecdote. Heftig a aussi déjà ravagé la table d'un diner de famille en coursant le Hibou de la Harpie. On ignore encore ce qu'il voulait lui faire et on préfére ne pas savoir. Ça a très dur pour Duncàn de ne pas rire. Il s'est fait punir bien sûr, pendant près d'un mois à diverses tâches, au service de la vieille folle. Miroir du Rised: Devenir le meilleur joueur Quidditch de tous les temps ( et voir la matriarche Aymslowe se faire bouffer tout cru par le Cerbère aussi mais bon, c'est secondaire) Composition de la baguette magique: La baguette en composé d'un ventricule de dragon, et de bois de Noyer noir. - Définition du noyer noir:
Moins répandue que celle en noyer commun, la baguette de noyer noir recherche un maître à l’instinct sûr, doté d’une profonde perspicacité. Le noyer noir est un très beau bois, mais ce n’est pas le plus facile à maîtriser. Il présente une bizarrerie très prononcée qui se manifeste par une sensibilité anormale aux conflits internes et il perd sa puissance de manière spectaculaire lorsque son propriétaire fait preuve d’aveuglement, sous quelque forme que ce soit. Si le sorcier qui l’emploie ne peut ou ne veut pas être honnête avec lui-même ou avec les autres, la baguette se révèle souvent incapable de fonctionner correctement et doit être confiée à un nouveau propriétaire si on veut qu’elle retrouve ses performances d’origine. Associée à un possesseur sincère, doté d’une grande conscience de soi, elle devient cependant l’une des baguettes les plus loyales et les plus impressionnantes, avec un don particulier pour toutes les sortes d’enchantement.
En gros, mon petit Duncàn t'es dans la merde. La baguette l'a choisi sans qu'il ne comprenne pourquoi. Il s'attendait à quelque chose de plus viril, un bois qui se rabat sur la force, sur la hargne, et le voilà qui se fait troller par sa propre baguette. Plus le temps avance, plus il sait qu'un jour, il devra faire face à ses démons et donc en partie aux Aymslowe en étant honnête avec lui-même sous peine de se voir trahi par sa propre magie. C'est un dilemne horrible. Il aimerait garder ce faciès sombre, ce sadisme à temps partiel, mais si la baguette refuse de marcher tous comprendront. Pourvu qu'elle tienne jusqu'à ce qu'il soit détaché de cette furie ridée... Epouvantard: Ce pourrait être de voir sa sœur et son frère mourir, mais ce n'est pas ça, parce qu'il sait qu'il se sacrifiera à la place. Sa pire peur, c'est de crever seul, comme une vulgaire charogne, enchainé et mutilé tel un vieux morceau de viande et de voir ce qu'il apprécient en face, à regarder sans pouvoir rien faire. Jusqu'à ce qu'il trépasse. Etudes Suivies: 10 ème année, en cursus de Sport magique. Cours obligatoires: Sports appliqué, vol sur balai, entrainement, études de Patronus. Options choisies: Occlumencie et Sortilèges. Animal de compagnie: aucun Caractère Dans la vie, il y a des coups d'états, des notes d'espoirs, ceux qu'on ne voit pas, ceux qui ont la foi, ceux dont le cœur saigne en silence, ceux qu'on écrase, les coups de ceintures sur les hanches, les murmures et les cris, d'envie, de haine, de violence, de pétage de câble. Les sourires cachés, les grimaces dégueulasses, les injures, les poisons et les remèdes et il y a moi, qui peine à trouver une place pour cette noirceur qui me ronge un peu plus chaque jour. L'impression de sentir le sol bouger sous mes pieds, comme si rien n'était stable. Un coté noir, un coté blanc, et l'arlequin au loin, cette putain qui dandine des hanches sous mon nez, comme un appel à la déviance, un appel à la liberté, à l'outrance à tous les vices possibles, juste pour combler le vide qu'on a laissé en moi étant gamin. Ce soir la lune sera belle, elle se fout bien ce que je peux être ou non, elle sera toujours là même. Alors pourquoi chercher à comprendre, on se voile, on montre noirceur et opacité d'esprit. Des images que je ne peux oublier, des scènes qui me marquent, les rafales de gifles pour me remettrent dans le droit chemin. Juste quelques arrêts sur image à me demander ce que je fous, et ma baguette qui hésite, me juge, me troll et j'emmerde le monde, en profondeur avec le tact d'un buffle. Rien à foutre au fond, qui se préoccupe de ce que je suis, de mes goûts, de mes douleurs. On exige de moi, on m'envie, on me déteste, on me craint, on m'admire, on se retourne sur mon passage, on a envie de me coller une beigne et tout ça me fait sourire en quelque sorte, parce que dans tout ça je ne suis pas invisible. Chaque seconde, je cherche l'erreur mais rien n'apparait, tout me semble 'leurre". Mon sommeil est entravé, comme si une part de moi était partie avec mon père. Et elle, elle ne comprend pas. Je fais le beau devant elle pour qu'elle soit fière, parce qu'au fond, il me reste quoi d'autre, mais je ne supporte plus ses mesquineries et cet affront qu'elle se targue à effacer. Elle l'a remplacer avec ce fou, ce faible, cet homme qui rivalise avec son frêre, mon oncle, mais je ne les supporte plus... j'essaie de faire bonne figure, au mieux, je m'en fous. Et mon patronus qui parfois leur joue de sales tours, risible à souhait mais avec modération. Un peu comme l'alcool... Depuis quand je connais le mot modération... Qui suis-je...? Condamné à ce fantôme, un rêve. Chaque minute passé dans le ciel, cette solitude qui me détruit disparait et je sais que ma place y est. Si un jour je dois crever , j'aimerais tomber de là haut, histoire de pas m'louper. J'ai renié les dieux et toutes ces conneries, je n'ai plus de temps pour pardonner. Les autres me fatiguent et rares sont ceux qui attirent mon attention. Personne ne stoppera mon désir de reprendre le flambeau de mon père. Je déteste qu'on cherche à lire en moi, j'ai bien trop de secrets et pas forcément les meilleurs. Les Aymslowe ont raison pour une chose: je dois être le meilleur, mais ils font parti de mes adversaires. Ils exigent de moi, à m'en rendre malade, mais qu'ai-je en retour? Rien. Pathétiques petites créatures que vous êtes, pensez-vous que je vais m'arrêter là dessus? Ça pleure, ça chouine, ça se plaint, ça occupe ses journées à des choses inutiles, fuyant vos existences comme une proie devant les prédateurs amassés qu'on appelle Aléas. N'avez-vous pas compris qu'ils pourraient être vos forces, vos richesses, alors oui, qu'ils viennent je les attends, et je jure sur la tête de la chose que j'ai de plus précieuse, qu'aussi longtemps que la vie voudra de moi, je mettrai peut-être les genoux à terre mais je ne m'avouerai jamais vaincu. Ne jamais me louper, car mon coup sera votre fin en retour, c'est ainsi que je vois les choses. Ma rancune est amère et violente... Du moins je m'en suis persuadé. A force de se battre, à force de voir que les enfoirés ont toujours le dessus, pourquoi ne devrais-je pas y accéder pour laver mon honneur...? Même si je lui souris, je considère qu'elle, ma mère, a tué mon père. Je le sais, je le sens. Elle voulait mieux, elle voulait plus. Mais elle me prend pour un con, voulant aux dernières nouvelles me marier à une pintade friquée? Ce serait dommage qu'il lui arrive une broutille à cette donzelle. Un vagin sur patte voilà tout. Il en faut bien plus pour attirer mon attention. Tous me pensent superficiel et ça m'arrange. Ils tombent dénus et pleurent. J'ai une fierté, on m'a brisé. J'ai un subconscient qui hurle ses douleurs, mes doigts qui se crispent quand la colère se réveille et je n'aime pas qu'on me contredise sans argument, encore moins qu'on s'en prenne au peu qui me supportent. J'ignore de quel coté je suis, mais je n'aime pas les êtres faibles et simples d'esprit ou trop mignons, des espèces de cochons d'inde qu'ils sont ces moldus, dans la grande majorité. Se pensant nombreux donc intouchables et ils jugent, vous démontrent qu'ils sont meilleurs, qu'ils sont merveilleux par leur sensiblerie et nous font passer nous autres sangs purs pour des gueux insensibles, vieille aristocratie désuée. Toutes ces crevettes qui courent dans les couloirs, parlent fort, n'écoutent rien , et te crachent au visage que la nouvelle ère, c'est eux qui la dirigeront? Ma main dans ta gueule le nain. D'où te permets-tu de me causer comme ça, alors que mon patronus pourrait bouffer mille fois le tien. Suis-je instable? Où voyez-vous ça... Je suis juste moi, peu importe le résultat, mon équilibre est particulier, mais je le vis bien. Je crois. Aux yeux des autres j'apparais comme un ainé froid, à ne pas emmerder, peut-être un des plus secrets et plus sombres, je parle peu et mes phrases ne sont pas spécialement aimables, même si je n'ai pas pour habitude de frapper ou traumatiser les mioches comme Konrad. Pas mon trip, je préfère les adversaires de taille, c'est bien plus excitants. Tout comme les interdits. La tête froide, les pieds bien dans ses crampons. Observer, écouter, analyser, réagir, mettre en échec et remercier. Tout est une question de maitrise, de contrôle, de protection. Personne ne rentrera dans mon univers... C'est une porte scellée que je ne veux pas ouvrir... J'ai peur de ce qui s'y cache.... Je me torture déjà bien assez pour pas planter un couteau dans la main de ces deux cons de jumeaux.... Seulement personne ne voit mes divergences intérieures, et quelque part, ça me rassure, ça veut que je maitrise l'image que je renvoie. Est-ce que j'irai faire des coups de putes en douce, juste pour le fun? Non. Voler les affaires d'un plus jeune? Non. Foutre la main au cul d'une fille, pour un pari? Pourquoi besoin d'un pari. Un mec même s'il faut. Tuer quelqu'un...? Je... ne répondrai pas. C'est une des barrières qu'il est déconseillé de me faire franchir... Le visage de la mort sur le corps des autres n'est pas une chose que j'affectionne... Contentez vous de voir le salopard de d'habitude... Même si ma baguette semble être la seule à connaitre la vérité... et que mon patronus me trahit aussi. a little something from you. Duncàn a obtenu son patronus matérialiser en même temps que les autres, même si cela faisait longtemps qu'il en connaissait l'apparence. Sa première réussite de ce sort fut à ses 15 ans, il s'y acharna comme un dingue. A savoir que Duncàn est parti avec un train de retard sur les autres Aymslowe, parce qu'il a intégré Poudlard l'année de ses onze ans et qu'il a perdu son père juste avant. Donc bien perturbé avec une belle famille qu'il ne peut pas comprendre ni aimer à juste titre. Il a été mauvais sa première année et la matriarche a été tellement mauvaise avec lui, que la peur l'a fait bosser comme un acharné et qu'il a remonté tout son retard , décrochant aussi la maitrise de ce sort. Il n'est pas un Aymslowe pour rien, c'est tout ou rien chez eux. Et quand le sort les frappa, il fut peut-être un des rares à surkiffer la chose, comme on dit chez les mômes... A l'origine, il était déjà super fier de son patronus, mais là, il était réel, son lui en animal , beau, grand, sublime... oui mais pas que. Les débuts entre deux là ont été très difficiles. Duncàn, gamin très instable, sans père et à la mère qui ne lui accorde aucun intérêt à cause des deux petits, il met au monde un patronus extrêmement bruyant, agressif et qui défonce tout. Un des patronus qui va poser problème à Poudlard mais quand on lui explique ce qui se passe, il va redoubler d'efforts, et petit à petit, il va réussir à créer un dialogue avec... Quelque chose de fusionnel, un code, des gestes, des sons, des claquements de langues, ordres courts ou discussions, les deux deviennent extrêmement proches. La matriarche a compris que la douleur du gamin avait été réelle et lui laissa le temps pour réparer tout ça, ce qu'il fit. A partir de là, elle le considéra comme fort et digne, mais lui n'a pas oublié et son patronus se manifeste souvent. Elle n'aime pas Heftig et lui ne l'aime pas du tout non plus. En ciel... Là haut, tout leur appartient. Le vent, la pluie, le brouillard, les nuages, le soleil. Telle une symphonie de cuir et de plumes, laissant des vapeurs blanches derrière eux en tourbillons risqués, Duncàn vibre dans les airs, aimant à défier la gravité, la mort le risque. On dit qu'il est fou. Certains viennent se poser parfois pour observer le spectacle de ce patronus dont les ailes vaporeuses s'étendent, loin autour, vendant les airs. Duncàn l'entraine dans une danse infernale de vrilles, de piqués, tête en bas pour caresser les plumes de l'animal qui passent autour, un contact, un geste et il perce avec violence l'air vers les cieux , osant provoquer l'indécence de l'altitude, jusqu'à manquer d'air... Des minutes, des heures, jour ou nuit, soleil ou pluie, c'est son monde, sa drogue. Il oublie tout et se sent avec son père... Caractère du patronus: [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Un troll torturé et agressif. Heftig est un pygargue à tête blanche, imposant. Il n'a pas de seconde forme, tout l'être de Duncàn le compose, mais c'est aussi un patronus qui souffre de troubles comportementaux. Par moments, il se bouffe les plumes, ou se met dans un coin sans bouger, comme soudainement triste ou blessé. Au début Duncàn a cru qu'il avait mal mais il comprit vite qu'en fait ce patronus était son miroir. Certaines nuits le patronus se pointe sur le lit et a un comportement totalement anormal pour un rapace, il replie ses ailes, et se vautre de tout son long contre le flanc du jeune sorcier, cherchant de l'affection. Ou bien, il attend qu'il n'y ait personne pour sauter sur l'épaule de Duncàn et frotter sa tète contre lui. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Il lui rapporte souvent des cadeaux piqués dans les coins aussi comme un besoin de reconnaissance. D'autres moments, Heftig est agressif à ne pas pouvoir être maitrisé et Dunàn est obligé de le maitriser par la force contre lui , puis le rassurer et le calmer, après quoi le pygargue ne va plus le lâcher d'une semelle pendant une journée entière, au point que fusiller tout le monde du regard. Il est jaloux de tous les autres patronus et si Duncàn lui en donne l'ordre, il attaque et n'abandonnera jamais. You're not a sad story. EXTRAIT 1 : AUJOURD'HUI Les phalanges en sang... Ses doigts ont salement morflés. Le regard dans le vide, et Heftig qui le fixe. Le regard compatissant et qui piétine ne sachant pas quoi faire. Il n'y a rien à faire. Il rebaissera la tapisserie du mur et personne ne verra, comme d'habitude. Les marques étaient plus basses à l'époque. Il a grandi. Mais c'est gravé. Sa peau est brûlante, il sue, il pue le chacal et il s'en fout. Il pisse les sang sur les mains aussi mais il s'en fout. Demain, ce sera passer. Un peu. Il irait voir un ami médicomage pour qu'il le rafistole, une fois de plus et tout irait dans le meilleur des mondes. Ce visage personne ne le voyait, c'était inutile. Il se torturait en silence, pour mieux accuser le lendemain et peu importait les conséquences, il devait faire honneur à la famille. Non, ce n'était plus à eux qu'il devait faire honneur mais à son père. Il 'était parti trop vite, lui qui voyait tout à travers lui et on lui a refilé une putain de copie terne et moche qu'on appelle Earl Aymstone. Il avale sa salive, il ne pleure pas, il ne peut plus. Il est juste fatigué. Jeune et fatigué de cette putain de vie. Il n'a rien choisi de tout ça on lui a imposé, mais il ne fléchira pas , gardera la tête haute dès qu'un autre humain sera là, pour la fierté de son père. Il sera un fils digne, puissant et il ne pardonnera plus... Il ne sait plus s'il peut le faire, et toutes ces conneries l'irritent , le foutent en vrac, le tue à petit feu. Devoir taire ses capacités pour faire plaisir aux uns et les exploiter pour faire plaisir aux autres, il a l'impression d'être trop à l'étroit dans son crâne... trop de douleurs, trop de son, trop de questions, il ne se demande s'il pourra se sortir un jour de cet engrenage merdique. Il râpe ses phalanges contre le mur en serrant les dents. Rien qu'un peu plus pour sortir cette violence... Ses yeux commencent à se mouiller mais au loin on entend une petite voix féminine. Sinéad. Merde... Il attrape son tee shirt qu'il a viré plus tot et s'essuie le visage, puis se relève, enfile un autre tee shirt, fout l'autre sous le pieu. Il choppe sa veste de cuir, l'enfile et serre les dents en passant une paire de gants de cuir qu'il met quand il pleut pour ne pas que son balai lui glisse des mains. A peine le temps d'enfiler ses pompes pour faire style qu'il va sortir s'entrainer comme d'habitude qu'elle arrive grand sourire, belle comme le jour: " Duncàn! Tu sors?!" Et lui qui se retourne force un sourire tendre et la prend contre lui quand elle s'y jette. "Oui, je dois voir un ami et m'entrainer." " Et c'est quand que tu t'occupes de moi? Avant tu étais plus là... maintenant tu pars tout le temps. Tu m'aimes plus ?" " Dis pas d'conneries... tu sais très bien que ça n'a rien à voir. J'ai beaucoup d'boulot c'est tout." " Mh... parait que Papa il faisait pareil. " Duncàn ferma les yeux. Garce de génitrice, ça commençait à le souler... C'était faux, il le savait lui. Il l'avait connu et vécu avec lui... " Je l'ignore, j'm'en souviens pas. Tu sais, j'te l'ai dit..." " Oui oui choc émotionnel tout ça." Sa gorge se serra sans la gosse ne le voit mais il souffrait de son absence, alors si c'était pour lui sortir des trucs du genre, ça n'allait rien arriver. Et comme un coup salvateur, Heftig débarqua d'un coup de son perchoir pour se poser sur l'épaule de Duncàn et Sinéad fit de suite marche arrière, en grimaçant. "Lui, il m'énerve, je l'aime pas, j'comprends pas pourquoi on t'a collé un patronus pareil, il te ressemble pas du tout." Duncàn eut un sourire en coin et lui replaça une mêche. " Tu as raison, moi non plus j'comprends pas. Allez j'y vais. " Il s'approcha, l'embrassa sur le front et attrapa son balai, un des meilleurs existants, ouvrit la fenêtre, et en une seconde il n'était plus là. Son sourire s'éteignit... bien sûr il comprenait pourquoi son patronus était ainsi, et il n'y avait pas d'erreur mais s'il lui expliquait qu'il était son patronus à l'intérieur, elle le détesterait probablement ... c'était une adolescente. Il préparait mentir et ne rien dire que de perdre le peu qu'il avait. Bien sûr que oui il savait pourquoi Heftig. Et c'était tout sauf une erreur. En attendant, il devait soigner ces plaies sous ses gants. Il douillait sérieusement. Mais peu importait. La douleur prouve au moins qu'on est vivant. EXTRAIT 2 : FLASHABCK - 10 ANS - MON VRAI PAPA La mer et ses volutes furieuses. Belle endiablée qui jouit de ses courbes sur une plage de cailloux entassées. La cote de l'Angleterre. Ce jour était magique. Le meilleur de celui qu'il avait partagé avec lui. Ils? Duncàn et son père. C'est vrai que sa carrière de joueur de Quidditch était prenante mais ça payait bien et puis... il aimait la vie, à mille lieux des préoccupations du Ministère et toutes ces choses qui ennuie un enfant de dix ans. Duncàn avait eu son premier balai. Et son père l'avait embarqué avec lui pour aller au bord de la mer entre hommes. Un grand homme et un petit homme, perchés sur une grosse branche de chêne, face à la mer. Libres, sans contrainte, voilà ce qu'aimait Lowgan Theferson, issu d'une lignée de sang pur, une famille qui s'entendait bien avec les moldus. Pour lui, les conflits étaient absurdes, mais il comprenait que certains éprouvent le besoin de le faire pour exister. Le petit Duncàn observait la mer en silence, agitant ses jambes dans le vide, excité et tellement heureux. A coté de lui, le grand baraqué au crâne rasé faisait office de géant. Sa large main passa dans les cheveux de son fils, lui désordonnant les mèches. "Un jour toi aussi tu seras un grand joueur." " Dans la même équipe que toi?" demanda le gamin avec de grands yeux lumineux. "Non, je serai trop vieux pour ça, mais je viendrai à chacun de tes match et t'entrainerait. Tu ne feras plus qu'un avec le vent tu verras." "Comment on fait ...?" "Et bien, il suffit de sentir les aspirations de l'air, et se laisser propulser par les couloirs aériens, un peu comme les albatros là bas, tu vois?" et le gamin ouvrait encore plus grand ses yeux pour voir les oiseaux au dessus de la houle qui planait dans les courants ascendants. "Si tu arrives à sentir le vent, tu iras plus vite que les autres, tu leur échapperas, tu en feras une force. C'est un peu comme un frère quelque part." "Est-ce que tu tapes les gens pour gagner?" " Chaque joueur joue comme il veut mais je préfère éviter les coups vicieux. Si tu gagnes tu dois gagner avec dignité mon fils... tu comprends?" "Pourquoi?" "Parce qu'on arrive à rien en rabaissant les autres sans raison, et en se pensant au dessus. Bien souvent, ça signifie juste qu'on est faible. Si tu réfléchis, que tu analyses leur jeu et que tu trouves la faille de chaque joueur, c'est là que tu excelleras." " C'est dur..." "Bien sur que ça l'est , mais on n'accède pas aux hautes sphères, peu importe le domaine, sans effort. Parfois on souffre vraiment, il faut être près à ça. Mais dis toi une chose, aucun effort n'est jamais vain. Sois patient, persévère et le résultat viendra. Ça met plus de temps pour certains que pour d'autres mais rien n'est impossible. " " Maman elle dit pas ça...." "Ta mère est... compliquée. Elle a beaucoup changé depuis la naissance de ta sœur. " "Tu l'aimes plus? " "Bien sur que si ... Mais je ne suis pas sûr que ce soit réciproque..." "C'est quoi réciproque?" "Quand l'un et l'autre ressentent la même chose." " Ta maman veut plus d'argent et de gloire que je ne peux lui en apporter... " " Elle peut pas travailler?" Un léger rire sortit de la gorge du grand balaise. " Ta maman, travailler? Si un jour ça arrive, faut me le dire, qu'on le fête. Allez on arrête de parler de ça, c'est des trucs de grand. Viens." Le colosse quitte la branche dans le vide pour atterrir sur un balai tout noir et argenté. Le gosse sauta lui aussi dans le vide, inconscient né, et son père le réceptionna dans ses bras avec facilité. Il l'installa à cheval devant lui, son épais bras tenant le gosse contre son torse solide, direction la mer.
Le gosse avait les yeux grands ouverts, essayant de faire comme son père, qui l'observait amuser. Ses petites mains cramponnés sur le manche, et il criait d'excitation en filant dans la brume. "c'est troooooop bieeeeeeeen !" " et attends ... vas y , fais le cochon pendu. " Le gosse regarda son père, étonné. Euh le cochon pendu ? Là ? Sur le balai lancé au dessus de l'eau ? Cochon pendu comme, tête en bas, retenu par les genoux? " Vas y j'te dis, je te tiens, n't'en fais pas. Tu vas voir, c'est génial." Oh le fou. mais même pas peur le petit Duncan, vas y qu'il se fout la tête en bas, s'agrippant les genoux et hop, tête dans le vide, son père tenant les deux genoux d'un lourd avant bras, couché sur le balai. " Vas y touche les vagues... en douceur." Le balai ralentit un peu et le gamin regarde dessous lui. Il tend les bras vers le bas et agite les doigts. Et là, la magie opère... L'eau file dans les doigts du gamin, envoyant de la vapeur d'écume partout et le gosse éclate de rire parce que ça chatouille.
Rien que pour ça... Son père avait su parler à son fils. Ce genre de chose ne peut pas s'expliquer, ils étaient tailler dans le même bois. Bon, bien sûr, ils revinrent trempés et la mère gueula, mais les deux étaient complices, et franchement ils s'en foutaient d'être détrempés. EXTRAIT 3: WELCOME IN YOUR NEW FAMILY... [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Son papa était mort. Il l'avait vu dans le cercueil tout froid. Blanc. Et toute l'équipe de Quidditch était là. Tout le monde dit que c'est un accident mais il a entendu maman hurler la veille et un gros boom puis plus rien. Il ne peut rien dire, qui le croirait. Alors il est là, droit comme un piquet devant cette immense porte, vêtu de ses plus beaux vêtements, comme son frêre et sa soeur, la main tenue par les doigts stressés de sa mère. Il peut pas lui dire qu'elle lui fait mal, elle est déjà énervée toute seule depuis ce matin. Lui, il veut son père. Il ne peut pas l'avoir abandonner, c'est faux, pas après tout ça. Il ne veut pas rencontrer ces gens, de toute façon, la maison, rien que de là, elle est trop moche, et y'a une odeur de vieux sur le paillasson. C'est peut-être le chien, mais si c'est le chien, ils sentent bizarres aussi alors. Et ils doivent être moches et méchants aussi. Duncàn, il ne veut pas y aller dans ce manoir tout sombre qui pue la mort. Il recule d'un pas, mais sa mère tire son bras et un gros DING DONG sonne. Il aime pas cette sonnette non plus. Tout est grand. Tout est fort. Il a peur quelque part. Se mordant la lèvre, anxieux, la porte s'ouvre et là une grosse ombre apparait. "Oui??" Duncàn se fige. Devant lui, un gros elfe vieux et obése , super grand le fixe avec ses gros yeux et son nez de quinze mètres (oui parce que ça fait quinze mètres pour un enfant). Oh... mon ... dieu... papa, chat, Thor, Doudou, tout ce que vous voulez. Duncàn avale sa salive. Terrifié, il se cache derrière sa mère. "Allons chéri, ne fais pas ton couard, voyons. Sois digne, tu es chez ton futur papa. " Et elle le tire pour le mettre devant elle et sourit, de toutes ses dents comme si on lui avait étiré les joues. Les femmes font souvent ça, il ne comprend pas trop pourquoi, elles ont l'air débiles. Pourquoi devant? Il est gros lui, et puis... il mange quoi au diner.... et la nuit, il vient dire bonsoir. non, il ne veut pas rentrer. "Bonjour, nous avons rendez-vous avez la maitresse de maison et son fils, Earl Aymslowe. Je suis sa future épouse". Un gros "Entrez je les préviens. Et ne touchez à rien." Quoi un futur papa? Non , il en veut pas, mais il n'a pas le temps de dire quoi que ce soit qu'on le pousse à l'intérieur. Non il veut l'ancie.... Il se fige et lève la tête en l'air. La maison doit toucher le ciel de l'intérieur... Ne rien toucher... Ça ne risque pas, ça fait peur ici et puis il veut retrouver la forêt et voler avec son père, pas être dans cette maison moche, avec un monstre moche à l'entrée et des statues moches, des odeurs qui rendent malades et ... c'est trop bizarre ici. Il a l'impression que y'a pas de couleur, que tout est sombre et que des gens mauvais y vivent. A coté de lui, il a les deux autres, Machar 6 ans et Sinéad 3 ans qui s'agrippe à son pantalon de ses petits points. "On est où Duncan. Ca fait peur. " "Moi je veux Monsieur Pluquy!" crie Sinéad que sa mère a obligé a posé le doudou pour plus de droiture. C'est nul, on enlève pas le doudou à une petite fille. Duncan il est en colère contre sa mère et il lui fait les gros yeux. Et elle, elle les lorgne de coté " Soyez digne les enfants. Sinéad arrête de te plaindre." " Mais je veux monsieur Pluquy!!" "Oh ne fais pas l'enfant, tu auras monsieur Pluquy plus tard! " "D'accord ..." murmure la petite en enfouissant son nez dans le pantalon de Duncàn . "mais je veux monsieur pluquy..."Duncàn passe sa main dans la tête de sa petite soeur et garde son frêre par la main. "On a qu'à dire que c'est comme dans un conte de princesse sauf que ça fait peur et qu'c'est moche... mais je vous protègerai... j'ai promis à papa." dit Duncàn à voix basse. Et là , plusieurs personnes arrivent et Earl ouvre les bras sur la femme de sa vie. Derrière eux, il y a une sorcière avec une bouquet de fleurs toutes flétries, comme sa peau. Elle regarde les trois gosses avec de grands yeux qui pourraient tout manger et Sinéad se cache derrière Duncàn. Elle c'est la sorcière. Lui c'est le prince charmant . Plusieurs personnes , toutes un peu bizarres, et... une tête qui dépasse d'une cuisse. Oh. Un autre garçon? C'est qui ? Les enfants se regardent comme s'ils découvraient le monde, et ne bougent pas. Machar fronce les sourcils et croise les bras en tournant le dos. "Lui je l'aime pas, il est moche et il est même pas comme nous." Duncan lui , ne dit rien. Il le trouve mignon et il a pas l'air méchant... Et puis il est tout seul. Ça doit pas être drôle. On le pousse violemment vers les trois gamins, et la matriarche balance: " Allez Megan, rends toi utile, va leur dire bonjour!" ... Cette femme c'est décidé, Duncàn ne l'aimerait jamais. POUDLARD. DE LA PROIE AU PRÉDATEUR. Comme précédemment expliqué, Duncan avait perdu son père depuis moins d'un an, et intégré une nouvelle famille à laquelle il n'adhérait absolument pas, quand il rentra à Poudlard. Les débuts ont été extrêmement durs. Perturbé, perdu, il n'avait absolument pas envie de se concentrer sur des cours qu'ils considérait obsolète. A cette époque, il voulait une seule chose: son père et rien à foutre du reste. Mais les cours de combat lui donnèrent une opportunité hors du commun pour prouver sa valeur et honorer la mort de celui qui l'avait guidé jusque là. il excella dans ce cours du début à la fin de ses études. Prodige du vol, il mit en application depuis le début ses talents. Il aima encore plus ce sport, ne le connaissant qu'en dehors du terrain, il n'y avait rien à dire, il était fait pour ça. Le seul soucis? Très simple, il était nul au reste. Et être nul , même en temps que nouvel Aymslowe, c'était inacceptable. Sa mère lui fit comprendre, puis bientôt cette femme qu'il détestait. Et de la manière forte. Earl ne réagissait pas aux mauvais traitement en cachette , et Machar et Sinéad était encore trop petits pour oser dire quoi que ce soit. Une seule règle: être le meilleur et amener la famille au prestige. Un jour, sa mère lui dit avant le sommeil: " Tu sais Duncàn, si tu ne fais pas de ton mieux, tu finiras comme ton père... il pensait être au top , mais il est tombé bien bas... ne fais pas cette erreur. " Duncàn prit ça comme un avertissement de taille et un aveu. La guerre était lancée. Non pas contre la famille, non pas contre sa mère ou la vieille harpie, mais contre tous ou presque. Marre de se faire humilier, marre de se faire punir, marre de prendre sur la gueule et d'être juger. Il allait prendre le taureau par les cornes et tous verront. Oui , ils verront. Et c'est ainsi que sa baguette avait été confirmée dans son choix de propriétaire. Il allait devenir puissante dans les mains de ce gamin torturé. Une lueur rageuse naquit en Duncàn, une lueur qui s'étoffa comme une épidémie dans chacune de ses cellules. Les larmes rentrèrent, l'intérieur des joues fut mordu pour plus de courage et jura de poutrer les sorciers de cette putain de famille, mais en attendant, il allait jouer les fils exemplaire et faire en sorte que tout aille dans le sens des ainés. Le gosse se mit dans ses cours, bouchées doubles, à ne pas en dormir, provoquant rapidement les insomnies dont il souffre encore aujourd'hui. Encore des feuilles, encore des stylos, tourne la page, puis celle là, ses yeux avalent les cours, ses neurones vibrent et il tombe parfois de fatigue mais la matriarche est satisfaite. Les Aymslowe ne cessent de pousser leurs enfants à penser que les sangs purs sont les meilleurs, les plus purs, mais pour Duncàn, il n'y en a qu'un seul qu'il mènera au sommet: lui. Il est sang pur, ça ne devrait pas leur poser problème son ambition dissimulée. Seulement contrairement à ce qu'ils pensent, ce n'est pas une mauvaise ambition. Il veut rayer de la carte tous ces salopards de sang purs paresseux qui se reposent sur leurs lauriers, ne foutent rien à par détruire le monde. La droiture: une chose à laquelle tient son père. Seulement à force de lui répéter que les sangs purs sont les plus méritants, Duncàn perd parfois la notion de cette droiture. Involontairement certes. Il s'est maintes fois engueuler avec certains de Serpentard, trop brouillons à son gout, trop portant sur le fait de montrer qu'ils sont sournois, ambitieux et les meilleurs. Tu veux jouer? Amène ta gueule que je te la refasse. En quelques années, Duncàn passa du cancre timide et craintif, à un grand brun au regard sombre et plein d'assurance, excellent en cours et qu'on ne cherchait plus. Emprunt à la violence, il n'en restait pas moins que si on ne venait pas l'emmerder, il restait calme et agréable. Aujourd'hui, il est extrêmement difficile de le comprendre, et encore plus quand on prend en compte son patronus et sa baguette. Une chose est sûr, vu son niveau , il est promu à une carrière professionnelle dans le Quidditch de Trés Haut Niveau. Le Pygargue, rien de mieux pour le définir. Il eut ses examen haut la main, faisant honneur à la famille Aymslowe, et rendant mort de jalousie Konrad et son jumeau. Ces trois là se vouent un amour sans borne c'est certain. Duncàn rêve du jour où il lui collera la branlée de sa vie devant tout le monde.
De la crevette de 10 ans, il possède aujourd'hui quatre vingt cinq bons kilos de muscles et autant en force et rapidité pour agrémenter ses compétences de vol sur balai. Ne pas jouer aux coups d'épaule avec lui, ce serait dommage de voler dans le décor, d'autant plus qu'il ne fait pas de cadeau. Pourtant, on ne lui jamais reproché quelconques entraves au règlement du Quidditch. Joueur, analyste et intelligent, son nindo : "Qui il faut, Où il faut, quand il faut." Mais la bassesse n'est pas son style.... il est au dessus de ces conneries. Il reste toujours aussi sérieux en cours, bosse comme un acharné, et n'est pas un excellent fêtard, préférant des sorties et soirées un peu plus intimes ou en comité réduit. Certes brut de décoffrage, il n'en reste pas moins torturé, mais aujourd'hui, on ne le chasse plus, on ne le punis plus, on ne le soumet plus, c'est lui qui prend les rênes, et il vaut mieux éviter de se le foutre à dos. "Duncan mis de travers, dans ta gueule un bon coup d'serres."
SES RÔLES DANS LES ÉVÉNEMENTS LES DIFFERENTES ATTTAQUES DE POUDLARD, notamment le Poudlard Express: Compliqué. Il n'y a pas assisté à proprement parlé pour le train, monsieur préfère les airs. En revanche , il a pris en pleine poire l'attaque du Match de Quidditch en Janvier 1980 par les Mangemorts. Résultat, deux semaines d'hospitalisé pour diverses contusion, il a été sauvé par son patronus qui a tenté de freiner sa chute libre. Il a fini explosé dans les gradins, avec diverses plaies. Il en garde une large cicatrices sur le dos, au niveau du rein gauche. Il y a perdu sa rate, perforée dans le choc avec les gradins qui ont éclaté sous son dos. Il aurait pu se fracasser le crâne si une bannière ne s'était pas emmêlé à son corps, se déchirant sous le poids du corps et protégeant son crâne.
LA PRESENCE DES AURORS A PARTIR DE SEPT 79: Tant que l'un d'eux ne lui prend pas à proprement parler le chou, il n'ira pas chercher querelle et s'en fout simplement. Mais il est hors de question que l'un d'eux l'empêche de voler. Le priver de ciel c'est déclaré la guerre.
AUGUSTE POWELL ET LE DEPART DE DUMBLEDORE: Il ne sait pas trop quoi en penser. c'est un comme avec sa famille, il regarde tout ça d'un air détaché, en se demandant quelle sera encore la prouesse prochaine. Non parce qu'ils sont doués en général, autant que ce soit une distraction. Ses réformes? Si ça peut lui faire plaisir, c'est un peu comme quand sa famille parle d'être gentille, c'est... bizarre... impossible. On verra combien de temps ça tiendra.
L'EPIDEMIE : La peste des patronus. Qui est le con qui a dit que c'était dans la tête? Cette excuse là des doc de Poudlard, c'est une des choses qui a rendu furieux Duncàn, qui a vu un de ses amis finir très mal dans un lit d'hopital sans avoir le droit de l'approcher. Il a d'ailleurs collé une beigne à un membre du personnel, furieux et s'est pris un avertissement. l'unique de tout son cursus. Une avertissement qui a été retiré par Dumbledore ensuite, après une longue discussion. Pour le moment, il n'est pas touché, mais il n'est pas fou, il sait qu'il n'est pas immunisé, il n'y croit pas. Il croit juste que la seule chose qui lui permet d'éviter de mal finir, c'est qu'il passe son temps dans les airs, c'est tout. Et aussi le lien extra fusionnel qui lient Heftig à son sorcier. Mais cette histoire l'énerve, parce que tous les grands spécialistes discutent mais ne font que ça, et pendant ce temps, eux ils morflent !
Tell me who you really are.
ϟ pseudo et âge:lock - 29 ans ϟ Où as-tu trouvé le forum? top site ϟ Personnage: Scenario ϟ As-tu un autre compte sur BP? Nop ϟ Présence: Tous les jours? ϟ Une remarque?
Dernière édition par Duncàn Aymslowe le Mer 25 Mar - 11:09, édité 23 fois |
| | Re: Ego sum filius venti. - Terminée-par Invité, Lun 23 Mar - 20:03 ( #) | Bienvenuuuuue |
| | Re: Ego sum filius venti. - Terminée-par Invité, Lun 23 Mar - 20:04 ( #) | Mdr grand malade, dans la minute même ou je poste! Avoue tu m'espionnes! xD |
| | Re: Ego sum filius venti. - Terminée-par Invité, Lun 23 Mar - 20:06 ( #) | Mince, démasqué |
| | Re: Ego sum filius venti. - Terminée-par Invité, Lun 23 Mar - 20:06 ( #) | Bienvenue Tu as déjà craqué Contente de te voir parmi nous Bon courage pour le reste de ta fiche Et ton vava |
| | Re: Ego sum filius venti. - Terminée-par Invité, Lun 23 Mar - 20:07 ( #) | Haaaan comment j'ai pas pu preumser maisc'estpasgravec'estShawnquil'afait //SBaaf BIENVENUUUUE Grand frère J'vais commencer à lire ce que tu as mis déjà *-* |
| | Re: Ego sum filius venti. - Terminée-par Invité, Lun 23 Mar - 20:09 ( #) | Bienvenue à toi Tout plein de courage pour ta fiche, j'adore tellement j'ai hâte de lire la suite on a le même type de patronus, il nous faudra un lien |
| | Re: Ego sum filius venti. - Terminée-par Invité, Lun 23 Mar - 20:13 ( #) | Bienvenue parmi nous charmant jeune homme . Va falloir mettre une chemise quand même, trop de nudité là ! Bonne chance pour la suite de ta fiche Et futur élève à moi |
| | Re: Ego sum filius venti. - Terminée-par Invité, Lun 23 Mar - 20:19 ( #) | Woh... Tout ça en si peu de temps. Deshawn XD spèce de fou, j'aime. Mon petit chiot, faut courir plus vite avec tes petites jambes! J'te donnerai des cours de quidditch, tu lui mettras des coups de balai pour pas qu'il te vole la vedette. xD Charline, ouaip, présent! Et au passage, j'adore ta forme patronus petit cochon. Ce serait typiquement le genre de patronus que le mien viendra traumatiser Merci Alexis ^^, ce sera avec plaisir le lien ! Monsieur Magedore, j'suis parfaitement habillé Et puis il fait trop chaud à Poudlard, faut baisser les radiateurs (*non c'est jamais de sa faute*) Et encore merci à tous pour l'accueil et l'aide *_* |
| | Re: Ego sum filius venti. - Terminée-par Invité, Lun 23 Mar - 20:21 ( #) | Bienvenuuue Bonne chance pour la suite de ta fiche |
| | Re: Ego sum filius venti. - Terminée-par Invité, Lun 23 Mar - 20:51 ( #) | Toi. Tu me plais. On pourrait peut être éventuellement devenir amis, si tu es digne de ma personne. - Spoiler:
Je te réserve déjà un lien! Ah oui et bienvenue!
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| | Re: Ego sum filius venti. - Terminée-par Invité, Lun 23 Mar - 20:56 ( #) | Bienvenue à toi et bonne chance pour ta fiche |
| | Re: Ego sum filius venti. - Terminée-par Invité, Lun 23 Mar - 21:00 ( #) | Leonard, merci de ton accueil , j'adore le gif de ton patronus, il m'a fait rire ^^ Amadeus, bigre, voilà une entrée un peu atypique. Et bien soit, je te réserve un lien également, nous verrons ce qu'il en retourne. Merci à toi Onixiane ^^ |
| | Re: Ego sum filius venti. - Terminée-par Invité, Lun 23 Mar - 21:05 ( #) | Bon j'aurais bien envoyé Léli sur ta fiche mais plus tard Bienvenue a toi et bon courage pour ta fiche Bon choix de famille |
| | Re: Ego sum filius venti. - Terminée-par Guest, Lun 23 Mar - 21:08 ( #) | |
| | Re: Ego sum filius venti. - Terminée-par Contenu sponsorisé, ( #) | |
| | Ego sum filius venti. - Terminée- | |
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