| Eren N. Black ~ King of your nightmarespar Guest, Lun 27 Avr - 22:09 ( #) | [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Eren Néron Black FEAT. Ian Somerhalder 28 ans ϟ Enseignement Magique ϟ Mygale ϟ Sang PurNom: Black. « Toujours pur. » Un nom qui inspire le respect, un nom qui fait frisonner de peur la plupart des gens, un nom qu'il porte avec le plus grand respect. Famille noble, pur, respecté, il sait qu'il n'aurait pas pus mieux tomber et il fera tout pour que sa famille reste dans les hautes sphères de cette société élitiste. Prénom: Eren Choix de son père et pourtant tellement éloigné du caractère de celui qui le porte. Il signifie « personne sainte », contraste total et il ne faut certainement pas s'arrêter à cela si vous voulez cerner Eren. Arrêtez vous plutôt à son second prénom, Néron. Choix maternelle cette fois ci. Un homme de pouvoir, un homme sanguinaire, un dictateur. Apprêtez vous à accueillir l'empereur de vos cauchemar, le véritable roi des enfers. Âge et Date de Naissance: 28 ans, 1 janvier 1953. Une naissance pour accueillir une nouvelle année, un événement qui marqua pour lui cet an. Il le marqua en apparaissant, la divine présence d'Eren Néron Black pour se faire servir depuis 28 ans désormais. Nature du sang: Sang plus pur que pur. Osez remettre cela en question devant un Black, vous le paierez très cher.. Situation familiale: S'il y a bien une femme que les gens ont en tête lorsque l'on cite le nom Black c'est bien Callysta Black (anciennement Lestrange). Une femme de poigne et de pouvoir. Bien loin du cliché à vomir des femmes sang pur soumises et bonne à pondre un héritier sans rien savoir faire d'autre... Non dans sa famille c'est elle qui menait la danse et qu'il lui a tout inculqué... Ajouter à ça un Sylla présent comme figure masculine mais totalement asservis par la passion froide mais sans borne qu'il vouait à sa femme jusqu'à sa mort il y a six ans... Une figure bien trop faiblarde pour un Eren bien trop dominateur...Agrippine, sœur jumelle décédée à l'âge de huit ans. Un lien très fort les unissait. Si dans un premier temps l'heure avait été au conflit, ensuite l'un n'avait plus sus se passer de l'autre et inversement. Jusqu'à ce que les vermines envahissant cette planète ne l'enlève à Eren. Morte bien trop tôt, disparus depuis bien trop longtemps... Et puis une petite sœur, Perséphone, vipère, tellement semblable à sa mère mais si protégé par son frère. Princesse des temps moderne, peste invétéré et garce des cœurs. Une famille orageuse dans l'intimité, mais tellement fière et noble en apparence. Avec une obsédé du contrôle comme Callysta tout a intérêt de filer droit... Patronus: Une mygale , fourbe comme celui qui l'a créé. Elle n'a pas de forme corporel pourtant il ne peut s'empêcher de la nommer comme beaucoup l'on déjà fait, c'est sa petite Némésis à lui, sa petite déesse de la vengeance... Miroir du Rised: Un monde dépeuplé de toutes ces créatures insignifiantes au sang salis, aux idéologies dégradante.... Lui roi de ce monde, chef de cette nation purifié... Lui sur son trône d'or avec son peuple à ses pieds... Rien de plus, rien de moins. Les gens n'ont pas d’intérêt pour lui, et les liens ne signifient rien, puisqu'ils finissent toujours par être brisés... Composition de la baguette magique: Bois d'orme, 31 centimètres et ventricule de dragon. Une baguette aussi rigide que son possesseur, mais parfaite pour lui. Elle possède toutes les qualités qu'il aurait pus espérer d'une baguette, bien plus efficaces lorsqu'il s'agit de lancer des sortilèges... Attention à vous... Epouvantard: Il aimerait dire qu'il n'a aucune peur, que rien ne représente de crainte pour lui... Il aimerait pouvoir affirmer qu'il n'est qu'un dieu parmi tout ces hommes... Pourtant devant un épouvantard il comprend rapidement qu'il n'est qu'humain... Surtout lorsque celui ci prend son visage, son corps dénaturé par ces vêtements moldus, lui sans pouvoir, sans magie, pauvre, sans rien, ami du peuple...Lui simple moldus sans asile. Etudes Suivies: Après une scolarité brillamment mené à Poudlard, le jeune sang pur a choisis la voix de l'enseignement magique. Cela a été décidé au cours d'une longue délibération entre lui et lui même, comme si quelqu'un d'autre pouvait interférer dans sa propre vie. Les sciences politiques l'attiraient bien trop mais l'enseignement eut raison de tout, une véritable passion que celle d'enseigner, bien qu'il ne le montrera jamais. Il ajouta les Arts occultes et l'Arithmancie au panel de matières déjà étudiés et fut diplômé à ses 23 ans. Il disparut quatre ans pour une série de stage à travers le monde, qu'il fit dans les plus grandes écoles comme Salem ou Durmstrang, avant d'arriver à Poudlard. [/url] Animal de compagnie: Ses élèves ne suffisent-ils pas à occuper cette place ? Bestiole sans grand intérêts qu'il aimerait bien noyer... Chaos d'effort pour s'en occuper... Caractère Je ne suis pas le genre de personnage classé dans la catégorie des gens fréquentable. Beaucoup vous le dirons d'ailleurs, ils soutiendront que je suis un monstre, que je n'ai pas d'états d'âme. Mais je me fiche de leur avis. Personne n'est de taille à porter une quelconque critique sur ma sacro-sainte personne. Personne n'a le droit d’émettre un quelconque jugement, ni même d'oser prononcer mon nom. Je suis un Black, rien qu'à l'entente de mon nom vous devriez me craindre, vous devriez trembler, vous agenouiller. Mon sang est le plus pur de tous. Je dois vous paraître prétentieux. Et bien je ne le suis pas , je suis juste réaliste. Je vois les choses telles qu'elles sont, telles qu'elles devraient l'être. Un idéaliste ? Peut-être. Mon idéal serait de créer un monde déserter de tout ses sangs impurs qui polluent notre atmosphère. Je les hais, je les exècre. Je comprends ce qu'est la véritable haine quand je les vois, quand mon estomac se retourne à leur vu, que mon sang bas dangereusement dans mes veines. Ils m'ont tous pris, ils ont osés tenter de m'atteindre. Dans un balais funeste ils m'ont retiré ma sœur, ma jumelle. Un outrage beaucoup trop grand, une plaie trop déchirante. Sans le savoir ils ont enclenchés un processus sans retour. Comment auraient-ils pus penser, si peu vif d'esprit, qu'un si jeune enfant puisse devenir si mauvais par leurs actions. Je n'avais que huit ans et pourtant j'étais déjà très intelligent, je ne mis pas longtemps à comprendre la situation. Je me retranchais dans le caprice, j'étais l'héritier, celui que l'on ne peut atteindre. J'ai tout les droits, les autres n'en n'ont qu'un, celui de m'obéir. Allant de tragédie en tragédie, sombrant dans la déchéance causés par ces êtres pathétique, je perdis tout. Par leur faute ! Qu'ils ne s'étonnent pas si désormais se dresse un véritable suppôt du mal. Mais dans cette comédie qu'on appelle la vie j'ai sus trouver ma place, j'ai sus m'adapter, j'ai sus prendre la bonne voix. Pour avoir le pouvoir il faut être stratégique, il faut penser à tout les coups possibles, envisager toutes les possibilités. Ne pas rester sur ses acquis. Je suis de nature quelqu'un de manipulateur, je suis passé maître dans la stratégie. Ce qui me plaît c'est bouleverser les fondements, déstabiliser mes ennemis pour mieux les écraser. Je suis un imprésario, je n'ai pas de limite, je commande, je dirige. Je revêts tellement de costumes, tellement de masques, que je les perds. Ils ne savent pas qui je suis, ils n'arrivent pas à me mettre dans une case, ils perdent la tête à force d'essayer de me comprendre. Je mène la danse, je me fonds dans la masse, je les fais tournoyez jusqu'à ce que leur tête tourne à n'en plus pouvoir. Vous l'aurez compris je suis charismatique, j'ai tellement de visages que peu savent lequel est le vrai. Ma manière d'être dépends de la personne avec laquelle je me trouve. La plupart du temps vous aurez à faire au digne Eren, le sophistiqué, le galant, celui qui a reçu une éducation princière. Mais je recèle de nombreux vices. Le sadisme en fait partis. J'aime la souffrance, j'aime la voir à son apothéose. Les cris, les hurlements, résonnent comme une douce mélodie à mon oreille. Je suis un mégalomane, la folie des grandeurs m'envahit à chaque fois que je caresse mon but et que j'approche de la victoire. En apparence je suis froid, distant mais mes traits s'adoucissent pour tromper l'ennemi, si bien que l'on me donnerait Merlin sans confession. Je parais tellement calme, tellement apaisé et pourtant je suis la personne la plus sanguine et agressive que je connaisse. Cela rends mes coups de colère plus impressionnants et plus terrifiants. Lunatique ? Mon trait de caractère le plus cinglant, je valse entre les humeurs, comme sur un échiquier, je passe du noir au blanc, d'une humeur légère à une colère sans nom. Comme vous l'aurez compris je suis un homme aux multiples visages, ce qui me connaissent bien m'appellent ironiquement Janus. Si je devais ajouter quelque chose.. Oh et puis pourquoi je vous raconte ça ! Comme si vous étiez assez digne pour m'écouter ! Et comme si j'avais du temps à perdre avec vous ! a little something from you. Emploi: Si je devais parler de mon parcours scolaire, ça serait rapide, et je n'aurais qu'un mot à dire, brillant. Après tout j'ai réussis mes buses avec brio, j'ai encore mieux réussis mes Aspics arrivant major de ma promotion cette année là et je n'ai fais qu'une bouchée de mes études supérieures en enseignement magique. Que demander de plus ? Je me suis toujours promis un avenir brillant et je me suis donner les moyens de l'obtenir. J'ai travaillé dur, je me suis donné les moyens d'avoir tout cela. Malgré ma condition je savais que tout n'allais pas me tomber dans le bec. Puis je suis partis faire une série de stage à l'étranger, voguant entre Beaubatons et Salem. Deux ans en France, puis un an aux Etats-Unis, avant d'entrer à Durmstrang pour y enseigner durant une année la magie noire. J'y serais rester si ma vie n'avait pas si tragiquement boulverser. Quoi qu'il en soit c'est avec une expérience très riche et varié que j'ai réussis à décrocher un poste à Poudlard. Comme s'ils pouvaient me le refuser ! Je suis le meilleur professeur de legilimencie qu'il pouvait espérer. Les élèves vont souffrir, et j'y prendrais du plaisir. Patronus: Un sort dur, très dur, surtout lorsque les souvenirs heureux ne sont pas ce qui peuplent en majorité mon esprit. Chaque fois que je tentais, j'échouais lamentablement. Puis j'ai finis par penser à elle. Sûrement la seule phase véritablement heureuse que j'ai eu durant mon existence. Plus j'y penser, plus ces trois années me revenaient en tête, plus je sentais les résultats évoluer, s'améliorer, jusqu'à ce qu'elle apparaisse, ma Némésis, mon patronus... Mygale discrète mais féroce, douce mais venimeuse. Cette veuve noir à la taille démultiplié, au faisceau argenté qui rayonne autour de moi à chacune de ses apparitions. Ce n'est pas ce que j'aurais imaginé en pensant à elle, une louve, une panthère, une lionne, mais pas une araignée... A moins que les crocs de ma Némésis soient là pour me montrer ce que j'ai perdu, quand je l'ai perdu, elle. Venimeuse piqûre de rappel. You're not a sad story. 1 janvier 1953
Ma naissance, jour sacré jour qui marquera l'histoire. Dans 150 ans, on s'en souviendra encore. Nouvelle année, à minuit pile un cris envahissait le manoir Black, le mien. Moi, l'héritier de la famille, le premier né, le futur dieu de cette terre. Égocentrique dés les premières minutes ? Très certainement. Je voulais que l'attention soit focalisé sur moi et seulement sur moi. Je venais d'arriver, et tout le monde ne devait se préoccuper que de ma sainte personne. C'était sans compter l'arrivée de ma jumelle, ma chère Agrippine. Mes cris décuplèrent, je voulais que les regards et les attentions ne soient dirigés que vers moi. Après tout pourquoi une petite fille, né après moi, arriverait à capter plus d'attention que moi ? Totalement invraisemblable, inimaginable voyons... Se fut un jour de fête, un jour qui honora ma famille... L'héritier était né, la ligné était sauvegardé, il ne restait plus qu'à lui inculquer l'éducation qu'il méritait et il deviendrait le nouvelle homme fort de cette branche Black. L'on ma souvent dit que les premiers mots que ma mère souffla après ma naissance furent... « Néron...Néron... Je veux qu'il s'appelle Néron... Je veux qu'il domine, qu'il dirige, je veux qu'il soit un dictateur sans état d'âme...Je veux qu'il ait un début glorieux, mais mon fils lui, aura le droit à une fin magistrale...» Pas d'amour maternel mal placé, pas de sentiments inutiles qui venaient s'ajouter à l'équation... Non juste la candeur d'un nouveau né, les caprices de ces cris et les projets faramineux d'une jeune mère... Le ton de mon existence et ma gloire future annoncé dés mon premier cri.
29 mars1959
Une nouvelle venue venait troubler le calme presque impérial du manoir Black. Qui osait donc venir déranger ma petite vie si royale ? Après tout, j'avais tout ce qu'un enfant pouvait désirer. Les gens n'avaient d'yeux que ma sœur et moi, surtout moi. J'étais le petite garçon modèle, parfois trop égocentrique, mais d'après ma mère c'était une valeur sûre. Signe que j'allais me préoccuper entièrement et essentiellement de mon bien être par la suite. Et pour elle, c'est tout ce qui comptait que je sois ce futur roi sans cœur, celui qui ne veillerait qu'à lui, qui ne se préoccuperait pas du sort des autres. Car dans ce monde avoir du cœur pour quelqu'un d'autre que nous nous affaiblis, nous rends fragile. Et je veux être dur comme le diamant, solide comme le roc. En ce jour de Pâques, une nouvelle Black venait de voir le jour, une nouvelle princesse pour remplir les pièces de cette tour d'ivoire. Perséphone Black. Si Agrippine était de caractère plutôt calme et timide, comme pouvait l'être mon père. Perséphone était mon double en plus jeune, on aurait pus croire que c'était elle ma jumelle. Une petite blonde qui venait briser le camaïeu de brun de notre famille. Certains murmurait des mots comme « bâtarde », « infidélité ». Je ne comprenais pas vraiment ce que tout cela signifiait, pour moi ce n'était que du baratin qui rendait ma mère dans une folie furieuse. Ce n'est que plus tard que je compris que la jeune Perséphone n'était sûrement pas la fille de mon père, une blonde aux yeux vert, portrait craché du frère de notre père décédé quelques mois plutôt dans des conditions bien plus qu'étrange... Beaucoup souffle qu'il s'agirait d'un crime passionnel commis par ma mère, d'autre que ce n'est que l’œuvre de mon père, aveuglé par la jalousie et la vengeance. Seulement personne n'oserait remettre la vertu de ma chère mère et certainement pas mon père....
14 février 1961
Bienvenue dans le jour maudit. Jour inoubliable pour son bain de sang. Une idée de ma mère exécuté par mon père. Nous faire découvrir le monde purulent des vermines moldus. L'idée ? Nous dégoutter à vie. C'était simple et clair, nous montrer pendant plusieurs minutes ces animaux, ces bêtes sauvages, nous laisser découvrir ce monde affreux puis revenir dans notre paradis, dans notre univers doré et parfait. Seulement ce qui n'était pas à prévoir, c'était la folie de ces bêtes. Le criminalité de ces monstres. Leur armes à feu, leur armes maudites. Comme cette balle argenté qui a perforé la poitrine de ma sœur. Cette balle perdue lancé par ce voleur tentant de s'échapper avec son butin. Morte sur le coups, ma jumelle, mon Agrippine, morte dans mes bras d'enfants sous mon hurlement. Son sang baignant mes vêtements... Les personnes costumé pour ce mardi gras s'étaient stoppé.. On entendait plus les musiques romantiques de cette St Valentin... Non seulement mes pleurs de rage et de peur... On ne voyait plus le rouge de l'amour, mais celui du sang de ma sœur baignant la ruelle londonienne...
20 février 1961
Saint aimée... Et Salazar savait à quel point je l'aimais, à quel point j'étais attaché à ma jumelle... Enterrement. Deuil. Horreur. Mais pas de pleurs, surtout ne as montrer notre émotion, tout garder pour nous. Ultime leçon de notre mère, rester noble et froid. Pourtant du haut de mes huit ans je sentais mon cœur s'effriter lentement au rythme de la terre qui recouvrait ce petit cercueil blanc. Aussi pure qu'elle... Je me suis juré ce jour là de la venger... Je vengerais mon Agrippine... Je ferais payer à toutes ces raclures de né moldus, de moldus, d'être infâmes la mort de ma sœur... Incapable de lui dire adieu, simplement à plus tard... Je me suis endurcis ce jour là, je n'ai plus été le même à partir de cette date... Bien trop marqué, bien trop traumatisé... Échappé la candeur enfantine, bienvenue la noirceur d'Eren Néron Black... Plus jamais ça... La vie continuerait et ils paieraient... Tous jusqu'au dernier, mon plus cher désir, mon plus rêve... Une soirée rythmée par les hurlements atroces, les cris, les supplications... Installé dans le grand salon devant le feu, la petite Perséphone endormis contre moi, alors que cette mélodie macabre me berce lentement... Le tueur, ce moldus torturait à mort dans les sous sol du manoir Black... Ma mère simple observatrice, mon père bourreau de ce meurtrier... Mais cela ne combla jamais le manque et ne changea rien à mes projets... Mes derniers mots avant d'aller me coucher furent diriger vers ces raclures... « Je ferais de votre vie un bain de sang... »
2 septembre 1965
Nouvelle école, nouveau territoire à conquérir. Ma rentrée scolaire au sein de Poudlard, mon arrivée dans le château que l'on m'a si souvent décrit et narré. De nouveau visage se dessine devant mes yeux de jeune garçon. Je rencontre des personnes au sang différent du bien, je me sens bouillonner de colère et de rage, je me sens vibrer de haine. Ils sont là, partout près de moi, les assassins d'Agrippine m'entoure et m’oppresse. Je vais devoir vivre avec eux, je vais devoir grandir près d'eux... Même ceux de mon propre sang arrive à me dégoûter, à faire pulser ma haine... Cette Malefoy à la mère Parkinson, cette Alyssandra bien trop capricieuse, bien trop arrogante... Celle que je veux détester, celle que je veux haïr, celle que je me promets de faire souffrir... Mère l'a dit, tu es comme ta mère, tu es nocive... Tu es une mauvaise herbe que je dois dompter et asservir. Petite tête blonde à qui je vais tourner la tête, que je vais punir pour respirer le même air que moi...
14 février 1969
Journée brumeuse, voir orageuse... En parfaite harmonie avec mon humeur. Chaque année depuis 8 ans, c'est le jour où je m'exile dans un monde lointain. Un jour où personne n'a le droit de m'agacer, de me parler ou de me provoquer... Mon jour de deuil, mon jour à moi... Le jour où le souvenir d'Agrippine se fait le plus fort... Un manque constant... Ma jumelle, ma moitié... La seule pour qui j'aurai tout donner, la seule que j'aurais pus aimer.. D'un amour fraternel, mais d'un amour quand même.. La seule qui aurait pus sauver ce cœur mort, ce cœur au bord de la destruction... Mais il faut que tu sois là. Toi. La garce, la folle furieuse qui a envahit ma vie depuis quatre ans... Tu viens impunément me provoquer alors que tu sais pertinemment que ce n'est pas le jour, tu sais ce qu'il représente, tu sais que je suis dans la tour d’astronomie à regarder les étoiles comme elle aimait le faire... J'ai à peine le temps de lancer cette marguerite du haut de la tour, que ton flot de provocation faillis de ta bouche comme un flot de venin... Je finis par exploser... Je suis furieux comme jamais... C'est bien la première fois que tu me vois dans un tel état de rage.. Dans une colère aussi destructrice, tu as dépassé la limite, les jeux d'enfants, se transforme en jeux sanglants.. Les sorts fusent comme le sang... Et nous finissons à l'infirmerie pantelants et vidé de ce liquide carmin si précieux, je me fiche d'avoir abîmé ton visage de poupée, je ne voulais qu'une chose. Ta mort.
2 septembre 1971
Deux ans que je n'ai pas adressé la parole à la capricieuse poupée de porcelaine.. Deux années à s'ignorer le plus froidement du monde après notre éclat de colère. Ma réputation n'est plus à refaire depuis ce jour là. Je suis celui qu'il ne faut pas approcher, celui qui pourrait vous briser la nuque sans le moindre état d'âme, que vous soyez un homme ou une femme... Je n'ai pas peur de grand chose, sûrement pas d'eux... Je n'ai plus rien à perdre et tout à gagner. Seulement tu as bien changé depuis le temps. Ta beauté n'a plus de limite et je ne peux qu'être charmé par ton physique bien plus qu'attrayant... Une véritable déesse... Je me sens craquer au moindre de tes mouvement, à chacune de tes apparitions.. En cette nouvelle année le ton est lancé... Plus de haches de guerre, mais une véritable bataille de séduction entre nous deux.. Je veux t'avoir et je t'aurais. En ce jour je me fais la promesse, qu'un jour tu m'appartiendras Alyssandra, et j'obtiens toujours ce que je souhaite....Toujours.
4 juillet 1972
Je t'ai. Tu es enfin à moi. Alyssandra Malefoy m'appartient, cette déesse ne réside plus qu'à mon bras. Une soirée d'été, un frustration trop longtemps contenue, des mères qui se haïssent mais un désir bien trop fort. Une haine qui force le plaisir, un amour interdit... Des vêtements qui se perdent, qui atterrissent on ne sait où, et juste nous, et notre envie... Nos corps imbriqués l'un dans l'autre, nos peaux qui se touchent et s'effleurent et tes lèvres pendues aux miennes. Un jour mémorable, un jour marqué dans nos chair, une marque presque invisible qui nous lie à jamais. Je te fais mienne pour l'éternité, moi l'homme incapable d'aimer, mais pourtant bien trop possessif. Je n'ai pas besoin de te dire je t'aime, pour savoir que tu es à moi, et que jamais tu ne pourras filer.
17 mai 1975
Un bonheur ne peut peut être totalement parfait s'il n'y a pas quelque choses pour le brusquer. J'avais tout ma tyrannie, mon pouvoir sur ma lignée, sur ma branche Black et je sortais avec une Malefoy digne de mon rang. Seulement ce que je n'aurais pas prévu, peut-être et très sûrement attendus sans l'attendre, était mes futures fiançailles. Si je croyais pouvoir épouser Alyssandra, comme ce qui était prévu dans ma tête depuis bien longtemps, se fut tout sauf, le cas. Camelia Gaunt, deux ans plus jeune que moi, une parfaite fiancée sang pur, une femme déjà prête à fonder une famille, à être aux crochets de son mari, l'exact opposé de tout ce que je pouvais rechercher. Et c'est presque comme une sentence, tirailler entre l'envie de garder ma blonde, et celle de poursuivre mon ascension fulgurante... que je réussis à accepter ces fiançailles et à rompre avec la déesse de mes nuit, et la démone de ma vie.
3 juillet 1976
Craqué, j'ai craqué... Te résister a été un pur cauchemar et je n'ai tout simplement pas réussis.. T'imaginer dans les bras d'un autre me file la gerbe, me rend cinglé, me fait avoir mes pires crises. Je vais juste devenir timbrer sans toi... T'es à moi, putain tu m'appartiens ! Je ne veux pas de cette Gaunt ennuyante et à mes pieds. Je te veux toi, lionne et sauvage... Pourtant aujourd'hui je l'épouse, je quitte ton lit pour rejoindre l'autel... Je vais passer la bague au doigt à une autre femme que toi... C'est fait, c'est décidé, je ne reviendrais pas en arrière. J'évite les adieu, je pars juste, je fuis, je m'enfuis, je prends mes jambes à mon cou et je pars au galop... Sans me retourner, simplement sur de ce que je veux. Je fais le choix qui est le meilleur, pour ma famille, pour moi, pour ma lignée... Et je le fais, je l'épouse, elle.
14 février 1980 Jour maudit, jour de décès. Chaque 14 février je cause la mort de quelqu'un... Depuis la mort de ma sœur je m’effrite, je meurs à petit feu à cette date.. Et voilà que Camelia meurt à son tour à cette date... Emportant avec elle le cadavre de notre fille morte née.. Je n'ai plus rien... Enfermé dans cette bâtisse en Russie, je regarde juste ce cadavre face à moi, si pale, les yeux dans le vide alors que je me brise définitivement... La folie m’atteins pour de bon cette fois ci... Je l'ai choisis elle, et elle m'a lâchement abandonné... Elle n'avait pas le droit de me laisser, de m'abandonner, elle n'avait pas le droit d'emporter ma fille avec elle... 14 février, jour de mort, jour de deuil, jour maudit.
2septembre 1980
Je suis de retour à Poudlard... Professeur de legilimencie, un poste qui me sied à merveille, même si j'aurais préféré obtenir celui de potions. Me voilà de retour au Royaume Uni, l'esprit plus sombre que jamais, bien déterminé à en faire baver à tout ceux qui m'approcheront. N'est pas Eren Black, qui veut. Tell me who you really are. ϟ pseudo et âge: Mauréna, 18 ans. ϟ Où as-tu trouvé le forum? Top site. ϟ Personnage: Inventé mais famille du livre. ϟ As-tu un autre compte sur BP? Lillith A. Nott ϟ Présence: Très régulière. ϟ Une remarque? Ravie de rejoindre les skyzo !:hihi :
Dernière édition par Eren N. Black le Jeu 30 Avr - 0:23, édité 18 fois |
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