| Paris (+) It's not about who I want to bepar Invité, Mer 18 Nov - 21:40 ( #) | Paris Helio Black ft. Cillian Murphy Sang-pur 34 ans Veuf Bisexuel Assistant bibliothécaire Patronus inexistant Neutre @Tumblr | |
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] À propos Nom: Black. Le poison dans ta maison. Le couteau fiché dans ta déraison. Il coupe, rameute les troupes, promet les entourloupes. C’est un honneur à porter avec bonheur, sans aucune peur. C’est un nom qui ouvre toutes les portes, même les plus fortes. Royal, il ne souffre ni le bancal ni le sale. La pureté est essentielle, c’est ce qui donne aux aigles l’accès au ciel. Le trône est à portée de mains, et l’avenir est si incertain pour les divins. Cruel est le châtiment qui attend les rebelles, ceux qui osent privilégier leurs sentiments plutôt que ceux des parents. S’écarter du droit chemin met fin à l’appartenance et engendre l’offense. Il faut y penser à deux fois, sinon on s’en mord les doigts. Prénom: Paris. La France caresse le bout des langues, tandis que les cœurs tanguent. Le prénom dévoile les origines, celles que personne ne devine. Choix de la mère puisque c’est le père qui a nommé le premier, l’indéniable héritier. Tu as eu l’appellation du guerrier, du prince réédifié. Celui qui a atteint Achille, le fier étalon, au talon. Mais la génitrice a oublié les cicatrices. Ces mauvais présages qu’il porte dans son histoire, cet arrière-goût qui suit la victoire. Troie est tombée, à cause de sa destinée. Et toi tu subis le supplice qui te poursuit depuis que tu es tombé dans le précipice. Helio. Celui qui domine les flots. Hélio qui te colle à la peau. Et c’est rare que des gens le connaissent, utilisant le premier sans cesse. Âge et Date de Naissance: 34 années de pure souffrance, à exciter la violence et la colère de ton père. Tu n’as jamais été le fils chéri, maudit dans ton infinie mélancolie. Il n’y a eu que quelques instants de bonheur depuis ce 13 août de l’an 1947, et ce n’était pas aux côtés de tes géniteurs. Nature du sang: Pur. Mot empreint de vomissures, qui mériterait la rature. Il te dégoûte, il te déroute et tu ne lui as jamais courbé l’échine malgré les blâmes qui te serraient la poitrine. Situation familiale: Bordélique. Les complications se sont multipliées comme sous l’emprise de pulsions imbattables et impitoyables. Tout est sens dessus-dessous, et l’inévitable conclusion est ta solitude dans ce monde absurde. Les parents ont rejeté la femme, l’élue de ton cœur qui l’a remué avec ardeur. L’éloignement, le retrait du prénom de l’arbre sur lequel il trônait depuis que tu es né. Des frères et sœurs qui ne portent pour toi que de la rancœur, toi le souillé, le rebelle désabusé. Patronus: Le néant. Un échec de plus, mais cette fois bel et bien causé par l’enchaînement incessant des fléaux qui régissent ton existence. Miroir du Rised: La toucher une dernière fois. Lui expliquer l’orage qui fait rage dans tes entrailles, la vérité nue, exposé à ses doux yeux qui t’ont fait tomber amoureux. Epouvantard: Ressentir à nouveau. Confrontation directe avec tes sentiments qui t’ont causé tellement de tourments. Maintenant que tu n’es plus qu’une épave, tu voudrais le demeurer jusqu’à ton dernier souffle. Composition de la baguette magique: Rigide baguette d’aubépine, de vingt-sept centimètres de long. En son sein le cœur d’un dragon qui a arrêté de cracher ses flammes il y a bien longtemps. Emploi: Dumbledore t’a toisé avec son regard qui a l’air de tout savoir, puis il t’a proposé cette fonction à Poudlard. On aurait pu croire qu’il l’a inventé pour toi, dans son infinie clémence face à tes souffrances. Assistant bibliothécaire, tu es l’invisible qui s’occupe de remettre les livres dans leurs rayons, celui qui aide les élèves les plus studieux et qui encourage ceux qui ont la haine des bouquins. Animal de compagnie: Timon. Il t’observe de ses grands yeux clairs, brisant les moments solitaires. Le furet au doux pelage, qui vient apaiser l’orage qui se déchaîne sur ton être en peine. | Caractère Tu voulais vivre simplement, honnêtement. Tu voulais t’assoir près de la fenêtre quand il pleuvait et lire des livres à t’en réjouir, sur lesquels tu n’aurais jamais été examiné. Tu voulais peindre parce que tu le voulais, pas parce que tu avais quelque chose à prouver. Tu voulais apprendre à écouter ton corps, dormir lorsque la lune revigore le ciel de sa présence belle, et te réveiller quand cela te fait plaisir, avec nulle part vers où courir. Tu ne voulais pas être gouverné par l’argent, le temps ou n’importe laquelle de ces frontières laides que l’humanité s’est imposée elle-même. Tu voulais juste être sans limites, infini dans tes pensées et tes inspirations. Mais ce n’est aujourd’hui pas le cas, n’est-ce pas? Tu as tellement changé, pourtant tu resté le même être torturé, endommagé, les pans de ta personne répandus aux quatre vents. Un puzzle qui ne peut être reconstruit, complètement détruit. Pourtant, tu demeures doux la plupart du temps. Tu n’as pas laissé le monde te corrompre, bien que tu sois sombre. Tu n’as pas laissé la douleur engendrer la rancœur. Tu n’as pas laissé l’amertume te dépouiller de ta gentillesse. Tu es fier de toi, du fait que malgré toutes les crasses que ton entourage t’a faites, tu crois toujours que le monde est un bel endroit, que la vie vaut la peine d’être vécue. Mais ce qui est affligeant, c’est que si on te demandait qui tu es, la seule réponse que tu pourrais donner avec certitude serait ton nom. Pour le reste : tes amours, tes dégoûts, jusqu’à tes désirs les plus profonds, tu ne peux plus dire si ces émotions t’ont appartenu un jour, t’appartiennent en ce moment ou s’ils ne sont simplement pas calqués de chez les personnes à qui tu voudrais désespérément ressembler. Au lieu d’être ce fantôme ambulant, ces yeux déments où se lit toute la tristesse du monde, et où on peut apercevoir chaque chagrin qui est venu frapper à ta porte pour réclamer son dû. Tu es vide d’objectif, vide de sens, tu n’as plus rien à offrir hormis quelques conseils et il n’y a pas grand-monde pour se bousculer afin de les recevoir. Tu es littéralement l’ombre de toi-même. Ton existence est monotone, tu te réveilles toujours de la même façon, avec les mêmes pensées qui se cognent contre les parois de ton crâne pour t’arracher des frissons d’horreur et de terreur. Tu te détestes. Et tout le monde fait sûrement de même. | Patronus Jamais tu n’as réussi. Et ce n’est pas faute d’avoir essayé. La brume blanchâtre avait prolongé le fil de ta baguette, pourtant elle n’avait aucune consistance, aucune conséquence. Ridicule, futile comme le Black que tu es et qui est né dans la mauvaise maison. Tu t’étais convaincu que c’est un sort stupide, réservé aux naïfs qui voient la vie en rose, qui croient que tout va bien finir, que la terre gravite pour qu’ils naissent et apportent une pierre à l’édifice. Il est pour les optimistes, pour ceux qui ont connu le bonheur à l’état pur, sans raclures. Comment quelqu’un d’aussi gouverné par les ténèbres aurait-il pu invoquer une créature d’espoir pour le réconforter de sa présence chaude? Fadaises. Il ne t’aurait jamais été utile de toute façon, que tu pensais. Comme si arpenter le chemin de traverse ou les rues de Londres aurait-il pu te mener à faire face aux Détraqueurs. Tout simplement burlesque, si tu voulais un animal de compagnie, tu en prendrais un vrai, pas un aux allures spectrales et banales. Pourtant, tu aurais aimé le maîtriser le jour où ils étaient venus. Ils t’avaient poursuivi sans relâche, sous les ordres de ton pire ennemi, de ce Némésis qui s’était attribué comme tâche de te mettre derrière les barreaux. Et tu t’étais révélé impuissant, coincé comme le dernier des imbéciles, réduit à néant. Et toi qui croyais que ces créatures n’avaient pas grand-chose à te voler, tu t’étais senti littéralement creux pour la première fois. La différence n’était pas énorme, pourtant elle t’avait poussé dans tes derniers retranchements. Tu t’étais senti devenir fou, et les supplications n’avaient pas tardé à quitter le seuil de ta bouche. Pas Azkaban. Tu es innocent. Et personne ne t’avait écouté. Tu as eu beau te traîner à genoux, personne n’était venu te sauver. Et l’absence du Patronus ne s’était jamais autant ressentie qu’en ce moment-là. |
Pseudo et âge: pipelette, 20 ans. Où as-tu trouvé le forum ? Bazzart à l’époque, une vile tentatrice en ce moment. Personnage: Famille des Black inventé. As-tu un autre compte sur BP ? Je jouais un Black il y a longtemps, passage plutôt rapide je ne sais plus trop pourquoi, mais j’ai toujours regretté ce merveilleux forum. Présence: Quotidienne sauf empêchements. Une remarque ? Le design déchire et je retrouve des pseudos qui existaient déjà il y a plus ou moins un an, ça fait plaisir de voir que le forum a ses fidèles ! |
Dernière édition par Paris H. Black le Lun 7 Déc - 0:40, édité 1 fois |
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| Re: Paris (+) It's not about who I want to bepar Invité, Mer 18 Nov - 21:41 ( #) | +1 D'ailleurs, si les Black se manifestent et qu'ils veulent des liens avant l'écriture de l'histoire, c'est le moment.
Dernière édition par Paris H. Black le Mer 18 Nov - 21:41, édité 1 fois |
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| Re: Paris (+) It's not about who I want to bepar Invité, Mer 18 Nov - 21:41 ( #) | Et juste au cas où, même si j'espère que non, +2. |
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| Re: Paris (+) It's not about who I want to bepar Invité, Mer 18 Nov - 21:45 ( #) | Cillian + Black Ces choix Par contre, le poste de bibliothécaire a été récemment pris (je ne sais pas si les listings sont à jour donc je préfère quand même préciser ) Bienvenue à toi |
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| Re: Paris (+) It's not about who I want to bepar Invité, Mer 18 Nov - 21:45 ( #) | tu es sexy je t'aime |
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| Re: Paris (+) It's not about who I want to bepar Invité, Mer 18 Nov - 22:03 ( #) | Cillian Murphy Bienvenue à toi |
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| Re: Paris (+) It's not about who I want to bepar Invité, Mer 18 Nov - 22:05 ( #) | Ce choix d'avatar bienvenue |
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| Re: Paris (+) It's not about who I want to bepar Invité, Mer 18 Nov - 22:06 ( #) | Bienvenue à toi et bonne chance pour la suite de ta fiche ! |
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| Re: Paris (+) It's not about who I want to bepar Guest, Mer 18 Nov - 22:16 ( #) | L'association Cillian Murphy + Black, est juste PARFAITE Bon courage pour ta fiche ! |
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Isaure Lenoir admin - war is the sea i swim in Répartition : 27/09/2015 Hiboux Envoyés : 656
| Re: Paris (+) It's not about who I want to bepar Isaure Lenoir, Mer 18 Nov - 22:53 ( #) | |
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| Re: Paris (+) It's not about who I want to bepar Invité, Mer 18 Nov - 22:56 ( #) | Il a pas l'air en forme sur ton gif le petit Paris Cilian est Re bienvenue |
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| Re: Paris (+) It's not about who I want to bepar Guest, Jeu 19 Nov - 0:45 ( #) | Bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche |
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| Re: Paris (+) It's not about who I want to bepar Invité, Jeu 19 Nov - 2:00 ( #) | Cillian Bienvenue |
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| Re: Paris (+) It's not about who I want to bepar Invité, Jeu 19 Nov - 11:44 ( #) | Je sais pas si Enoch est passé par là ( ) mais [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] l'arbre de la famille que monsieur a fait (en fait il a fait tout le forum mais chut ), si ça t'aide pour savoir qui est qui et qui fait quoi Et puis il nous faudra un lien absolument Et puis bienvenue quand même |
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| Re: Paris (+) It's not about who I want to bepar Invité, Jeu 19 Nov - 13:33 ( #) | Bienvenuue |
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| Re: Paris (+) It's not about who I want to bepar Contenu sponsorisé, ( #) | |
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