BELLUM PATRONUM
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Version 34
Nouveau tournant, nouvelle version installée ainsi que les nouveautés qui vont avec ! Vous pouvez la commenter ici.
Groupes fermés
Les sang-purs étrangers sont fermés. Redirigez-vous vers les familles de la saga ou des membres.
équilibre des groupes
Nous manquons d'étudiants, de membres des partis politiques Phénix et Gardiens. Nous manquons également de Mangemorts.
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| she was a map of fragile fingers,
of brittle bone, a page left open, a place you’d never known (eszter) | | | she was a map of fragile fingers,
of brittle bone, a page left open, a place you’d never known (eszter)par Invité, Mar 22 Déc - 12:52 ( #) | Eszter Icarus Bishop ft. Imogen Poots sang pur dix-sept ans en couple hétérosexuelle cursus primaire, septième année chimpanzé ; loup artique neutre ambivalent schyzophrenic ; tumblr | |
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] À propos Nom:Bishop, nom hérité de sa mère et porté par son père adoptif. Elle a décidé très vite de ne pas porter le nom de son père, Von Sachsenheim, en vu des membres de sa nouvelle famille. Prénom: le premier, Eszter fut donné en l’honneur de la meilleure amie d’Elizabeth Bishop, bien qu’écrit en hongrois pour masquer les traces. Le deuxième, Icarus n’est que le fruit de l’excentricité de Walter Bishop, maitre d’arithmancie, en l’honneur de Dédale. Elle adore ce prénom, et se délecte de sa signification, aussi morbide soit-elle. Âge et Date de Naissance: dix-sept ans, née le quinze mars. Nature du sang: son sang est la réunion de deux familles, les bishop et les von sachsenheim ; elle est donc de sang pur Situation familiale: au début bien simple ; deux frères, des parents, une famille comme une autre. Puis la boite de Pandore s’est ouverte, et elle se retrouve avec deux pères, deux mères, de nombreux oncles et tantes, des cousins... Patronus: odysseus, anciennement hermine blanche et maintenant loup arctique et chimpanzé. Miroir du Rised: elle s’y verrait, et loin de l’ancien reflet où elle se voyait avec la coupe de Quidditch, un archet dans le dos, elle s’y verrait cette fois-ci avec un livre sur lequel s’écrirait tous les secrets de sa famille ; elle en a horreur de ces nouvelles sur sa vie, sur sa mère, qui lui tombent chaque jour sur les épaules, déséquilibrant de plus en plus son monde construit. Epouvantard: elle ne le sait pas encore, n’ayant pas vu un épouvantard récemment, mais Eszter verra sa mère biologique, essayant de l’étrangler avec un cordon ombilical, se vengeant de sa propre mort. Composition de la baguette magique: sa baguette est d’une taille conséquente, faite de noyer et portant en son creux un crin de licorne. Rigide, la baguette portant un tel cœur n’a pas une puissance considérable mais Eszter est une sorcière brillante qui n’a jamais eu de problème à invoquer le sort de son choix. Etudes Suivies: en septième année, Eszter est une excellente élève, majorant dans de nombreuses matières, hésitant encore pour le parcours à choisir l’année prochaine. Animal de compagnie: Eszter possède un chat norvégien blanc nommé Thor qu’elle habille souvent d’une cape rouge en l’honneur d’un héro de comic. | Caractère Ses doigts parcourent les fils tendus de son violon, et elle évite les regards de ceux la regardant. Elle ne se concentre que sur une chose, sur son instrument, son esprit puissant et vif entièrement concentré sur le son qui s’échappe à merveille du bois, accordant de son oreille absolue les cordes. Si elle évite les regards, ce n’est pas par crainte, c’est par habitude. Elle a grandit avec un frère ne regardant jamais dans les yeux, si ce n’était les siens, et c’est devenu normal pour elle d’éviter les regards, les portes d’entrées vers les âmes des sorciers. Peut-être parce que depuis l’apparition des patronus, de la propre présence de l’hermine sur son cou et du chimpanzé lui tenant la main, elle trouve cela plus rassurant de regarder les patronus, véritable miroir sur les sorciers. Peut-être parce qu’elle est si attentive à ce qui se déroule autour d’elle que ses grands yeux observateurs ne manquent aucun mouvement des animaux. Peut-être parce qu'elle comprend les personnes autour d'elle, qu'elle les écoute, attentionnée et n'a donc pas besoin de les regarder. « Concerto pour violon en ré majeur, Allegro ma non troppode Beethoven. » Et les mots qui sortirent de sa bouche, avec un ton apaisé, décidé explosèrent par leur prononciation distincte et claire. Eszter prononce toujours ses mots à la perfection, comme si elle exagérait, faisant attention à chaque mouvement de sa langue contre son palais. Parce que cela l’apaise, parce que cela fait partie de ses obsessions. Parce que ce n’est pas si différent d’empêcher ses feuilles de dépasser une certaine ligne sur son bureau, ni même de marcher d’une certaine façon dans les couloirs. Sa main droite bouge, et le son s’échappe du violon. La musique est douce, exécutée à la perfection, et Eszter ferme les yeux, s’imprégnant pleinement de la musique qu’elle créait. Elle avait cette passion depuis son plus jeune âge, se plongeant, curieuse enfant créatrice, dans les partitions. Elle dévorait les notes de la même manière qu’elle dévorait les livres, créant un mur entre elle et le monde extérieur. Et c’était sûrement pour cela que l’enfant maintenant jeune femme, grande, blonde et élégante parait si douce, si calme. Ce même sourire apaisé sur ses lèvres orne souvent son visage. Elle est calme, Eszter, elle est posée. Harmonieuse, certainement. Elle regarde la vie comme elle observe une partition de musique, avec l’optimisme d’y sortir une œuvre et pourtant avec le pragmatisme d’une virtuose qui sait que les choses peuvent être noires. Qui examine la partition comme une partie d’échec, qui ne prend parti pour personne, mais qui reste neutre ; dont le seul but est d’en tirer la connaissance, la musique. Qui laisse les sentiments d’abord de côté pour se focaliser les notes ; y ajoutant la dose d’émotion parfaite par la suite. Qui oscille entre deux interprétations différentes, allant l’une vers l’autre sans jamais se décider. Et quand son archet se pose enfin pour faire sonner la dernière note, quand ses yeux s’ouvrent, ils possèdent cette lueur satisfaite, celle laissant voir qu’il y a bien plus que le calme et la force tranquille. Qu’il y a bien plus que le contrôle qu’elle recherche le plus souvent. « L’hiver de Vivaldi. » Et l’archet vole. Et ses doigts volent. Et ses yeux s’illuminent. Parce qu’en même temps que la cadence qui s’emporte, c’est la liberté qui revient. Oui, Eszter est calme, douce et paisible comme une musique classique, mais elle est aussi le froid de Vivaldi. Elle retient beaucoup en elle surtout. Mais elle est passionnée, et c’est cela qui l’a définit. Elle est entière. Elle est vivante le plus certainement. Elle est le froid autoritaire, elle est le froid logique, compétitif et efficace. Elle est l'hiver qui sait frapper là où il faut, qui sait se montrer rude et difficile, mais qui n'hésiterait jamais à être doux. Elle n’est pas sauvage, Eszter ; elle est trop bien contrôlée pour cela. Bien trop obsédée avec le contrôle. Chaque mouvement, chaque mot ; comme une sorte de partition de la vie qu’elle devait toujours jouer à la perfection. Alors ce n’est guère étonnant qu’elle aime ce qui est imprévisible, qui sort de son contrôle. Elle déteste cela, mais l’aime tout autant. Elle le recherche peut-être en un sens. Dans le sport même si elle sait qu’elle peut se briser les mains, et ne jamais rejouer du violon comme avant. Dans les livres, ce ne sont pas les mains les dangereuses, mais l’esprit qui décortique chaque mot. Dans les secrets, qu’elle semble amasser régulièrement, menaçant de la briser encore et encore.
| [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Patronus « Icarus et Odysseus » est la phrase préférée du patronus. Parce qu’il aime lui faire comprendre qu’un seul des deux légendes de la mythologie n’a atteint son but ; et ce n’était guère Icarus. Et il aime d’autant plus la répéter depuis la Peste. Avant, Eszter arrivait à échapper à la forme quasi humanoïde du chimpanzé, à ce regard trop humain, à ces yeux inquisiteurs, en le forçant à prendre son autre forme d’hermine blanche. Et elles allaient si bien ensemble, la grande blonde, avec sa force tranquille, son sourire doux et son calme apaisant et l’animal petit, svelte, de blanc vêtu. Le singe était trop brusque, trop trop, et Eszter préférait le voir endormit autour de son cou en hermine, plutôt que de le laisser crier au monde qu’elle était brusque derrière ce sourire tendre. Parce qu’elle n’aimait être au premier rang, qu’elle préférait observer, et qu’un singe était trop voyant, trop bruyant. Parce que le singe la forçait à regarder dans les yeux, chose qu’elle évitait, non pas par gène, mais par mimétisme. Puis la peste était venue, et l’hermine s’en était allée. A la place, toujours aussi blanc, était apparu un loup blanc, un si similaire à celui qui accompagnait Orpheus qu’elle avait hoqueté pendant un long moment. Elle n’était pas sûre de le vouloir, ce loup si féroce. Elle n’était pas sûre de le comprendre, ce loup. Mais elle avait fini par accepter au fond, à laisser les gens eux-mêmes comprendre qu’il y avait quelque chose sous ce calme apparent. « Odysseus et Icarus. » Parce qu’au fond, c’était Odysseus qui avait retrouvé les siens.
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Pseudo et âge: stray thoughts ; louise ; 22 ans Où as-tu trouvé le forum ? point freakin’ majuscule Personnage: Version 2.0 d'Eszter, scénario à la base (a long time ago in a galaxy far far away) As-tu un autre compte sur BP ? i may or not be your father Présence: . Une remarque ? JE VAIS VOIR STAR WARS DEMAIN SOIR (jemesuistrompée) |
Dernière édition par Eszter I. Bishop le Mar 22 Déc - 23:39, édité 4 fois |
| | Re: she was a map of fragile fingers,
of brittle bone, a page left open, a place you’d never known (eszter)par Invité, Mar 22 Déc - 12:53 ( #) | Histoire Happiness can be found even in the darkest of times [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]there were days you imagined your mother’s eyes, ancient and innocent and ringed in blue and unblemished skin, and a smile as even as the stars and crooked like your brother’s. ✻✻✻« Recommence Eszter. »Et la petite fille secoue la tête. Elle ne veut pas recommencer. Elle veut aller jouer dans les jardins, ou encore sortir dans le parc et aller jouer avec des enfants de son âge. Elle veut rejoindre son père qui lisait un livre sur le Quidditch. Elle a mal aux doigts, et pourtant sa mère n’arrive pas à comprendre. Elle ne comprenait jamais. Il fallait toujours qu’elle fasse toujours mieux. Encore. Encore. Recommence une autre fois Eszter. Refais tes gammes. Tiens toi droite. Respire. Alors, elle lève discrètement les yeux, tombant sur les yeux si similaires de sa mère, pourtant orageux de déception et se mord la lèvre. Elle ne veut pas que sa mère soit déçue, et elle n’a surtout pas l’habitude de recevoir ce genre de regard. Alors elle prend une profonde inspiration et lève son violon, son archet, pour reprendre le morceau qu’elle jouait quelques minutes plus tôt. Elle laisse l’archet sur les cordes lors de la dernière note, levant un regard plein d’espoir sur sa mère. Cette dernière est plus douce, déjà, et Eszter détourne le regard. « Tu ne vas pas faire comme ton frère, Eszter ! » Et le hongrois de la mère fait frissonner la petite fille qui cependant tourne ses propres yeux bleus vers ceux de sa mère, ces derniers allumés par une certaine lueur de détermination. « Encore une fois. Je veux que cela soit parfait. » Et derrière la contenance paisible de la petite fille tenant un violon, il y a cette colère contre cette mère. Elle ne veut plus faire de violon. Elle veut aller voir son frère. Elle veut lire avec son père. Et quand elle repose son menton sur le violon, c’est avec une colère froide. Dirigée contre cette mère qui la force à jouer et rejouer. Contre cette mère qui l’interdit d’agir comme Alister. Contre ce morceau qui refuse de s’inscrire dans son crâne. Et son inspiration est contrôlée, tous ses muscles tendus pour se relâcher quelques minutes après, tout était prêt. Son archet se lève de nouveau, et les notes jaillissent de l’esprit avec la perfection venant d’un entrainement intensif. Elle allait montrer à sa mère. Elle allait lui prouver qu’elle pouvait faire ce qu’elle voulait ; qu’elle pouvait aller jouer, qu’elle pouvait aller lire, car elle savait son morceau. Mais pas une once de colère ne fuse pendant le morceau. Parce qu’elle sait se contrôler, peut-être trop bien. Parce que si elle ne se contrôle pas, alors elle ne peut plus jamais tirer de belles notes. Elle pose enfin son violon, son petit visage tourné vers celui de sa mère, fermé. Celle-ci acquiesce de la tête et la gamine sourit, rangeant rapidement son violon pour courir en direction de son père dans l’autre pièce. « Ne pense même pas à monter sur ce balais, Eszter. Si tu te casses le poignet, tu ne pourras plus jouer. » Et Eszter n’a jamais eu aussi envie de faire du Quidditch qu’aujourd’hui.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]i remember how you held me like i was something precious and how you kissed me like i meant somethinglike i mattered ✻✻✻ « ESZTER ! » Et elle l’entend, et elle rit. Et elle laisse ce son porter à travers les murs. Elle laisse son sourire doux sur son visage par contre, quand elle tourne la tête vers sa mère. Son frère ainé avait été réparti à Gryffondor, et pourtant elle avait toujours été plus sournoise que lui. Elle sait maintenant pourquoi. Elle sait maintenant pourquoi elle a ces yeux, ces sourires, ces traits. Parce qu’il n’y a rien de maternel dans ses traits, dans ce visage qu’elle possède. « Je suis déjà là. Ne demande pas plus. » Et elle laisse son sourire retomber lorsqu’elle ferme la porte derrière elle. Elle sait qu’elle devrait être plus mature, accepter ce qu’il s’est passé. Mais elle n’y arrive pas, et depuis des mois, derrière un sourire doux et des partitions de plus en plus violentes se cachent des journées de rage. Parce qu’elle n’y arrive pas à faire comme si de rien n’était, à retourner dans sa maison d’enfance et à voir ses parents. Parce qu’ils ne sont pas ses parents, parce qu’ils lui ont mentis pendant des années. Et elle n’arrive pas à leur faire confiance. Elle voit des secrets partout, sans interruption. Elle voit des boites de Pandore derrière toutes les portes. Elle voit le long vol d’Icare, et son encore plus longue et brutale chute. Et c’est ce qu’elle ne voit pas qui la dérange. Plus particulièrement, ce qu’elle ne voit plus. Elle ne voit plus la ressemblance entre Alister et elle. Elle ne voit plus le sourire qu’elle avait en commun avec Charlie. Elle ne voit plus ses cheveux blonds sur la tête de sa mère, ni ses yeux bleus dans le visage de son père. Mais elle observe de nouvelles choses dans la glace, de nouvelles perspectives, réapprenant les formes de son visage tel un sculpteur. Elle observe les angles, les étirements, les rebondis. Elle les assimile à ceux d’un autre homme, qui avait ne faisait pas parti de sa vie, mais qui arrivait désormais à en devenir partie intégrale. Et Eszter sait qu’il y a de la place pour tous dans sa vie, mais elle ose se demander si elle le veut. C’est cela qui l’horrifie, qui saisit son cœur encore et encore. Elle a deux familles, et ne sait jamais celle qu’elle veut, ne sait pas si elle doit en choisir une. Mais tous les gestes de sa mère la heurtent, bien plus que ceux de son père. Parce qu’il reste son oncle. Parce qu’il reste de sa famille. Mais elle, Anna Weisz, celle qui l’avait poussé vers des sommets, celle qui l’avait redescendu aussi rapidement. Elles n’ont qu’aucun lien entre elles. Et Eszter a l’impression de se retrouver devant une étrangère, examinant chaque mouvement comme une intrusion dans son quotidien. Elle en est rendue à un point où elle ne sait plus comment elle doit la regarder, si elle peut encore la regarder. Et cela la heurte bien plus que tout. Elle a gagné une famille en ayant l’impression d’en avoir perdu une.
Dernière édition par Eszter I. Bishop le Ven 8 Jan - 14:29, édité 2 fois |
| | Re: she was a map of fragile fingers,
of brittle bone, a page left open, a place you’d never known (eszter)par Invité, Mar 22 Déc - 12:55 ( #) | lgijoroypogitrfuheklfj FEEELS t'es trop belle comme toujours Rebienvenue |
| | Re: she was a map of fragile fingers,
of brittle bone, a page left open, a place you’d never known (eszter)par Invité, Mar 22 Déc - 12:56 ( #) | REBIENVENUE et tu vas voir star wars sans moi. shame. |
| | Re: she was a map of fragile fingers,
of brittle bone, a page left open, a place you’d never known (eszter)par Invité, Mar 22 Déc - 13:14 ( #) | T'es trop belle avec Imogen Re bienvenue chez toi, et bon courage pour ta fiche! :tombe: |
| | Re: she was a map of fragile fingers,
of brittle bone, a page left open, a place you’d never known (eszter)par Invité, Mar 22 Déc - 14:13 ( #) | |
| | Re: she was a map of fragile fingers,
of brittle bone, a page left open, a place you’d never known (eszter)par Invité, Mar 22 Déc - 15:32 ( #) | Re bienvenue ! |
| | Re: she was a map of fragile fingers,
of brittle bone, a page left open, a place you’d never known (eszter)par Invité, Mar 22 Déc - 16:18 ( #) | Welcome back |
| | Re: she was a map of fragile fingers,
of brittle bone, a page left open, a place you’d never known (eszter)par Invité, Mar 22 Déc - 17:09 ( #) | Eszter. Rebienvenuuuue Liens. |
| | Re: she was a map of fragile fingers,
of brittle bone, a page left open, a place you’d never known (eszter)par Guest, Mar 22 Déc - 17:36 ( #) | Bienvenue parmi nous |
| | Re: she was a map of fragile fingers,
of brittle bone, a page left open, a place you’d never known (eszter)par Invité, Mar 22 Déc - 19:58 ( #) | MERCIJJSGHJ vous êtes chous |
| | Re: she was a map of fragile fingers,
of brittle bone, a page left open, a place you’d never known (eszter)par Guest, Mar 22 Déc - 20:00 ( #) | Ah bon J'aime trop te lire Louise, la partie patronus Bonne suite de fiche et bon film |
| | Re: she was a map of fragile fingers,
of brittle bone, a page left open, a place you’d never known (eszter)par Invité, Mar 22 Déc - 20:22 ( #) | NO SPOILERS. Rebienvenue T'es trop belle, t'es trop parfaite, et j'espère que tu veux toujours de Nono en meilleure amie même si j'en suis pas digne |
| | Re: she was a map of fragile fingers,
of brittle bone, a page left open, a place you’d never known (eszter)par Invité, Mar 22 Déc - 22:01 ( #) | Souuuu t'es trop gentille HELLA bien sur que je veux de ma meilleure amie |
| | Re: she was a map of fragile fingers,
of brittle bone, a page left open, a place you’d never known (eszter)par Invité, Mer 23 Déc - 12:16 ( #) | star wars. forjfferzijfoirjfojoirjfoz profite bien du film et puis rebienvenue avec eszter du coup imogen est tellement belle |
| | Re: she was a map of fragile fingers,
of brittle bone, a page left open, a place you’d never known (eszter)par Contenu sponsorisé, ( #) | |
| | she was a map of fragile fingers,
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