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Black Sun - Calypso I. Parkinson
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Message Black Sun - Calypso I. Parkinson
par Invité, Mar 19 Jan - 16:11 (#)
Calypso Isis
Parkinson
ft. Selena Gomez
Sang Pur
20 ans
Célibataire
Hétérosexuelle
Justice Magique
Paon
Pro mangemort
Anaëlle
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À propos
Nom: Parkinson sombre famille, neuf lettres qui glacent le sang, trois syllabes qui retournent les tripes... Prénom:  Calypso douce nymphe, impitoyable séductrice. Isis femme forte, véritable déesse, véritable symbole de vie Âge et Date de Naissance:  20 ans, née le 15 août 1960, petite princesse des glaces qui naquit en pleine canicule Nature du sang:  Sang Pur, elle est une Parkinson, comment en douter ? Situation familiale:Calypso possède une grande famille, faites de cousins, de cousines mais pourtant elle est bien fille unique. Elle ne vit plus qu'avec son père depuis le décès mystérieux de sa mère… Patronus:  Paon, répondant au doux nom d'Hannibal. Sympathique n'est-ce pas ?  Se transformant très souvent en tarentule.  Miroir du Rised:  Sa mère, à ses côtés, celle qu'elle a toujours rêvé de connaître mais qu'elle ne connaîtra jamais. Epouvantard: Sa mère. Bien qu'elle soit morte, elle ne peut que perdre ses moyens en la voyant, en apercevant cette lueur de déception dans son regard. Elle aurait qu'elle soit fière, elle veut toujours qu'elle le soit… Composition de la baguette magique: Bois d'If blanc renfermant un cheveux de vélane Etudes Suivies:  Calypso est en dixième année, en justice magique, plus précisément en sciences politique magique. Elle a prit comme options la legilimencie et les arts occultes. Animal de compagnie:  Elle a toujours désiré un chaton mais n'a pour l'instant pas d'animal de compagnie.
Caractère
Il y a deux Calypso, celle que l'on voit, que l'on pense pouvoir cerner en un regard et celle qu'elle est vraiment. Deux personnalités très distinctes. Les gens aiment juger, s'imaginer qu'ils peuvent capter un être en seulement un regard, pouvoir savoir s'ils sont bon ou mauvais. Mais cela n'est que subjectif, après tout ils ne se basent que sur peu de choses, un physique, des expressions, un nom. Et rien d'autre. Comment la résume-t-on après une première rencontre ? Comme une Parkinson. Cela suffit à contenter l'imaginaire qui se met à tisser tout un tas de scénarios noirs. Après ce n'est qu'une pro mangemorte, la fille de, une sang pur comme toutes les autres. D'autres chercherons à en dire plus, observant son comportement en société. Quelles conclusions en tireront-ils ? C'est une jeune femme sûre de son physique, sûre de ce qu'elle est, de ce qu'elle représente aux yeux des hommes. Toujours à récolter des bon résultats sans qu'on ne l'ait jamais vus franchir les portes de la bibliothèque, antre sacrée de tous les binoclards de Poudlard, preuve que sa famille paie sans retenue pour lui assurer son ascension sociale, après tout elle est une héritière… Ses fréquentations se succèdent, jamais les mêmes amis, jamais les mêmes proches. Une jeune filles volage, sans aucuns sentiments, une petite peste pourrie gâtée voilà tout. Un comportement totalement insolent, quelques fugues répétées dans le plus grand secret, une incapacité à se concentrer en cours, une impulsivité violente et dangereuse… Une sang pur dans les règles de l'art, aussi noble ou pourrie que les autres selon les points de vus.

Mais cela n'est de l'ordre que du préjugés, de la fiction. Personne ne la connaît réellement, personne ne sait vraiment qui elle est, pas même elle. Calypso est atteinte d'une maladie qui régit sa vie, ses envies, ses rêves, ses cauchemars. Elle est atteinte d'un trouble de la personnalité bordeline, une maladie moldue pour le plus grand effrois de son père, pour son plus grand dégoût. Pourtant c'est bien le cas, elle doit vivre avec cela, elle se noie jours après jours dans ses humeurs. Il n'y a pas de nuance chez elle, elle vit en noir et blanc. Elle ressent les joie les plus prenantes, comme les tristesses les plus cruelles. Son image, elle ne l'apprécie pas, bien au contraire. Elle a horreur de ce physique, elle l'a en horreur. Pas assez bien, pas assez belle. Elle les sent ces regards sur son passage, pourtant elle fait tout pour contrer cela, mais elle n'est jamais assez bien. Cela empiète sur ses relations, elle a besoin d'attention, elle a besoin de se sentir aimer, rassurer, c'est plus fort qu'elle. Ca la bouffe, ça la tue. Elle ne supporte pas qu'on l'abandonne, elle a besoin qu'on l'entoure.. Pourtant c'est le jeu des chaises musicales dans son entourage. Elle veut faire mieux, toujours mieux, elle veut donner tout ce qu'elle a en cours pour palier à sa vie affective chaotique. Mais comment réussir à se concentrer lorsque son esprit est toujours à s'envoler, sans réussir à saisir aucune nuance de cette chienne de vie ?

Elle n'est pas celle que l'on croit. Elle tente de sauver les meubles, masquer les apparences, donner l'image de celle que l'on voudrait qu'elle soit. L'héritière parfaite. Une digne Parkinson. Peu de personnes connaisse la vraie Calypso, presque personne ne sait pour cette foutue maladie qui la pousse à embrasser le danger, à ne faire qu'un avec lui, à flirter avec les conduites dangereuses. C'est sa seule façon d'exister. Puis quand tout la tire un peu trop vers le bas c'est son corps qui trinque, c'est le sang qui rencontre son épiderme, son sang à elle.

Une vie faite de hauts, surtout de bas, des montagnes russe qui ne se terminent jamais.
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Patronus
Hannibal. Son cher et fidèle patronus. Qu'elle ne fut pas sa stupeur en constant qu'il ne s'agissait plus d'un nuage de fumée mais bien d'un patronus vivant, réel. Cette tarentule prenait vie, se jouait déjà d'elle, courant partout sur son cours, la faisant frisonner alors que ses pattes poilus parcourait, son bras, son cou, sa tête. Pourtant elle n'avait pas peur, elle n'arrivait pas à la craindre. Elle aurait pus être un insecte dangereux, en voulant à sa vie, sa santé. Mais elle ne l'était pas. Elle le ressentait, c'était ancrée au plus profond d'elle, dans son être entier. Un délicieux sentiment de sécurité, totalement nouveau pour elle. Elle avait enfin trouvé son fidèle ami, celui qui ne la quitterait pas, jamais. Si seulement cela pouvait suffire, la sauver de cette maladie atroce. Une petite bête et pourtant si effrayante pour les autres. Toujours nichée près d'elle, aidant à leur lien fusionnel. Et pourtant elle sait combien elle le fait souffrir, il ressent tout ce que Calypso ressent et c'est un véritable océans de tourments. Puis Hannibal a fini par se transformer, prendre une nouvelle forme, plus grande, plus majestueuse, plus fier, pour tenter de remonter la confiance de sa maîtresse, de panser ses plaies. Un magnifique paon. Aux plumes colorer, aux milles yeux frappé tel des motifs. C'était le patronus de sa défunte mère, un ultime lien avec celle qui avait disparu. Hannibal était véritablement hargneux, possessif et protecteur lorsqu'il s'agissait de sa maîtresse. Lui seul la connaissait vraiment, lui seul savait tout ce qui lui traversait le crâne, lui seul pouvait comprendre la souffrance qui l'habitait.
Pseudo et âge: Lana 18 ansOù as-tu trouvé le forum ? Top sitePersonnage: Inventé de la famille Parkinson As-tu un autre compte sur BP ? Nope Présence: Assez régulièreUne remarque ? Le Graphisme est dément **  


Dernière édition par Calypso I. Parkinson le Ven 22 Jan - 23:06, édité 9 fois
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Message Re: Black Sun - Calypso I. Parkinson
par Invité, Mar 19 Jan - 16:11 (#)
Just black, just white
Happiness can be found even in the darkest of times
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Je ne me souvenais que de brides de mon enfance, de mes premières années, si peu de choses étaient restés. Ce qui me venait toujours en tête, c'était les relations familiales, les relations au sein de notre manoir dans le pays de Galles. Ma prison dorée, je n'en sortais presque jamais, j'étais confinée, à jouer la petite princesse parfaite. Après tout j'étais l'héritière, celle qui suivrait les traces de mon père, qui accompliraient les desseins qu'ils n'auraient pas eu le temps de terminer, je ferais perdurer cette famille. Même si je savais que ma naissance était aussi une grande déception. Après tout mon père, Edward Parkinson, ne s'en était jamais caché, il avait voulus un fils, un vrai héritier, qui plus qu'une famille, un sang, une histoire, pourrait lui faire perdurer son nom. Un homme avait la carrure assez solide pour affronter la dure vie, ça n'était pas une simple femme. Mais il m'avait eu moi une fillette assez fragile aux premiers abords, seulement je savais qu'il m'assurerait un bon mariage qui servirait ses intérêts je ne pourrais pas y échapper. Il était froid, distant, nos relations étaient simplement cordiale, je n'étais qu'un pion dans son jeu d'échec, le fruit d'un mariage sans amour, un mariage arrangé. Bien que je savais qu'il éprouvait une certaine affection pour ma mère. La magnifique Santana Parkinson, anciennement Sanchez, une beauté venue d'Amérique du Sud, dont tout le monde soutenait que j'en étais le portrait. Elle avait un caractère et ne s'écrasait jamais face à mon père et je savais que bien qu'il la remette souvent à sa place durement, il aimait sa personnalité volcanique. Ma mère n'était pas comme le reste des sang pur qui venaient sans cesse au manoir. Elle était bien différente, surtout avec moi, s'occupant personnellement de mon éducation, malgré les crises que cela pouvait provoquer avec mon père. J'étais sa « princesa », sa « vida ». J'étais pratiquement tout le temps collée, ayant beaucoup de mal à me détacher de ma mère, pour le plus grand damne de mon père. J'aimais entendre sa voix pour m'endormir, son accent chantant, ses mots tantôt espagnols, tantôt anglais. Mon père m'apprenait la haine, la froideur, la dignité sang pur. Ma mère m'apprenait à ouvrir mon cœur, à être altruiste et à ne jamais cesser de nourrir mon esprits de lectures diverses. J'étais entre deux monde déjà, bercée entre amour et haine. Mais tout bascula tragiquement peu après mes neuf ans, un assassinat, un meurtre écœurant, toute ma vie bascula en ce sombre jeudi de novembre… En plein dans les rues du chemin de traverse bondée, alors que j'expliquais une histoire à ma tendre mère, une bourrasque débarque, une forme humaine à peine visible, masquée qui fondit sur elle. Je ne vis que son magnifique regard à elle, ses prunelles chocolat s'écarquiller de douleur et de surprise alors que l'individu disparaissait en transplanant, se volatilisant dans la nature. Laissant derrière lui un corps, encore si peu animé et une flaque de sang partant de sa poitrine et recouvrant le pavé. Un hurlement strident s'échappa de mes lèvres, alors que tout mon corps tremblait, secouait par mes sanglots incontrôlable. Une foule compact s'était rapprochée de nous, mais je ne les voyais pas, je ne voyais qu'elle alors que mes poings se refermaient sur le tissus de sa cape, la suppliant de ne pas me laisser, de ne pas m'abandonner. « Maman, maman, maman, je t'en supplie reste, maman ! T'as pas le droit de partir, tu peux pas ! ». Je me rappellerais toujours de sa dernière expression, de ce sourire déformé par la douleur alors que ses dernières larmes coulaient, de ses mots « Te quiero mi princesa », de sa main qui entama un dernier geste pour effleurer ma joue trempée avant de retomber lourdement achevant de me briser le cœur. Son enterrement fut l'étape la plus dure que je dus vivre de ma vie, tout le monde était si droit, si fier, sans expression autour de moi, des statues de cires. Je voulais leur crier de parler, de bouger, de la pleurer. Même mon père, bien que son regard était dans le vague, il ne se déparait jamais de son masque de froideur. Bien que je savais au fond de moi que la disparation de sa femme l'avait profondément affectée, il ne souhaitait rien laisser paraître… Pour sauver les apparences. Je lui dis adieu le 26 novembre 1969, date à jamais maudite, date qui marqua le début de ma fin.

Mon comportement ne cessa de changer, d'évoluer. Les insomnies étaient fréquentes, mes nuits toujours bercées par des cauchemars répétitifs, horribles, traumatisant. Je me sentais abandonné, oublié, j'étais totalement seule, elle n'était plus là je n'avais plus rien. Coupure nette. Je vivais chaque émotions pleinement, trop pleinement. Mon objectif était qu'elle soit fière, que je devienne ce qu'elle avait toujours voulus. En même temps mon père resserrait son étau autour de moi, il voulait me forger à son image, je ne pouvais m'empêcher de suivre sa ligne de conduite, d'écouter ses idées, de les approuver. Il restait mon père, bien qu'il ne comblait pas ce vide affectif laissé par sa femme… Il ne pouvait seulement pas ignoré les troubles qui m'animait, il me connaissait bien malgré tout. Et puis il fallut une fatale soirée pour que le verdict tombe enfin. Il a fallut que des entailles fende ma peau légèrement caramel pour qu'il fasse appeler les meilleures spécialistes pour rendre compte de mon comportement qu'il qualifiait inacceptable, honteux, totalement fou. J'avais quinze ans mais contrairement à ce qu'il pensait je ne voulais pas lâchement en finir, je voulais trouver un moyen d'oublier quelques instants, c'était l'anniversaire de sa mort, je voulais une douleur plus soutenable, je n'en pouvais plus de ressentir les choses aussi violemment que je pouvais le ressentir. Le couperet tomba, laissant la fureur de mon père exploser comme jamais. J'étais malade. Pas un petit rhume dont on se débarrasse facilement. Non une maladie moldue, une caractéristique que l'on arrivait presque pas à soigner. Mon père n'en retint qu'un seul mot. Moldue. Il refusa d'y croire, beuglant que le secret médical devait perdurer. Il se confronta ensuite à moi, me passant le savon de ma vie. Je n'étais pas malade ne cessait-il de marteler. Aucun Parkinson ne pouvait avoir une seule satanée ressemblance avec ces insectes purulents qu'étaient les sang de bourbes. Il ferma le dossier, m'interdisant d'en reparlant, me faisant promettre de ne plus jamais évoquer une quelconque maladie et me faisant jurer de lui obéir et ne plus jamais m'en prendre à mon corps, mais à celui des autres…. J'étais Calypso Parkinson, je devais me montrer digne de cette honneur.

Mon comportement ne cessa de changer, d'évoluer. Les insomnies étaient fréquentes, mes nuits toujours bercées par des cauchemars répétitifs, horribles, traumatisant. Je me sentais abandonné, oublié, j'étais totalement seule, elle n'était plus là je n'avais plus rien. Coupure nette. Je vivais chaque émotions pleinement, trop pleinement. Mon objectif était qu'elle soit fière, que je devienne ce qu'elle avait toujours voulus. En même temps mon père resserrait son étau autour de moi, il voulait me forger à son image, je ne pouvais m'empêcher de suivre sa ligne de conduite, d'écouter ses idées, de les approuver. Il restait mon père, bien qu'il ne comblait pas ce vide affectif laissé par sa femme… Il ne pouvait seulement pas ignoré les troubles qui m'animait, il me connaissait bien malgré tout. Et puis il fallut une fatale soirée pour que le verdict tombe enfin. Il a fallut que des entailles fende ma peau légèrement caramel pour qu'il fasse appeler les meilleures spécialistes pour rendre compte de mon comportement qu'il qualifiait inacceptable, honteux, totalement fou. J'avais quinze ans mais contrairement à ce qu'il pensait je ne voulais pas lâchement en finir, je voulais trouver un moyen d'oublier quelques instants, c'était l'anniversaire de sa mort, je voulais une douleur plus soutenable, je n'en pouvais plus de ressentir les choses aussi violemment que je pouvais le ressentir. Le couperet tomba, laissant la fureur de mon père exploser comme jamais. J'étais malade. Pas un petit rhume dont on se débarrasse facilement. Non une maladie moldue, une caractéristique que l'on arrivait presque pas à soigner. Mon père n'en retint qu'un seul mot. Moldue. Il refusa d'y croire, beuglant que le secret médical devait perdurer. Il se confronta ensuite à moi, me passant le savon de ma vie. Je n'étais pas malade ne cessait-il de marteler. Aucun Parkinson ne pouvait avoir une seule satanée ressemblance avec ces insectes purulents qu'étaient les sang de bourbes. Il ferma le dossier, m'interdisant d'en reparlant, me faisant promettre de ne plus jamais évoquer une quelconque maladie et me faisant jurer de lui obéir et ne plus jamais m'en prendre à mon corps, mais à celui des autres…. J'étais Calypso Parkinson, je devais me montrer digne de cette honneur.


Dernière édition par Calypso I. Parkinson le Sam 23 Jan - 0:07, édité 3 fois
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Message Re: Black Sun - Calypso I. Parkinson
par Invité, Mar 19 Jan - 16:22 (#)
T'es toute mignonne Brille

Bienvenue sur BP! ALBERT
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Message Re: Black Sun - Calypso I. Parkinson
par Invité, Mar 19 Jan - 16:27 (#)
Bienvenue Brille
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Message Re: Black Sun - Calypso I. Parkinson
par Invité, Mar 19 Jan - 16:43 (#)
Une nouvelle cousine Han! Bienvenue Brille
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Message Re: Black Sun - Calypso I. Parkinson
par Invité, Mar 19 Jan - 16:47 (#)
Merci tout le monde Brille
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Message Re: Black Sun - Calypso I. Parkinson
par Invité, Mar 19 Jan - 17:11 (#)
Ow une Parkinson Brille Bienvenue à toi Haww
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Message Re: Black Sun - Calypso I. Parkinson
par Invité, Mar 19 Jan - 18:19 (#)
Bienvenue parmi nous ! Daengelo

Bon courage pour ta fiche qui promet * frisson * Brille
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Message Re: Black Sun - Calypso I. Parkinson
par Invité, Mar 19 Jan - 18:26 (#)
bienvenue Brille
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Message Re: Black Sun - Calypso I. Parkinson
par Invité, Mar 19 Jan - 18:29 (#)
Bienvenue Haww
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Message Re: Black Sun - Calypso I. Parkinson
par Invité, Mar 19 Jan - 19:38 (#)
Parkinson Yaaa Bienvenue love Selena est un très bon choix Chou
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Message Re: Black Sun - Calypso I. Parkinson
par Invité, Mer 20 Jan - 1:53 (#)
Bienvenue parmi nous et bonne chance pour la suite de ta fiche ! Brille
Delliha McLeod
admin - shame to die with one bullet left
Delliha McLeod
Répartition : 06/12/2015
Hiboux Envoyés : 3371
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Message Re: Black Sun - Calypso I. Parkinson
par Delliha McLeod, Mer 20 Jan - 8:24 (#)
Parkinsooooon Chou

Bienvenue sur le forum love
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Message Re: Black Sun - Calypso I. Parkinson
par Guest, Mer 20 Jan - 13:18 (#)
Bienvenue chez nous miss Parkinson Yeah! Brille
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Message Re: Black Sun - Calypso I. Parkinson
par Invité, Mer 20 Jan - 20:52 (#)
bienvenue Chou bonne chance pour ta fiche Black Sun - Calypso I. Parkinson 1094600113
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Message Re: Black Sun - Calypso I. Parkinson
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