BELLUM PATRONUM


Version 34

Nouveau tournant, nouvelle version installée ainsi que les nouveautés qui vont avec !
Vous pouvez la commenter ici.
Groupes fermés

Les sang-purs étrangers sont fermés. Redirigez-vous vers les familles de la saga ou des membres.
équilibre des groupes

Nous manquons d'étudiants, de membres des partis politiques Phénix et Gardiens.
Nous manquons également de Mangemorts.
-29%
Le deal à ne pas rater :
DYSON V8 Origin – Aspirateur balai sans fil
269.99 € 379.99 €
Voir le deal

Lesath - There are no limits to our ambitions except those we build for ourselves.
Aller à la page : 1, 2  Suivant
Invité
Invité
Anonymous
Lesath - There are no limits to our ambitions except those we build for ourselves. Empty
Message Lesath - There are no limits to our ambitions except those we build for ourselves.
par Invité, Sam 13 Fév - 17:42 (#)
Lesath
Sioghán
ft. Will Higginson
sang- mêlé
21 ans
En couple mais complètement libre
Pansexuel
communication magique - Journalisme
Genette et Loris lent pygmée
tendances pro-ordre
crédit images
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
À propos
Nom: Sioghán Prénom: Lesath. Âge et Date de Naissance: 21 ans, né le 6 Mars 1960. Nature du sang: Sang-mêlé. Situation familiale: La famille. Ce mot ne veut plus dire grand chose pour le jeune homme. Sa mère est morte il y a bien longtemps, son père l'a abandonné alors qu'il n'était qu'un enfant. Il y a bien eu ce couple qu'il l'a adopté, mais aujourd'hui cette histoire et derrière lui. Finalement, ce qui s'approche le plus d'une famille à ses yeux, c'est sans doute son meilleur ami, Aristide, avec qui il a passé une bonne partie de son enfance, ainsi que tous ses étés depuis leur entrée à Poudlard. Ce prêtre qui l'a élevé garde une place importante, malgré le fait qu'il ne soit plus de ce monde. Narcisse est devenue indispensable, bien qu'ils ne partagent aucun lien de sang.  Patronus: Une genette qui prend parfois la forme d'un loris lent pygmée et qui a décidé de s'auto-nommer Moon. Miroir du Rised: Ses parents, vivants. Epouvantard: Sa plus grande peur est sans doute celle d'être à nouveau abandonné par ceux qu'il aime. Il se montrerai sûrement sous la forme d'un proche, qui lui tournerai le dos pour de bon. Composition de la baguette magique: Une baguette en bois de cèdre, avec en son cœur, une plume de phénix.  Etudes Suivies: Lesath est en 10ème année, en communication magique, cursus Journalisme. Comme option il a prit Défense contre les forces du mal et Arts et Musique Magique. Suite à la réforme de 1980.Animal de compagnie: Aucun.
Caractère
Lesath a toujours été observateur, cherchant à comprendre le monde qui l'entour. Rester sur une question, sur une incompréhension n'est pas négociable, il cherchera toujours une réponse à tout. On lui dit que personne ne peut avoir la réponse à tout, que l'on a pas tout ce qu'on veut dans la vie, il est bien placé pour le savoir, pourtant il refuse de s'y résoudre. Parce que Lesath est un acharné, parce qu'il ne baisse pas les bras si facilement. Il est tombé bien des fois et a toujours fini par se relevé, aujourd'hui, ce n'est certainement pas les limites que les autres lui imposent qui vont l'arrêter. De l'ambition il en a plus que de raison. S'il veut quelque chose, il fera tout pour l'obtenir, il se donnera les moyens de l'atteindre, par tous les moyens. On lui a trop prit, pour qu'il ne se permette de renoncer encore à quelque chose. Si pour ça il doit passer des jours, des nuits, des années sur la même chose, il le fera. Simplement, parce que le jeune homme a cette tendance à développer des obsessions, pour toute sorte de sujet. Une fascination capable de réveiller la plus dévorante des curiosités. Pour la lui sortir de la tête, il faudra bien du courage, puisque cela réveille en lui la passion, l'agitation, ainsi qu'un enthousiasme presque communicatif. Curieux, le sorcier s'intéresse à de nombreux sujets, divers et variés. Lorsqu'il est plongé dans un sujet qui le passionne, il n'est pas rare de le vouloir entraîné dans une concentration presque imperturbable, qui lui a valu un statut d'élève excellent durant ses années de scolarité.

Il pourrait être qualifié de studieux, mais ce mot serait réducteur, puisqu'il reste persuadé que ce n'est pas en restant assis sur une chaise, à écouter un professeur parler, qu'il apprendra le plus de choses. Oh, bien sûr, l'école a beaucoup à lui apprendre et il n'a jamais négligé cela. Seulement, notre sorcier a cette soif de découverte et d'aventure qui ne s’éteint jamais complètement. Découvrir, apprendre par lui même, voir de ses propres yeux, ce que ce monde à offrir, ce que cette vie peut lui cacher. Il sait que la vie peut-être courte, il sait qu'elle peut être cruel, mais il reste persuadé qu'il encore tout à découvrir, qu'il ne connaît pas encore ce qu'elle a de plus beau à offrir. Vivre vite, vivre à fond, sans risquer d'accumuler davantage de regret. Croquer la vie à pleine dent, vivre à cent à l'heure, s'amuser, profiter. Il a perdu bien trop de monde, il part du principe que tout peut s’effondrer en l'espace d'un soupire et il ne veut rien manquer. Casse cou ? Sans aucun doute. Il a le goût du risque et sait que sans ça, il passerai à côté de bien des choses dans la vie. Bien qu'ambitieux, il ne connaît pas la stabilité. Son quotidien a été perturber bien trop souvent alors qu'il n'était qu'un enfant, pour avoir sût se créer des repères solides. La notion de famille est un concept si flou et obscure pour lui, qu'il est incapable de se le représenter. Alors que ses amis lui parle de foyer, de famille, de couple, lui n'y comprends pas le moindre mot. Il aime vivre sa vie libre, sans se prendre la tête, sans jamais se poser réellement, sans jamais faire de promesse qui viendrai lui lier les mains, le rattacher à une forme de stabilité comme une autre. Il ne comprends pas même le principe d'engagement, personne n'a sût lui montrer l'exemple plus jeune.

Égoïste. Ne pouvant que compter sur lui même depuis son plus jeune âge, Lesath a développer un profond égoïsme. Son but n'est pas de blesser, d'être cruel, simplement, il se fait bien souvent passer avant les autres. Écouter les problèmes de ceux qui l'entour ? Non. Parce que ça l'ennuie, parce que bien souvent ça ne l'intéresse pas, parce qu'il se perd facilement dans ses pensées, se détachant bien souvent de la conversation, par manque d'intérêt, parce qu'il a mieux à penser, mieux à faire. Lesath agit comme bon lui semble et bien souvent il en oublie les autres. Il peut blesser, oui, mais il n'y pense pas, il ne le désire pas non plus. Au contraire, lorsqu'il en a conscience, lorsqu'il est attentif au bien être des autres, il serait prêt à tendre la main à un ami dans le besoin, capable de sacrifier tout ce qu'il a pour son meilleur ami s'il le faut. Lesath est un profond égoïste oui. Mais ses plus proches amis il y tient, certains vous diront qu'il y a tient un peu trop. Parce que oui, il est capable d'entrer dans les pires colère, capable de la pire des jalousies lorsque l'on s'approche trop près. Parce qu'il est possessif, mais surtout parce qu'au fond de lui, il le sait, il a peur, peur de l'abandon. Alors il laisse souvent libre court à ses émotions, parce qu'il est impulsif, parce qu'il n'aime pas se brider, se poser des limites inutiles, parce qu'il est égoïste.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Patronus
Moon. Lesath se souvient encore du jour où ce stupide patronus est apparu, se croyant drôle en affirmant porter le nom de Moon. La lune. Comique, non ? Quand on sait que son meilleur ami, celui qu'il considère comme son frère est un loup-garou. Il l'a d'abord prit pour une mauvaise blague, cherchant à renommer cette chose qui hante son esprit encore aujourd'hui. Elle s'y est accroché et ce jour là il a comprit qu'il était désormais liée à la pire des emmerdeuse. Aujourd'hui, il s'est habitué à ce nom, habitué à sa présence et si on le lui proposait, il ne l'échangerait probablement pas. Parce qu'elle ne l'abandonnera pas, parce qu'elle est une part de lui même, parce qu'elle est toujours de bon conseil, toujours là pour l'apaiser, le calmer, le ramener à la réalité, mais aussi pour l’entraîner dans les pires conneries. Véritable pile électrique sous sa forme de genette, elle se montre des plus calmes et réfléchit sous celle du loris. Pourquoi ces  formes ? Il n'en a pas la moindre idée. Moon dit que son côté Genette est pour son manque de stabilité, la manie qu'il a de se faufiler partout, son côté plus aventureux. Selon elle, le loris représente sa part plus discrète, silencieuse, calme. Est-ce qu'elle dit vrai ? Il n'en a à vrai dire pas la moindre idée, mais il se contente de cette réponse. Le plus souvent, sa moitié prend la forme d'une genette, bien plus rapide et agile que le loris.
Pseudo et âge: Manon, 21 ans. Où as-tu trouvé le forum ? Ca remonte à très longtemps maintenant. Personnage: Inventé  As-tu un autre compte sur BP ?  jaredditoui Slaine, Ridley et Kilian Présence: Je suis toujours dans le coin.Une remarque ?  Daengelo  


Dernière édition par Lesath Sioghán le Lun 15 Fév - 0:03, édité 11 fois
Invité
Invité
Anonymous
Lesath - There are no limits to our ambitions except those we build for ourselves. Empty
Message Re: Lesath - There are no limits to our ambitions except those we build for ourselves.
par Invité, Sam 13 Fév - 17:43 (#)
Histoire
Happiness can be found even in the darkest of times
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]



« L'enfance est innocence, c'est un recommencement, un jeu, une roue libre, un premier mouvement, un oui sacré. »


Une mère, son fils, dans un salon aux couleurs claires, éclairé par de grandes baies vitrées ouvertes et un soleil éblouissant. La femme souri alors que le petit s'amuse de la patience de sa mère, refusant de mettre une petite cuillère dans sa bouche. Deux rires heureux, éclairant un peu plus cette belle journée. La mère profite de son enfant, alors que le père s'occupe d’aménager la chambre du petit à l'étage. A la main, sans l'aide de magie, simplement parce qu'il n'en a pas. Simple moldu, il tente d'offrir ce qu'il y a de mieux à ce trésor que la vie lui a offerte, son fils. Il prend ses marques, peu à peu, dans ce village majoritairement sorcier, fréquentant de moins en moins le peu de moldu qui l'habite. Parce qu'il a un secret à garder aujourd'hui et que la magie instinctive de son fils pourrait s'avérer dangereuse si elle était aperçu par des êtres dépourvue de toute magie. Parce qu'il désire plus que tout les protéger tous les deux, tout simplement. Le petit riant, accepte finalement une cuillère que sa mère lui tend, quand un bruit sourd retentis dans la maison. Le sourire aux lèvres, la mère s'attend à accueillir des amis, qui trop habitué à user de la poudre de cheminette, n'ont pas prit l'habitude de frapper. Seulement, les bruits se font de plus en plus insistant, de plus en plus violent, s'approchant dangereusement du salon, si bien que la jeune mère se met sur ses gardes, cherchant d'un regard inquiet sa baguette. Incapable de mettre la main dessus, elle tente de reprendre son calme. La porte du salon claque en un fracas assourdissant, alors que trois hommes, se montrent finalement, un sac remplit du peu d'objet de valeur qu'ils ont pu amasser sur leur route. Un flot de parole insensées, trahissant leur panique, leur échapper, alors que la femme se pose devant son enfant, d'un geste presque instinctif. L'un d'entre eux s'avance, menaçant, détaillant la mère de haut en bas. Le ventre nouée, celle-ci leur fait face, le regard glaciale. . Un sourire mauvais au visage le voleur s'adresse à ces compagnons de jeux. « C'était pas prévu ça ! MERDE ! On en fait quoi maintenant ? Elle va nous balancer. Vous aviez dit que la maison était vide ! » profitant d'un moment d'inattention, la sorcière tend la main, sentant très vite le verre glaciale d'un vase épais qu'elle tente d'attraper. Elle n'a pas le temps de l'attraper, que le type se retourne, les yeux brillant d'une lueur de folie malsaine, il lui prend le bras, avec une force démesurée. « Tu comptais faire quoi là ? » Plus la jeune femme se défend, plus la prise se resserre sur son poignet. Fine et privée de sa magie, la sorcière se retrouve bien trop vulnérable devant cet homme, pourtant elle ne se laisse pas faire, redoublant d'effort pour le faire lâcher prise, avec plus de hargne que jamais, hurlant le nom de son mari. Dans un ultime coup à l’inconnu, celui-ci lui attrape la tête, lui portant un violent coup au crâne, qui vient s'écraser sur le rebord de la table. Sous la panique les trois hommes prennent la fuite, laissant derrière eux la jeune femme, inconsciente, son sang se répand sous les yeux du petit garçon tout juste âgé de deux ans.  Le père, alerté par l'appel de sa femme et les hurlement de son fils, traverse la maison aussi vite que possible. Devant la scène un cri déchirant retenti, alors que l'homme tombe à genoux devant sa femme, déjà morte.


« As long as we’re together, does it matter where we go? »


Un matin d'automne, un homme, vêtu d'un long manteau, déchiré, d'un pantalon abîmé, une paire de bottes aux pieds semble marcher sans but, tête baissée le long d'un parking. Il lui arrive de se baisser de temps à autres, ramassant quelque chose, avant de le mettre dans sa poche, ou bien de le jeter un peu plus loin. Ses cheveux sales et mal coiffés viennent compléter ce tableau parfait d'un homme misérable, perdu, qui n'a nulle part où aller. Derrière lui, un enfant qui le suit de près. Un petit garçon habillé par un gros pull dont les files de laine semblent se défaire petit à petit, un pantalon bien trop grand soutenu par un élastique en piteux état, le tout recouvert d'un manteau décousus à de nombreux endroit. Son fils. Alors que l'on peut lire dans les yeux du père une peine sans fond, une douleur intense et une pointe de folie, dans ceux de l'enfant on ne voit que cette innocence si propre à ces petits êtres découvrant tout juste le monde qui les entours, mais cette la lueur d'émerveillement est éteinte laissant place à une inquiétude que lui même semble ne pas comprendre, son regard reflète tant de questions sans réponses. Le soleil perce le ciel, se reflétant en une lueur aveuglante sur le sol recouvert d'eau de pluie de la nuit passée. Les yeux fatigués de l'enfant se ferment un peu plus devant ce spectacle aveuglant. Épuisé par le manque de sommeil et la faim, il peine à suivre son père. Les bras le long du corps il tient dans sa petite main son ours en peluche marron ayant perdu son œil deux jours plus tôt et une patte la semaine derrière alors qu'un jeune chiot en avait fait son nouveau jouet. C'est déjà le Sixième parking qu'ils parcours depuis le lever, ils sont tous les deux à bout de force. Poussant un cri de rage l'homme vient donner un violent coup de pied dans une bouteille déjà brisée sur le sol. Apeuré, le petit court aussi rapidement que ses petites jambes le lui permettent  près de son père pour lui prendre la main, et lui adresser son regard noyé dans les larmes, et comme toujours, sans laisser échapper le moindre son de sa bouche, il essaye d'apporter tout le réconfort qu'il peut lui offrir en le serrant, du haut de ces 89cm, dans ses faibles petits bras. Ce geste aussi dur que beau fait monter les larmes aux yeux du père, qui ressert l'étreinte de son fils, alors qu'une goutte d'eau salée roule le long de sa joue. « Je suis désolé... ». Toujours dans ce grand silence qui lui est si familier le petit relève la tête, pour laisser apparaître ses yeux ronds, illustrant l'incompréhension d'un enfant qui ne connaît que ça, qui ne comprend pas même l'objet de ces excuses. Parce ce quotidien est désormais le sien. Si jeune et pourtant déjà confronté à cette vie qui n'en est pas une.

Un soir pluvieux, notre homme, tenant la main de son fils, son trésor, sa vie, cherche désespérément un endroit où dormir. Si ça ne tenait qu'à lui il se serait sûrement endormi sous ce pont, près de cette rivière non loin d'ici, mais cet enfant qu'il tient par la main, cet être si fragile mérite toute la protection et le confort qu'on puisse lui offrir. Non cet petit ne mérite pas de dormir sur un sol boueux, sous cette pluie incessante, dans ce froid saisissant. Traînant les pieds derrière, les yeux mi-clos, l'enfant est épuisé, à bout de force, mais c'est comme toujours dans le plus grand silence et sans la moindre plainte qu'il suit son père du mieux qu'il peut. Son père lui, ne le lâche pas, s'accrochant à son fils comme s'il était la dernière chose qu'il lui restait, comme s'il ne pouvait se séparer de lui, malgré les milles et unes questions qui lui traverse l'esprit, malgré tout le bon sens dont il essaye de faire preuve. Après tout, ils n'ont plus rien. Pas même un toit sur leur tête. Il est tout ce qui lui reste. La tête pleine d'inquiétudes pour ce petit bout, il l'a prit dans ses bras. L'enfant a posé sa tête sur l'épaule de son père et s’est endormie, là, un faible sourire aux lèvres.

« I lay in tears in bed all night
Alone without you by my side »


Les yeux de l'enfant, encore paisibles, s'ouvrent peu à peu à la lumière du jour qui illumine la pièce.  Lui offrant la vision d'une chambre inconnue. Perdu et encore endormi, son regard cherche le visage familier de son père, sans le trouver. A ses côtés, un visage inconnu semble l'observer attentivement. Un homme, plus âgé que celui qui le tenait dans ses bras lorsqu'il s'endormait. Un sourire sans joie traverse le visage de cet inconnu, sans que l'enfant ne comprenne.  « Bonjour … Lesath. » Gardant ses mots pour lui, comme toujours, le petit garçon lui rend un sourire, apeuré, mais son regard s'affole. Allongé dans ce lit qu'il ne reconnaît pas, dans cette pièce qu'il n'a jamais vu, il sent son cœur s'emballer, alors que ses premiers mots, tremblants, lui échappent, brisant ce silence qu'il entretient depuis la mort de sa mère.   «  P..papa...Papa ? » Mais personne ne répond à ses appels désespérés. Le visage de l'homme à son chevet se ferme et son regard se durcit, alors que mal à l'aise, il semble chercher les mots justes. Sa voix grave, peu rassurante, raisonne comme un rêve des plus cauchemardesque dans l'esprit de l'enfant. « Il n'est … plus là Lesath. Tu vas rester avec moi. » Bien que l'enfant ne soit pas certain de tout comprendre, ces mots suffisent à faire couler les larmes sur ses joues. Il l'a laissé ici. Il l'a abandonné aux bras de ces inconnus, seul. Il était tout ce qui lui restait. L'enfant, incapable de comprendre ce geste, incapable de comprendre ce qu'un tel geste signifie, brise le silence de ses sanglots. « Il t'a laissé cette lettre. Je pourrai te la lire plus tard si … tu en as envie. » De ses petites mains, l'enfant attrape la lettre, la serrant contre lui, incapable de lire les mots couchés sur le papier, pour lui, ils ne représentent qu'une suite de signes sans le moindre sens, les uns à la suite des autres. Pourtant, c'est tout ce qui lui reste de ce père désormais absent. Alors, la vue troublé par ses yeux noyés de larmes, l'enfant se roule sous les couvertures, dans l'espoir de se réveiller, dans l'espoir de ne pas avoir comprit, dans l'espoir qu'il revienne le chercher.

Je ne suis qu'un pauvre homme qui a tout perdu. J'ai à peine de quoi me faire survivre moi-même, je ne peux pas m'occuper de mon fils. Ce n'est pas une vie pour un enfant, je me suis menti trop longtemps, pensant que je finirai pas voir le bout un jour, mais c'était égoïste de ma part. Et aucun enfant ne devrait vivre ça. Prenez soin de Lesath.  Dites lui, qu'il représente tout pour moi, je l'aime plus que tout et que c'est bien pour ça que je m'en remet à vous aujourd'hui. Qu'il ne se sente pas abandonné.  


Des gouttes viennent entacher cette lettre d'adieu, celle d'un homme désespéré a qui il ne reste plus rien. Sans doute le plus beau cadeau qu'il pouvait faire à cet enfant, bien que cette vie d'église ne soit pas idéale, bien que tout enfant devrait avoir le droit à une famille.


« There is a savage beast in every man. »


Devant la porte de cette lugubre cave, sombre, froid, se trouve Lesath, comme figé, les yeux rivés sur la porte. Le petit garçon maintenant âgé de six ans lance un regard empli d'une profonde incompréhension au prêtre. Pourquoi ce garçon, tout juste arrivé, mais auquel il s'est déjà attaché, doit passe la nuit ici, seul ? Alors que lui doit rejoindre leur chambre sans poser de questions supplémentaires. Un profond sentiment d'angoisse envahit le garçon, qui du haut de ses six ans, ne peut qu'utiliser ses plaintes innocente contre la décision du prêtre. Il s'est déjà habitué à la présence du français et l'idée de le savoir ici, seul, dans le noir, dans le froid, lui noue la gorge. Ses petits yeux d'enfant passent du prêtre, à la porte, affolés. Refusant de partir et la voix tremblante il s'adresse à nouveau à cet homme qui la recueillis il y a maintenant plus de deux ans, dans l'espoir d'une réponse à ces questions qui se bousculent dans son crâne. « Mais pourquoi ? » Ses yeux brûlent, alors qu'il fronce les sourcils devant cette injustice, le regard inquiet de l'homme le plonge dans une confusion plus profonde encore. Derrière sa maladresse, derrière sa froideur apparente, cet homme d'église n'est pas méchant, le garçon le sait, mais cette soirée là bouscule tout ses repères, toutes ses convictions. Cette relation qu'ils ont sût construire tous les deux se retrouver ébranlé par cette incompréhension. L'homme lui demande encore une fois de ne pas rester ici, d'aller se coucher, mais Lesath ne bouge pas. « Mais pourquoi il doit dormir seul ici ? » Sa vue se trouble, alors que ses yeux se noient dans les larmes qu'il retient avec peine, se mordant la lèvre. Il ressent se mélange de colère et de tristesse s'éveiller en lui, alors que petite main vient attraper le vêtement du prêtre, dans une ultime geste suppliant. Il n'a aucune envie de laisser son ami vivre ça, seul. Des bruits, de l'agitation, se font entendre derrière la porte fermée. Et le cœur du petit garçon se serre un peu plus encore. « Il est tout seul ... ».

Les  bruits se font de plus en plus insistant, de plus en plus violent, arrachant un frisson d'effroi à l'orphelin. Rapidement, des grondements bestiales lui parviennent, sans qu'il n'en comprenne la source. Les yeux rond, les larmes roulant sur ses joues, Lesath reporte toute son attention sur cette porte, sans oser faire le moindre mouvement. « Vite file dans ta chambre  » La voix du prêtre l'inquiète, il recule d'un pas effrayé, sans pour autant rejoindre sa chambre. Sous ses yeux d'enfants, une bête sauvage fait céder la porte, dans un ultime coup de pattes. Un loup. Tremblant, figé, Lesath ne bouge pas. Muet, il entend le prêtre hurler le nom d'Aristide, comme pour arrêter l'animal dans sa fuite. Il n'est pas certain de comprendre, pas certain de vouloir comprendre, la scène qui se déroule devant lui. Il en a entendu des histoires, sur ces sorciers maudits par une morsure, qui chaque pleine lune se voient arraché de leur humanité, pour laisser place à cette bête les habitent. Mais l'idée que son ami, que le seul enfant qu'il puisse approcher réellement soit l'un des leurs lui apparaît cette nuit là comme une effroyable vérité.


« walking with a friend in the dark is better than walking alone in the light. »


Une moue boudeuse prend place sur le visage de l'enfant, qui regarde d'un air méfiant la petite sauvageonne blonde entrer dans l'église. Narcisse. Une des rares enfants entrée dans sa vie depuis qu'il vit ici, avant même qu'Aristide ne vienne le rejoindre. D'un regard attentif, il l'observait à travers le verre, courir dans les rues de la ville, se défendre et mordre les pauvres gens qu'elle avait volé. Il la trouvait plutôt amusante, intrigante, sans trop savoir pourquoi. Mais ça, c'était avant qu'elle vole l'argent de la quête, avant que le prêtre ne lui accorde trop d’intérêt, avant qu'elle ne lui envoi ce coup dans le tibia sans la moindre raison. Depuis il garde un œil sur elle, essayant de la faire fuir tant qu'il le peut. Parce qu'elle est collante, parce qu'elle est insupportable, parce qu'elle s'approche de son frère et qu'il n'a pas la moindre envie de le partager, pas avec elle. Il est chez lui. C'est son ami. Elle n'a qu'à aller s'en trouver un autre dans les rues de la ville. Il doit y avoir tellement d'autre enfants. On lui dit que la jalousie est un mauvais sentiment, de ceux qui vous rongent et vous détruisent de l'intérieur. Mais il s'en moque pas mal. Elle ne cesse de l'ennuyer, d’enchaîner les conneries, les unes après les autres et elle trouve ça normal. Quant au prêtre … Il se montre trop gentil. Elle peut bien faire ce qu'elle veut, elle est toujours pardonnée, alors que lui ne cesse de recevoir d'interminable leçon de morale au moindre pas de travers. Cette fille est un parasite. Une voleuse qui cherche à lui piquer sa place et il refuse de la laisser faire.

Son sourire s'étire presque aussitôt, alors que son regard croise celui d'Aristide. Il sait ce qu'il est, il sait ce que cela représente, mais ce n'est pas si grave, si ? Il reste son ami, son frère, lorsque la pleine lune n'éclaire pas le ciel. Ça fait maintenant un an qu'il partage sa vie, sa chambre, qu'il prend part à ses conneries, ses peines et ses joies. Cette malédiction l'intrigue plus que tout, comme une douce obsession, si bien qu'il ne cesse d'assommer le prêtre de question. Ce dernier soupire parfois, y répond lorsqu'il est de bonne humeur et a renoncé à l'idée de le garder à l'écart de ce lourd secret, tentant au mieux de le protéger des conséquences qu'une telle chose peut avoir. Mais Lesath en est persuadé, son amitié avec Aristide n'est que le début d'une longue relation, ce bout de chemin qu'ils ont commencé ensemble, n'est que le commencement d'une longue route. Il veut tout savoir, il veut tout apprendre, il veut comprendre ce qui arrive à son ami, être là pour lui. Alors, lorsqu'il n'est plus autorisé à poser de question, il observe en silence. La confection de potion le fascine. Et baigné dans ces histoires, il trépigne d'impatience à l'idée de rejoindre cette école de sorcier donc il a tant entendu parler.


« Everything I've loved, became everything I lost. »


Il lui a dit qu'il ne pouvait pas rester, que ça n'a rien à voir avec lui, que c'est ce qu'il y a de mieux pour lui. Ces gens qu'il ne connaît pas cherchent un enfant, un enfant spécial, comme lui. Mais il se fiche pas mal d'être spécial, il se fiche pas mal que ces personnes désirent avoir un enfant. Pendant des années il en a rêvé, de cette image de la famille parfaite, de cet idéal de vie, saine, stable, heureuse, encadrée par deux parents qui l'aimeraient. Pourtant, aujourd'hui, alors que l'enfant touche enfin ce rêve du bout des doigts, l'idée de le réalisé lui semble bien plus douloureux que l'idée de rester à la place qu'il a sût se faire à l'église ces dernières années. Alors ce ne sont pas des sourires, ce n'est pas la joie, qui se lit sur son visage, mais des larmes qu'il tente de retenir du mieux qu'il peut. Trop de larmes ont déjà coulées sur ses joues d'enfants, trop de perte dans ce cœur neuf. Dans ses yeux, on peut lire à nouveau cette incompréhension, ce sentiment d'injustice profond dont il ne peut se détacher. Le plus douloureux pour cet enfant, maintenant âgé de huit ans, reste le sentiment d'abandon qui vient ouvrir à nouveaux ces blessures qui n'ont jamais réellement cicatrisées. Un renouveau. Une nouvelle vie. Foutaise. Un abandon de plus. Parce qu'il n'est indispensable à personnes, parce qu'il s'attache à sens unique, parce que la seule famille qu'il a réussis à se construire ne le vois visiblement pas comme l'un des leurs. La gorge nouée, incapable de dire le moindre mot de plus, il s'en va, laissant derrière lui cette église à laquelle il n'aurait cru s'attacher autant, ce prêtre qui l'a élevé, qui lui a donné l'illusion d'être aimé l'espace de quelques années, pour finalement détruire ses illusions, plus violemment. Au loin, il aperçoit, à travers ses larmes, le visage d'Aristide, son meilleur ami, son frère et à l'idée qu'il ne le reverra plus, à l'idée que ce jour marque les adieux, la fin de cette amitié, lui brise le cœur encore une fois de plus.


« If you live for people's acceptance, you will die from their rejection. »


Lesath a maintenant 10 ans et ses yeux s'inondent à nouveau de larmes. Assis, seul, dans ce couloir d'hôpital, le garçon sanglote et tente tant bien que mal de retenir ces perles qui roulent une à une sur son visage d'enfant. La nouvelle est tombée, celle qu'il considérait désormais comme la seule figure maternelle dont il ait le souvenir, vient de pousser son dernier soupire, après une longue lutte contre les blessures. Un banal accident de voiture, alors qu'elle se rendait dans un village alentour. Le laissant seul, derrière elle, avec cet homme. Cet homme qui depuis la naissance du bébé le prend pour un véritable fardeau sans même s'en cacher, cet homme qui le méprise un peu plus chaque jour, sans que l'enfant n'en comprenne la raison. Cet homme qui l'a simplement poussé hors de la chambre de sa mère, sans le laisser jeter un dernier regard, en prétextant qu'il n'avait rien à faire là, qu'il n'était que le fruit de l'obsession pour la charité de sa femme. Sous la rage, les mots ont fusé, faisant un à un l'effet d'un coup de poignard en plein cœur à cet enfant innocent. Cet amour il ne l'a pas cherché, il ne l'a pas voulut. A l'église, il avait ce qu'il lui fallait, du moins il s'y était attaché et ça lui suffisait. C'est eux qui sont venu l'arraché à son meilleur ami, eux qui sont venu le prendre à celui qui l'a élevé. Il n'a jamais demandé tout ça. Il n'était que le fruit de leur lubie passagère, une pièce de plus dans leur vie déjà trop parfaite, la dernière touche d'un tableau idéalisé. Pourtant, cet amour pour eux est bien sincère. Malgré lui, malgré la douleur de la perte d'Aristide, il s'est attaché à eux, bien plus qu'il ne l'aurait imaginé. Innocent, cet enfant n'a fait que s’accrocher à cette vision de la famille, à cet ultime espoir d'une vie stable et heureuse, qu'il n'a jamais eu. Mais devant ses yeux, avec le corps sans vie de sa mère adoptive, tout s'écroule. Laissant place à un nouveau vide, le laissant face au rejet d'un homme qui ne supporte plus sa simple présence. Malgré tout l'amour qu'il peut lui porté, malgré tous les efforts qu'il peut faire, cet homme n'a que de violentes paroles à lui offrir, un dégoût profond, sans que cet enfant ne soit en mesure de comprendre ce qu'il a pu faire de mal. Le temps passe et cet homme lui fait payer chaque jour la mort de sa femme, ce même si l'enfant n'y est pour rien, même s'il en souffre tout autant. Si bien que le comportement de l'enfant change. Cet enfant si innocent, qui ne demandait qu'à être aimé, se renferme peu à peu. Peut-être qu'il en demande trop aux gens, peut-être que l'amour n'est qu'une illusion, que la famille n'est qu'un mot pour faire rêver les plus naïf, peut-être qu'il ne devrait pas s'attacher aux gens, attendre leur amour en retour.

« If pain must come, may it come quickly. Because I have a life to live, and I need to live it in the best way possible. »

Le poing du jeune homme vient s'écraser avec trop de violence sur ce mur de pierre, alors que la solitude et le silence l'entour. Cette fois, les larmes ne coulent plus. Le petit garçon qu'il était les a sans doutes toutes écoulé avant qu'il n'atteigne l'âge de vingt ans. Pourtant, les serrer et les muscle tremblant, il sent un mélange de violente rage et d'une peine presque insoutenable. Les années ont passées, depuis que Lesath a quitté cette église, depuis que le prêtre qui l'a élevé ne fait plus partie de son quotidien. Pourtant, même s'il lui en a voulut pendant bien des années, il a toujours gardé une place importante pour lui. L'épuisement le gagne, peu à peu. Il est fatigué. Fatigué de toujours devoir dire adieu, fatigué de perdre toutes ses personnes auxquelles il tient. Chaque fois qu'on plaie se referme, chaque fois qu'il reprend le court de sa vie, celle-ci lui arrache quelque chose, comme pour le ramené à cette violente réalité, comme pour le privé d'un bonheur auquel il n'a peut-être pas le droit. Seulement, ce 26 Août 1980, c'est l'ultime coup de poignard. Il est mort. Le prêtre est mort. Se laissant glisser contre la pierre froide, Lesath cherche à comprendre, à remettre de l'ordre. Il a été tué. Indirectement, mais il le sait, c'est cette course qui l'a tué. Cet homme qui l'a recueilli, qui l'a élevé, cet homme qui a été là alors qu'il n'avait plus personne et mort, tué par son meilleur ami, son frère. Et même si la rage le gagne, même si la rancœur le ronge, il ne peut tourner cette haine sur Aristide. Parce qu'il est maudit, parce qu'il n'avait pas le moindre contrôle sur cette chose qui l'habite, parce que le loup a prit le dessus sur l'homme. Enfant le loup l'effrayait, mais au fil des années, il a sût faire abstraction de la peur, il s'est habitué à cette dualité, pourtant, aujourd'hui sa haine se tourne vers ce loup qui a arraché la vie à cette personne qui lui était plus chère qui ne le pensait.




Dernière édition par Lesath Sioghán le Dim 14 Fév - 23:34, édité 15 fois
A. Narcisse Hepburn
admin - war is the sea i swim in
A. Narcisse Hepburn
Répartition : 13/02/2016
Hiboux Envoyés : 480
Lesath - There are no limits to our ambitions except those we build for ourselves. Empty
Message Re: Lesath - There are no limits to our ambitions except those we build for ourselves.
par A. Narcisse Hepburn, Sam 13 Fév - 17:44 (#)
PREUMS Twisted

Mon amour je vais t'aider jaredditoui
Tu es narcissexuel jaredditoui tu es bientôt marié-pour-la-deuxième-fois-divorcé-bientôt-pour-la-troisième-foi-avec-moi jaredditoui
Et sinon, je te surveille HOHOHOHOHOHOHOHOHHO

Bref, j'ai hâte de rp avec toi ma petite limace préférée love
Guest
Invité
Anonymous
Lesath - There are no limits to our ambitions except those we build for ourselves. Empty
Message Re: Lesath - There are no limits to our ambitions except those we build for ourselves.
par Guest, Sam 13 Fév - 18:07 (#)
Genre, t'as choisi quelqu'un qui a de la gueule comme ça Lysfèlagueule
Alec il va baver dessus wuuuuut
Rebienvenue Robert47cm
Invité
Invité
Anonymous
Lesath - There are no limits to our ambitions except those we build for ourselves. Empty
Message Re: Lesath - There are no limits to our ambitions except those we build for ourselves.
par Invité, Sam 13 Fév - 18:08 (#)
Re bienvenue hihi
Invité
Invité
Anonymous
Lesath - There are no limits to our ambitions except those we build for ourselves. Empty
Message Re: Lesath - There are no limits to our ambitions except those we build for ourselves.
par Invité, Sam 13 Fév - 18:22 (#)
rebienvenue ! Chou
Invité
Invité
Anonymous
Lesath - There are no limits to our ambitions except those we build for ourselves. Empty
Message Re: Lesath - There are no limits to our ambitions except those we build for ourselves.
par Invité, Sam 13 Fév - 18:44 (#)
Comme t'es belle hihi Chou

Rebienvenue Brille
Invité
Invité
Anonymous
Lesath - There are no limits to our ambitions except those we build for ourselves. Empty
Message Re: Lesath - There are no limits to our ambitions except those we build for ourselves.
par Invité, Sam 13 Fév - 18:45 (#)
A. Narcisse Hepburn a écrit:
PREUMS Twisted

Mon amour je vais t'aider jaredditoui
Tu es narcissexuel jaredditoui tu es bientôt marié-pour-la-deuxième-fois-divorcé-bientôt-pour-la-troisième-foi-avec-moi jaredditoui
Et sinon, je te surveille HOHOHOHOHOHOHOHOHHO

Bref, j'ai hâte de rp avec toi ma petite limace préférée love

Mon amour de meilleure petite ennemie amie Chou
Merde, je suis contre le mariage. Je me suis marié deux fois. Comment on a fait ? Hen !
Me surveille pas de trop près tu vas faire peur aux gens HOHOHOHOHOHOHOHOHHO Daengelo
J'ai hâte de rp avec toi aussi Han!

Blue L. Nightingal a écrit:
Genre, t'as choisi quelqu'un qui a de la gueule comme ça Lysfèlagueule
Alec il va baver dessus wuuuuut
Rebienvenue Robert47cm

Un problème avec ma gueule ? hihi
C'estpasSathqueçavadérangépourAlec Robert47cm MaisSlaineunpeuplus.

R. Magdalena Von Hessen a écrit:
Comme t'es belle hihi Chou

Rebienvenue Brille

RIP Toiaussi hihi


Merci les gens Chou
Invité
Invité
Anonymous
Lesath - There are no limits to our ambitions except those we build for ourselves. Empty
Message Re: Lesath - There are no limits to our ambitions except those we build for ourselves.
par Invité, Sam 13 Fév - 19:16 (#)
Comme tu es trop beau NONPASAUBAAAIN
Re-bienvenue love bave j'ai hâte de découvrir ce nouveau perso ! Han! et bon courage pour ta nouvelle fiche ! GNOE
edit: Et ce pseudo dead bave
Invité
Invité
Anonymous
Lesath - There are no limits to our ambitions except those we build for ourselves. Empty
Message Re: Lesath - There are no limits to our ambitions except those we build for ourselves.
par Invité, Sam 13 Fév - 19:51 (#)
Re bienvenue ! Chou
Invité
Invité
Anonymous
Lesath - There are no limits to our ambitions except those we build for ourselves. Empty
Message Re: Lesath - There are no limits to our ambitions except those we build for ourselves.
par Invité, Sam 13 Fév - 20:10 (#)
Je te le redis sur ta fiche, J'A-D-O-R-E ton pseudo et ce choix d'avatar bave

ReBienvenue et bonne chance pour la continuation de ta fiche Brille
Invité
Invité
Anonymous
Lesath - There are no limits to our ambitions except those we build for ourselves. Empty
Message Re: Lesath - There are no limits to our ambitions except those we build for ourselves.
par Invité, Sam 13 Fév - 20:15 (#)
Comment t'es trop beau GNOE Daengelo Je veux un lien jaredditoui
Rebienvenue et hâte te voir jouer le petit nouveau HOHOHOHOHOHOHOHOHHO
Guest
Invité
Anonymous
Lesath - There are no limits to our ambitions except those we build for ourselves. Empty
Message Re: Lesath - There are no limits to our ambitions except those we build for ourselves.
par Guest, Sam 13 Fév - 22:24 (#)
Bienvenuuuuuue  Chou
Invité
Invité
Anonymous
Lesath - There are no limits to our ambitions except those we build for ourselves. Empty
Message Re: Lesath - There are no limits to our ambitions except those we build for ourselves.
par Invité, Dim 14 Fév - 2:16 (#)
Rebienvenuuuue Twisted

Faudra qu'on cause de ce lien aussi scary

T'es mâle.

Mais j'aime les meufs alors on s'en balance.




EDIT : ah oui j'oubliais hmf
Invité
Invité
Anonymous
Lesath - There are no limits to our ambitions except those we build for ourselves. Empty
Message Re: Lesath - There are no limits to our ambitions except those we build for ourselves.
par Invité, Dim 14 Fév - 3:18 (#)
Alexis J. Dearborn a écrit:
Comme tu es trop beau NONPASAUBAAAIN
Re-bienvenue love bave j'ai hâte de découvrir ce nouveau perso ! Han! et bon courage pour ta nouvelle fiche ! GNOE
edit: Et ce pseudo dead bave

Merci HOHOHOHOHOHOHOHOHHO Je suis contente de voir que le pseudo plait, je me suis bien cassé la tête à trouver un nom HOHOHOHOHOHOHOHOHHO

A. Madison Jenkins a écrit:
Re bienvenue ! Chou
Merci Brille


Summer L. Green a écrit:
Je te le redis sur ta fiche, J'A-D-O-R-E ton pseudo et ce choix d'avatar bave

ReBienvenue et bonne chance pour la continuation de ta fiche Brille

Je te le redis MERCI Brille


Angharad L. Lannister a écrit:
Comment t'es trop beau GNOE Daengelo Je veux un lien jaredditoui
Rebienvenue et hâte te voir jouer le petit nouveau HOHOHOHOHOHOHOHOHHO

GNOE
Je t'en réserve un jaredditoui
Et merci hihi

Conan O'Reilly a écrit:
Bienvenuuuuuue  Chou
Merci Chou


V. Mallory Shacklebolt a écrit:
Rebienvenuuuue Twisted

Faudra qu'on cause de ce lien aussi scary

T'es mâle.

Mais j'aime les meufs alors on s'en balance.




EDIT :  ah oui j'oubliais hmf

Merci Twisted
Ouais, je le veux ce lien hmf
C'est bien les mecs aussi.
hmf Daengelo
Contenu sponsorisé
Lesath - There are no limits to our ambitions except those we build for ourselves. Empty
Message Re: Lesath - There are no limits to our ambitions except those we build for ourselves.
par Contenu sponsorisé, (#)
 

Lesath - There are no limits to our ambitions except those we build for ourselves.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 2Aller à la page : 1, 2  Suivant

 Sujets similaires

+

 Sujets similaires

-
» Lesath - Il paraît que j'ai besoin d'un hibou.
»  Lesath - Never let friends do stupid things ... Alone.
» (reagan) every scar will build my throne
» Slaine N. Lenaghan - Ridley L. Devon - Kilian Z. Aymslowe - Lesath Sioghan - 2 Mai
» Slaine N. Lenaghan - Ridley L. Devon - Kilian Z. Aymslowe - Lesath Sioghan - 3 Avril

BELLUM PATRONUM ::  :: Nox :: Archives des fiches