18 ans ϟ JUSTICE MAGIQUE ϟ Un cygne et une colombe ϟ Sang Pur
« Un grand homme n'a pas de famille ; il n'a que des héritiers. »
Regardez-la, regardez-la bien, si vous posez vos yeux sur Daenerys ce que vous ferez à la minute où elle entrera dans une pièce, ou qu’elle vous croisera dans un couloir. Comment ne pas la voir ? Tiré à quatre épingles, droite avec une prestance presque naturelle, la jeune fille vous juchera peut-être de son regard perçant mais vous n’y ferez pas attention plonger dans le méandre de ses yeux noisette vous ne verrez que ce qu’elle veut bien vous montrer. Daenerys représente les Queen, tout ce que vous pouvez aimer et haïr au sein de cette reconnu famille, la prestance, la perfidie, la loyauté. Aucune qualité, aucun défaut n’est plus représenter que chez elle. Elle ne vit que pour une chose, représenter au mieux son milieu social. Alors qui mieux qu’elle pour représenter la famille ? Et pourtant, si vous regardez bien, si vous creuser un peu, si vous parvenez à percer la carapace, vous apercevrais une rancune profonde, car représenter la famille Queen est une chose, en être l’héritière une autre. Et voilà ce qui manque à Daenerys, voilà ce qu’elle a toujours convoité, la place d’héritière, celle de matriarche de la famille. Cette place qui sera donné au fils du patriarche actuel Andrew Frenke Queen et à sa stupide future femme. Alors bien sûr, Daenerys voue une admiration sans limite à se chef de famille mais éprouve cette haine immuable de ne pouvoir prendre sa place, avec ce goût amer de n’être sans doute que la remplaçante d’Amélia le seule modèle féminin de sa noble famille comme trésorière de la famille. Les Queens, Daenerys les aiment autant qu’elle les déteste, un paradoxe familial, fille unique d’Edmond, professeur à Poudlard, qui l’aura très jeune, à peine âgé de 18 ans suite à son mariage arrangé avec une jeune sang-pur Astrobalde Isobel McGregor. Un père bon, mais strict. Rien ne lui échappe et très vite Daenerys appris à ne jamais transgresser les règles. Son père chargé de surveiller les sang-pur à Poudlard, éduqua la jeune fille pour qu’elle devienne un modèle, une matriarche à sa manière de la tenue à adopter lorsque notre statut de sang est pur. Daenerys devint très vite un modèle, intransigeante, dictatrice, aucun faux pas n’est permis aux sang-purs, et si une seule personne bafoue les devoirs qui lui incombe, la punition peut-être expéditive et ceux même pour les propres membres de sa famille.
« We will all laugh at gilded buterflies »
Daenerys est la seule fille de la famille, mais sans doute aussi la plus perfides, comme-ci chaque trait de son caractère était exacerbé elle peut-être douce et aimante avec eux mais aussi cruelle et démente. Elle les aime sans vraiment le montrer et exècre au plus haut point chaque femmes entrant dans la vie de ses cher cousins. Tout d’abord pour la place qu’elle prennent dans leurs vies mais surtout pour leurs futur statut de Queen, Daenerys met alors un point d’honneur à les descendre plus bas que terre si l’une seule d’entre elle aurait le malheur de transgresser les règles famillial qui leurs incombe une fois marier à ses cousins où tout simplement par pur plaisir. Daenerys est capricieuse, tout lui est dû, enfant unique gâté par son père et sa mère elle met un point d’honneur à être le centre de l’attention. Mais ce qui ressort le plus chez la jeune femme est son ambition, cette ambition presque maladive, frustré de ne pas être l’héritière direct de la tête de sa bien aimé famille, Daenerys se jura de le devenir par tous les moyens mais être une femme lui ouvre de grande porte aux seins de familles plus puissante. Daenerys est une grande rêveuse, rêverie exacerbé par son besoin compulsif d’être au sommet, des rêves de contes de fée de prince riche et puissant. De monter les échelons du ministère de la magie, rien ne peux l’arrêter dans son envie de pouvoir et d’ascension, jamais satisfaite elle compte bien devenir une femme reconnue dans le monde de la magie.
« Daena ! Couvre-toi mon enfant ! » Mes yeux se tournèrent vers la femme qui me tendait mon manteau, un grand imperméable rouge assortie parfaitement à la couleur du rouge à lèvres que je portais, un sourire reconnaissant se posa sur mon visage, elle était sans doute la seule à y avoir le droit. Ariel était ma nourrice, normalement les nourrices s’en vont lorsque l’enfant a atteint l’âge de 12 ou 13 ans mais j’avais tellement hurlé pour la garder auprès de moi, que Père n’avait pas pu faire autrement, et Ariel était si attaché à moi qu’elle avait accepté avec un grand plaisir. Ainsi, je confiais à ma nourrice le petit sac de pain que j’avais dans les mains et enfiler mon manteau. Je n’avais pas senti le froid hivernal m’envahir mais d’un coup la chaleur me rappela que depuis bientôt une heure j’étais simplement en pull dans la froideur de Londres. Je repris mon sachet de pain et continuai à en lancer simplement aux cygnes blancs du grand lac qui entouraient la propriété. Depuis ma plus tendre enfance, c’était toujours le même rituel, à chaque fois que j’éprouvais le besoin de me vider l’esprit les cygnes m’aidaient à faire le point. Alors que mes pensées divaguaient sur mon avenir futur auprès d’un beau prince bien riche, les cris d’Ariel m’en sortir. « Pitié Ariel, combien de fois t’ai-je dis de ne pas m’interrompre lorsque je suis plongé dans mes pensé ! » Je me tournais vers elle qui me regardait comme horrifié. « Quoi ? Qu’est-ce qui se passe ? » Elle pointa son doigt derrière moi et je tournai sur moi-même apercevant une brume grisâtre derrière ma tête. Et à mesure que je tournais, encore, encore et encore. Je perdis l’équilibre, le froid glacial m’envahis à mon contact dans l’eau, je perdais peu à peu toute sensation et l’eau engourdissait beaucoup trop chaque parti de mon corps pour que je puisse réagir. Soudain je me senti soulever, les bras de mon père m’emmenèrent à l’intérieur. Et je sombrais. Ce fût la douleur qui me réveilla, perçante, violente presque insupportable. Du plus profond de mes entrailles je sentais ce mal qui m’envahissait, elle était pire que tout, mes cris firent réagir mon père qui occuper à mettre un des cygnes qui m’avait suivis dehors revint en courant, suivis de près par le cygne. Et la douleur disparue. Puis la petite voix d’Ariel intervint. « C’est le cygne monsieur, c’est un patronus regardez bien cette petite tâche brumeuse sur sa tête. J’ai entendu dire que bon nombres d’enfants sorciers commençaient à en voir apparaître, on ne peut pas les séparer. » Mes yeux se posèrent sur le cygne majestueux qui leva la tête vers moi et posa son bec sur mon ventre, je sombrais à nouveau dans le sommeil. Quand je me réveillais, une petite colombe se posa sur mon doigt, je souris est compris alors que je ne serait plus jamais tout à fait seule et étrangement cela me fit du bien.
Tell me who you really are.
ϟ pseudo et âge: Marie - 20 ans ϟ Où as-tu trouvé le forum? Sur PRD ϟ Personnage: Inventé mais de la famille Queen ϟ As-tu un autre compte sur BP? Non ϟ Présence: 7 jours sur 7 normalement ϟ Une remarque?J'aime déjà ce forum ♥
Dernière édition par Daenerys I. Siobhan Queen le Jeu 18 Avr - 16:46, édité 7 fois
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Re: ♠ Daenerys ou l'art d'être une Queen. ♠ [terminée']
J’ai décidé de mettre par écrit ce que je ressens, à vrai dire quand on a 12 ans qu’est-ce qui peux bien nous passer par la tête hein ? Papa a voulu renvoyer la nourrice aujourd’hui, il parait que je suis trop vieille. Je n’ai jamais autant pleuré de ma vie, si bien que papa a fini par demander à Ariel de rester, et ma douce Ariel n’avais plutôt pas intérêt à refuser l’offre de mon père, mais bon devant mes larmes, elle n’a pas su résister à l’envie de rester auprès de moi. J’ai réfléchis, et je crois que je vais la garder avec moi jusqu’à la fin de ma vie, ou de la sienne en fait. Ariel est bien plus que ma nourrice, c’est ma confidente, un peu comme toi, en y réfléchissant tout ce que je vais écrire ici elle le sait où le saura surement, même ton existence sera connu d’elle. Elle est loyale et je pense que c’est sans doute une de mes seules vraies amies. Voilà un an que je suis à Poudlard et je remarque de plus de plus ce fait aberrant, des sangs de bourbes amis avec des sang-purs. Il va falloir remédier à ça ! Papa dit que toutes les familles de sang-pur ne sont pas comme nous, qu’ils font honte à leurs statuts, que parmi ses familles certaines n’ont même pas de mariage arrangé pour conserver la pureté du sang ! Je pense qu’il faudrait éradiquer ses sangs-impures, ils séduisent les gens comme nous et ensuite rendent notre sang aussi minable que le leurs, c’est une honte, père me renierais surement si je tombais sous le charme de l’un d’entre eux et il en ait hors de question ! Mère m’appel, il est l’heure de me préparer, il y a un grand dîner organiser à la maison ce soir, je dois être parfaite, en plus mes cousins seront là !
B-NET
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]« Tu fais honte à ton statut ! Hors de ma vue avant que je fasse quelque chose de regrettable ! » Je posai un regard venimeux sur la jeune fille au blason vert émeraude. Quelques secondes plus tard celle-ci avait déguerpi de la salle commune les larmes aux yeux sous le regard médusé des autres présents dans la salle. Il m’arrivait souvent de sortir de mes gonds, comme ça car quelque chose ne fonctionné pas correctement, mais celle-ci avait dépassé les bornes. « Je rêve oser me demander si venir accompagner au bal de Poudlard par un sang-mêlé était interdit ! Autant me demander si elle peut porter des escarpins bleus ciel avec une robe rouge et un châle vert ! Ce sera évidemment ….. OUI ! » Je parti me remettre de mes émotions dans ma chambre, pas assez de devoir gérer mon propre statut je devais surveiller de pauvres et stupides jeune fille n’ayant à l’évidence reçu aucune éducation qu’il revenait à leurs rangs ! Comme disait mon père les temps avait changé et lorsque je regardais devant moi, je n’imaginai pas à quel point s’était vrai. Mes yeux se posèrent sur la colombe qui m’avait suivi dans le dortoir et ma main se posa sur son cou pour la caresser. Une voix m’interrompit dans mes songes. « On ne t’a jamais dit qu’une sorcière de ton rang devait garder le parfait contrôle d’elle-même en présence de ses sujets ? » Ce rire je le connaissais, de même que cet air ironique. Mon cousin savait pertinemment que j’étais partagé entre l’envie de l’assassiner par le fait qu’il était l’héritier et l’amour familial que je lui vouais. « Oh ça va hein monsieur self-control ! Elle m’a quand même demandé si elle pouvait participer au bal au bras d’un minable de sang impurs ! » Il eut un haussement d’épaule, rien ne le touchait lui, mis à part l’ordre de la famille il se fichait des autres. « Elle n’a sans doute pas la classe des Queen. » Il marquait un point, mais de mon point de vue je me devais de les garder à l’œil, histoire que l’une d’entre elle ne s’imagine pas devenir meilleure que moi par exemple. D’un côté je me délectais de leurs erreurs de débutante, leurs mauvais goûts en matière d’homme et d’habillement pour la plupart. Mais d’un autre je me sentais dans le devoir de redorer le blason des sans pur, nous n’étions pas des bouseux après tout ! Il posa sa main sur ma joue. « Ma très chère Queen, tu es si parfaite et si tyrannique que j’en ai presque envie de te léguer ma place, mais …non ! » Il rit et se rendit compte qu’il était temps de partir lorsque mon oreiller frôla sa tête de quelque centimètre.
Papa m’a trouvé un fiancé, j’ignore encore comment il s’appelle mais il se trouve dans Poudlard. C’est un bon parti celons mon père et je sais qu’il aura choisi le meilleur pour moi, seul ombre au tableau ? Un séducteur, imbu de lui-même, vénal et incroyablement sûr de lui. Damon. Oh un jeune homme de sang-pur bien évidemment mais il me fait sortir de mes gonds en un rien de temps. Il a couché avec la moitié de mes jeunes et pur fille de sang-pur que j’ai dû punir pour leurs faiblesses ! Et il me rend folle, car il sait comment me faire fondre et comment me rendre folle de rage en quelques secondes. J’ignore ce qu’il me veut mais il a tous les traits de caractère que je déteste, tyrannique, capricieux, ambitieux et intelligent. Trait de caractère que je précise ne sont pas détestable chez moi ! Enfin, je fais tout pour le fuir mais étrangement quand je ne le vois pas je le cherche des yeux, quelque chose cloche chez moi et il fait ressortir des émotions qui ne devrait aucunement ressortir d’une jeune fille de mon rang. !
« On dirait que ma présence t’indispose princesse. » Mes yeux se levèrent à nouveau vers le jeune homme face à moi, son regard se plongea dans le mien et je perdis pied. Une alarme résonna dans ma tête, je ne devais pas me laisser amadouer par un être aussi perfide que lui. J’avais d’autres choses bien plus importantes comme la préparation des filles pour le bal. Il s’approcha de moi et son visage à quelque centimètre du mien. Je pouvais sentir son souffle, chaud, sucrée frôler mon visage parfaitement maquillé. Je pris une profonde inspiration. « Ne perd pas ton temps Damon, j’ai d’autre chat à fouetter. » Je me glisser en dehors de ses bras qui me coincer contre le mur. Il se tourna vers moi qui de dos m’en aller vers mes occupations. « Je t’attendrais à 22 heure devant les cuisines, on m’a dit que tu étais une grande amatrice de macarons … » Un sourire s’afficha malgré moi sur mon visage et je parti rejoindre les filles dans la salle commune. Lorsque l’horloge afficha 22 heures, je ne pus m’empêcher d’enfiler ma cape et de sortir de la salle commune pour me diriger vers les cuisines. Un mélange d’adrénaline et d’appréhension, ma petite colombe se posa sur mon épaule comme pour calmer les battements de mon cœur. J’entrai dans la cuisine et l’odeur de macarons à la framboise envahis mes narines. En plein milieu des cuisines il y avait un petit mot, une chandelle, une rose et une montagne de macarons.
Citation :
*En espérant que ta soirée soit agréable, profite de ses macarons. Affectueusement Damon *
Je me pris alors au jeu m’asseyant et commençant à déguster mes macarons. La porte claqua derrière moi et mon père entra dans les cuisines. « Mademoiselle Queen ! Je n’arrive pas à croire que tu fasses une chose pareille ! Te goinfrer dans les cuisines à une heure pareille ! Tu devrais être dans ta chambre ! Ce petit Damon m’avait bien dit qu’il avait entendu du bruit dans les cuisines ! » Je ne répondis pas, mais une haine profonde monta, il m’avait bien eu cette fois tu voulais la guerre Damon, accroche toi car j’en suis la reine, cherche vengeance dans le dictionnaire et tu y lira mon nom.
Dernière édition par Daenerys I. Siobhan Queen le Jeu 18 Avr - 19:20, édité 3 fois
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Re: ♠ Daenerys ou l'art d'être une Queen. ♠ [terminée']
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je t'aime déjà toi 
bienvenue parmi nouuuuuus 
Cara 
ça ne devrait pas être permis moi je dis !!!! :oops: 
