Lorem ipsum dolor sit amet, consectetuer adipiscing elit. Aenean commodo ligula eget dolor. Aenean massa. Cum sociis natoque penatibus et magnis dis parturient montes, nascetur ridiculus mus. Donec quam felis, ultricies nec, pellentesque eu, pretium quis, sem. Nulla consequat massa quis enim. Donec pede justo, fringilla vel, aliquet nec, vulputate eget, arcu. In enim justo, rhoncus ut, imperdiet a, venenatis vitae, justo. Nullam dictum felis eu pede mollis pretium. Integer tincidunt. Cras dapibus. Vivamus elementum semper nisi. Aenean vulputate eleifend tellus. Aenean leo ligula, porttitor eu, consequat vitae, eleifend ac, enim.

Très chère Electra Black,
je vous invite à passer la soirée du bal en ma compagnie. Accepterez vous cette invitation? fortement recommandée?

Passez une belle fin de journée et au plaisir de torturer des sang-de-bourbes de nouveau avec vous très bientôt.

Rozen

Chère blondasse,
J'ai toujours su que tu aimais te compliquer la vie mais à ce point ? Pourquoi n'as-tu, tout simplement, pas écrit ces trois mots : "Tu me manques" ? Ah, c'est vrai, ta fierté de blonde peroxydée t'en as empêché.
Je comprends que tu n’ai pas envie de rentrer au manoir. Pour ma part, je comptais rentrer chez moi en compagnie d'Arabella... Je ne veux pas la laisser seule avec ce monstre.

Ta jolie lionne.
PS : pourquoi as-tu glissé ta culotte dans la poche de ma veste ?

Je connais ta haine à son égard mais tu es priée de ne pas l'appeler troll. Malgré tout, il reste mon père.
Bref.
Si Arabella est conviée, je lui en parlerais donc. Essaie d'être gentille avec elle... Je n'ai plus qu'elle, tu sais.

PS : je suppose qu'une autre personne en a profité. A la place du point, il y a une grosse tâche d'encre ainsi qu'un trou probablement du à l'énervement de Juliet.

Amuse-toi bien avec tes multiples conquêtes. J'ai d'ailleurs moi-même un rendez-vous avec un charmant jeune homme.
Je doute que tu ais mieux à me proposer d'ailleurs. Tu es doit être bien trop occupée à montrer à qui veut le voir que tu n'as pas de culotte.

Juliet.

PS : c'est dommage, je ne porte pas de culotte moi aussi. Mais je suppose que quelqu'un d'autre en profitera à ta place...

Me lâcher ? Oh crois-moi, avec toi, je simule. Tu es si peu habile que c'en est inquiétant.
Je ne veux pas savoir les détails. Et à vrai dire, je n'ai plus envie de te voir. Ni même d'entendre parler de toi. Amuse-toi bien. Et peut-être que, finalement, j'irais voir mon père. Après tout, que je sois avec lui ou avec toi, ça ne change pas grand chose dans le fond : pour le peu de considération que avez à mon égard.

Juliet.

PS : j'en ai assez de jouer au jeu du chat et de la souris. Si tu veux me voir, il suffit simplement de me le dire.

Je joue très bien la comédie comme tu as pu le constater, en effet.
Tu ne m'obligeras pas à venir. Et tes grosses fesses ne me feront pas tomber dans une tente cette fois-ci. Et il est hors de question de me faire boire pour ensuite abuser de moi sexuellement.

Juliet.

PS : je n'ai jamais joué non plus. Et c'est là qu'est le problè... le mot est à moité effacé par une tâche légèrement humide.

Des muscles ? C'est flasque. Même la grosse dame est mieux foutue que toi. J'ai simplement pitié, voilà tout.
Pour être amoureuse de toi, il faudrait que je sois folle. Il faudrait être fou pour s'éprendre d'une pareille personne.
Amuse-toi bien avec tout Poudlard mais ne m'adresse plus la parole. Et ne me considère plus comme ta meilleure-amie. Ou quoi que ce soit d'autre d'ailleurs.

Juliet.

PS : j'en ai assez.

Oh pardonne-moi, tu voudrais que je te prenne en pitié ? Que je reste alors qu'au final, tu me traites exactement comme mon père le fait ? Je suis persuadée que si tu pouvais, tu me frapperais sans hésiter. Je ne compte pas à tes yeux et tu le sais parfaitement, je ne suis qu'un jouet, qu'un foutu divertissement.
Tu n'es pas que cela à mes yeux Electra. Même si tu ne t'en rends pas compte. Même si tu es aveugle car il n'y a que toi qui importe. Je ne t'apprécie pas, je ne déteste pas, je t'aime tout simplement. Je m'en fiche bien que tu sois un monstre comme tu le dis si bien. Je me fiche bien de ton égoïsme et de ta mauvaise foi. Tes défauts, je m'en fous. Je m'en fous autant que de tes cheveux blonds qui m'aveuglent quand il fait sombrer car ils deviennent fluorescents.
Tu es la plus belle personne qui soit pour moi.
Mais j'en ai marre que tu me traites comme si je n'existais pas, comme si je n'étais rien d'autre qu'un jouet. J'en ai plus que marre.
J'espère que tu passeras un bon Noël.

Juliet.

Comment pourrais-faire autrement quand tu agis exactement de la même façon ? Pardon d'être troublée. Te rends-tu compte que tu as déjà failli me frapper plus d'une fois ?

Comment pourrais-je te croire ? Je n'arrive plus à te cerner. Je n'arrive plus à entrer dans ton jeu. C'est trop difficile. Et je sais pertinemment que si je continue ainsi, je finirais pas en mourir. Et je ne veux pas être dépendante de quelque chose qui n'a pas lieu et n'aura jamais lieu. C'est trop douloureux et j'ai déjà assez souffert.
Si l'on passe Noël avec les personnes que l'on aime, alors pourquoi le passerais-tu avec une personne que tu dénigres sans cesse ? Je n'ai plus envie de jouer. Cela ne m'amuse plus.

Juliet.

L'écriture est tremblante et parsemée de tâches d'encre mouillées. Tu n'as jamais été seule, Electra. Tu t'es toi-même enfermée dans cette solitude.
Comment crois-tu que je suis en ta présence ? J'ai l'impression d'être totalement dépendante de toi. Je... je n'ai plus l'impression d'être cette Gryffondor courageuse quand je suis à tes côtés car je perds tout mon courage.
Tu m'énerves.
Tu m'énerves probablement autant que je t'aime.
Et c'est pour cette raison que c'est à ce point horrible d'avoir le coeur brisé par toi.

Juliet.

Je ne t'ai jamais repoussé, je t'ai toujours souri.
Bien entendu que si, je suis dépendante de toi. Peux-tu m'expliquer pourquoi tu es la seule personne dont j'ai envie ? Pourquoi es-tu la seule personne qui me fascine autant ? Ce n'est pas ton nom de famille ou ton sang qui m'intéresse. C'est toi, la personne que tu es et non celle que tu prétends être. Je n'ai pas envie de me réconforter dans les bras d'une autre personne. Car tu es la seule que j'ai toujours désiré. Et je sais pertinemment que ça ne changera jamais. Et c'est ça, qui me tue.
Être loin de toi, c'est un vrai supplice. Même un Avada Kedavra serait plus doux que ton absence. Et je donnerais tout pour mourir que d'être séparée de toi.

Juliet.

Je n'ai plus envie d'avoir l'impression de n'être qu'un jouet à tes yeux. C'est beaucoup trop douloureux.
Je ne sais pas ce que l'on peut faire. Il y a des solutions, mais tu ne m'écouterais pas.

Juliet.

On pourrait... Tu vois... Être plus que de simples amies... Enfin... Voilà.

Juliet.