Il était une fois, dans la magnifique ville de Londres, une famille heureuse. Il y avait le papa, Richard et la maman Lisa et quatre garçons. Micheal, Aaron, Phillip et finalement Taylor. Il manquait cependant un petit quelque chose pour que le bonheur soit total. Il manquait une fille, dans cette histoire il s'agit de moi. Elle Van Der Beek. Premièrement, d'où vient mon prénom ? Depuis toujours ma mère parlait de sa futur fille en disant « elle » comme le pronom. Lorsque je suis venue au monde et que magie, c'était enfin une fille, il était tout naturelle pour elle de me dire « Bienvenue au monde Elle Van Der Beek. » Oh, ils ont tous essayez de me trouvez un prénom, malheureusement rien ne faisait l'affaire et du coup je suis restée avec ce prénom.... Très originale si je peux dire. Ma famille était tissée serrée et rien n'y personne ne pouvait y changer quoi que se soit et c'était tant mieux.

Depuis toute petite j'avais l'impression d'être mise de côté par moi-même. Je ne me sentais pas à l'aise dans ce monde tel qu'on me le présentait. J'avais le sentiment que je n'appartenais pas à l'univers dans lequel je vivais, certes heureuse, mais non, ce n'était pas ma place. J'ai longtemps cru que c'était parce que j'étais timide. Je ne disais pas un mot plus haut que l'autre, j'exprimais difficilement mes opinions les plus sincères et disons le, j'étais bizarre de parlée de mes rêveries comme s'il s'agissait d'une réalité. Je rêvais à des animaux mélanger, un lion et un aigle par exemple. J'étais convaincue que son existance. Plus je vieillissais, plus mes parents s'inquiétaient de mon état générale. Je n'étais pas comme les autres enfants de mon enfant. Mais tout devint attrocement plus ardue lorsque j'ai atteint l'âge de cinq ans. Alors là, les choses se sont mises à vraiment mal aller.

J'ignore comment je pouvais le faire, mais je pouvais faire voler mes petites figurines. Oh, rien de très spectaculaire, tout juste un ou deux centimètres du plancher. Au débût mon entourage croyait qu'il s'agissait que d'une lubie, encore et toujours une lubie. Un bon jour ma maman est rentrée dans ma chambre et ma surprise entrain de le faire. Ma pauvre maman tomba dans les pommes. Personne ne comprennait pourquoi j'arrivais à faire ce genre de choses. Dans ma nature de culpabilisée pour un oui ou pour un non, j'ai immédiatement cesser de faire des folies dans ce genre-là. Ma famille n'en parlait pas, personne n'en faisait allusion. C'était un sujet tabou. La petite fille tant espérée était une folle. Ma mère et mon père m'aimaient trop pour consulté le curé de Londres pour ça, ils savaient que je serais prise et envoyée chez les bonnes soeurs et ils ne voulaient pas ça pour moi.

À l'école, je ne me sentais pas bien. Je n'avais pas réellement d'amis. En plus d'être bizarre j'étais seule. Puis un jour, le jour de mes 11 ans, le 4 mars 1972 pour être plus précise, j'ai reçue une drôle de lettre à mon nom. Mes parents ont cru à une bien mauvaise blague. Lorsqu'ils l'ont ouvert, la réaction me surpris. Encore aujourd'hui lorsque j'y reprense je rigole toute seule. Mes parents ont eux-même explosés de rire avant de dire qu'ils savaient que je n'étais pas folle. J'étais simplement... Oui, une sorcière. Le lendemain mes parents me retiraient de l'école, c'était inutile puisque de toute façon dans ma nouvelle école je n'apprendrais pas ce genre de choses. J'ai donc passée de nombreux mois en compagnie de mes parents. Ils voulaient profités de ma présence, nous serions de nombreux mois sans se voir après tout.

Arriva enfin le grand jour, le jour de mon départ pour la magnifique école Poudlard. J'assista bravement à la cérémonie. Je serais envoyée dans l'une de ses quatre maisons, une maison qui deviendrait ma famille. Serpentard, Serdaigle, Poufsouffle ou encore Gryffondor. Le Choixpeau arrêta son choix sur... À déterminé par le staff. Aussitôt je me suis sentie à ma place. La fillette perdue dans le monde Londonnien n'existait plus. Assise dans ma salle commune, avec mes nouveaux amies, j'avais enfin trouvée ma place.