BELLUM PATRONUM
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Version 34
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Groupes fermés
Les sang-purs étrangers sont fermés. Redirigez-vous vers les familles de la saga ou des membres.
équilibre des groupes
Nous manquons d'étudiants, de membres des partis politiques Phénix et Gardiens. Nous manquons également de Mangemorts.
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| Leith → Un arbre, un autre... Que des obstacles. | | | Leith → Un arbre, un autre... Que des obstacles. par Invité, Dim 28 Déc - 21:27 ( #) | [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Leith Hermance McKinnon FEAT. Colton Haynes 19 ANS ϟ SPORT MAGIQUE ϟ CHIEN HUSKY & PANDA ϟ SANG-MELENom: McKinnon Prénom: Leith, Hermance Âge et Date de Naissance: 19 Ans, né le 14 Mars. Nature du sang: Sang-mêlé Situation familiale: Leith est loin d'être le seul héritier de sa famille. Il a deux aînés et un petit frère. Un peu en dispute avec son père mais ça ne lui empêche pas de tenir énormément à sa mère. Patronus: Chien Husky et Panda. Miroir du Rised: Devenir un célèbre joueur de quidditch. Composition de la baguette magique: Bois de sorbier, 27, 3 cm, ventricule de corps de dragon. Epouvantard: Le vide. Etudes Suivies: Sport Magique → Spécialités → Occlumancie & Sortilèges Animal de compagnie: Un hibou nommé Oscar. Caractère Jamais personne n'a su me caser dans les camps gentils ou méchants. À cause de quoi ? Bonne question. Peut-être à cause de mon côté rebelle qui, n'importe la décision, j'allais toujours au contraire. J'ai toujours eu un bon esprit d'équipe, faisant le maximum pour que tous les participants aient leur part du gâteau. Grâce à ça, je me liais facilement avec les gens. Seulement ils finissaient tous par déguerpir tellement j'étais protecteur envers eux. Je les suivais partout, ne leur laissant presque aucune intimité. Je me forçais alors à voir les choses du bon côté. Curieux comme je suis, je faisais toujours en sorte que je sache les secrets qu'ils se murmuraient à l'oreille devant moi. Je ne mettais jamais bien longtemps, les manipulant pour arriver à mes buts. La plupart du temps, je regrettais mes recherches, je me vexais très rapidement... Et sans oublier que je n'ai jamais été très serviable. Peut-être une raison en plus de leur départ ? Ou alors mes changements d'humeurs constants ? Pourtant, j'ai toujours été très drôle, divertissant toujours mon entourage ! a little something from you. Réveillon de Noël, 1978. Ce soir là, j'aurais juré que ce serait le pire réveillon de ma vie. Mon père et son frère ne faisaient que se gueuler dessus pendant que ma mère était couchée, très mal en point. Mes frères ne sachant pas se calmer, firent un vacarme incessant dans toute la maison, jusqu'à trois heures du matin. A force, je n'avais vraiment plus faim. Balançant ma fourchette dans mon assiette, je me levai brutalement pour rejoindre ma chambre. Juste avant de passer sous l'arcade, je me retournai pour regarder mes dégâts. Toute la tablée était recouverte de sauce chasseur, les bras en l'air. Je me mis soudainement à pouffer de rire. « - Joyeux Noël ! - Mais... LEITH ! Reviens ici tout de suite ! Tu m'entends salop ?! » Mais je n'y fis pas attention, j'étais habitué d'être traité de la sorte, surtout par mon père. Je montais les escaliers quatre à quatre, manquant de renverse le gros chien de garde, que je n'appréciais pas beaucoup. Il me mordit la cheville et je l'envoyais péter contre un mur d'un seul coup de pied. Je m'assis sur le tabouret devant le bureau et ouvrit mon tiroir pharmacie. « - Il ne manquais plus que ça... Pff... - Plus que ça quoi ? » Mon coeur fit un bond dans ma poitrine. Cette voix... Elle venait de ma tête. Est-ce que je rêvais ? J'étais sûr que non ! Continuant d'enrouler mon bandage après avoir désinfecté la plaie, la voix refit son apparition. « - Oh, tu m'évites ou quoi ? Derrière toi andouille ! » C'est alors que je le vis, mon beau chien husky de patronus, en chair et en os. Je n'en revenais pas, mais j'avais toutes les raisons d'y croire. Premièrement, j'avais lu bien des articles répétitifs sur ce phénomène dans la gazette du sorcier. Et je faisais confiance à la gazette du sorcier. Et deuxièmement, mes frères en avaient la preuve avant moi. Je les voyais dans le jardin courir à côté de leurs guépards, chats... Quelques fois, il m'en prenait l'envie de les regarder et de les enviés. « - Bon, je m'appelle comment ? Parce que, c'est toi qui choisi, mon vieux ! » J'en réprimais un sourire. Deux ans plus tard... Noss et moi, car c'est comme ça que j'avais décidé de le nommé, étions désormais comme les cinq doigts de la main, inséparable. Il était devenu à la fois mon confident, mon meilleur ami, mon frère... Et aussi le meilleur fouteur de merde que je n'ai jamais connu. Certes, il était maladroit, cassait beaucoup de choses sur son passages, m'attirait pas mal d'ennuis... Mais je l'aimais. Et je suppose que c'est la relation que la plupart des élèves entretiennent avec leur patronus car, quand on ne peut pas s'en séparé, le mieux c'est de bien s'entendre. Ah oui, j'oubliais, en plus d'être un magnifique chien husky, il prend aussi la forme d'un panda. You're not a sad story. La fois ou ma mère a appris l'existence du monde magique, elle a failli se pendre, se demandant dans quel guêpier elle s'était fourré. Mais moi, malgré ma répugnance envers mon père, je l'ai plus ou moins bien pris. En faite, j'étais carrément fou de joie de connaître la source de tous ces événements bizarres qui s'étaient produits plus tôt. Et de suite, dès le premier abord de mon oncle, j'eu une véritable admiration envers le Quidditch... 14 Mars 1970, Manoir des McKinnon. « - Papa, c'est encore arrivé ! » Il ne prit même pas la peine de se retourner, voir de quoi je parlais. Bien sûr, après huit ans sous le même toit, j'avais appris à être ignoré. Mais là, j'étais tellement enragé que j'osai lui tirer la manche de son beau smoking qu'il avait préparé pour le mariage de tante Alberta. Il se retourna en faisant claquer ses talons sur les pavés de la coure, ses yeux replis de haine plongeant dans les miens. Sur le coup, je regrettais aussitôt mon geste, mais il était trop tard. « - Arrivé quoi ? Bon sang, Leith ! A cause de toi, on sera en retard ! Tu... n'auras qu'a demandé à ton oncle. - Mais papa ! - Tais-toi ! D'accord ?! » Je ne demandais pas mon reste et passais le voyage jusqu'au champ sans dire un mot, me contentant de regarder les arbres défilés à travers la voiture. J'étais sûr que quelque chose clochait chez moi, il n'était pas normal que, lors de mes match de football, quand la balle en cuir se dirigeait droit vers mon nez, elle se transformait en balle de mousse pour ne pas que je me retrouve avec le nez cassé. Ou alors la fois où j'avais dégringolé d'un balcon pour atterrir dans un trampoline imaginaire. J'avançais vers mon oncle d'un pas lent, laissant mes cousins dans un vent magistral, et lui embrassait la joue. « - Tonton ? Je peux te parler ? En... Privé, s'il te plait. » Il m'invita à m'asseoir sur un banc à l'écart des minis stands. J'ignorais qu'en une simple discussion, ma vie allait changer de tournant. Moi, un sorcier ? Possible. Après tout, il y avait bien des choses étranges que j'avais vues, rencontrés en huit ans d'existence. Mon père me regardait toujours comme avant, comme si j'étais un jetons, comme si je n'étais pas là. Seul ma mère fut capable de me jeter un regard compatissant, et je crois, que ce fut ce signe qui me força à croire. Mais rien n'avait changé. Je devais continuer à jouer au foot, faire comme tout les garçons de mon âge, alors que mon coeur flanchait pour un tout autre sport : le Quidditch. 19 Août 1972, Chemin de Traverse. « - Regarde Darius ! Il est beau lui, non ? » Il ne m'a fallu attendre que deux ans. Deux petites années impitoyables, de lutte acharnée, pour garder le secret. Je savais habituellement tenir un secret, mais cette fois-là, il était tellement grand et... magique que j'en avais du mal. Mais j'y parvins. Ce matin, j'avais bondi de joie en voyant au pied de la porte une enveloppe portant mon nom, avec au verso le logo de Poudlard, que je m'amusais à dessiner pour le plaisir. Pour une fois, mon père ne me fit pas attendre. Mais j'en connaissais la raison : si nous n'allions pas au chemin de traverse cet après-midi, je n'aurais rien à la rentrée, étant donné que nous partions en vacances les semaines suivantes. Ce jour-là, au moment de mon premier pas dans l'allée, je me sentis libre. Nous fîmes tout dans l'ordre : baguette, capes, livres et... hibou. Je manquai un battement quand mon frère aîné me l'annonça. Pour moi c'était toujours le strict minimum, comparé à mes frères et voilà qu'aujourd'hui, ils m'offraient un hibou ! Décidément, c'était le plus beau jour de ma vie. « - Euh... Oui Leith, il est magnifique. C'est un hibou grand-duc, il est superbe... » La cause de sa jalousie ? Mon futur animal de compagnie était bien plus rare que le sien et ça le mettait en rage que papa l'acceptait. Moi, je ne pu me contenir de rigoler. Murmurant dans ses débuts de barbe jusqu'au Chaudron Baveur, Darius me jetait des pierres dans les jambes pour que je m'écroule. Je tins bon dix minutes, avant qu'un s'enfonce dans le creux de mon genou. Je m'écroulais à terre et la cage d'Oscar s'ouvrit. Il sortit oui, pour se poser sur la tête de mon frère aîné et lui tirer les cheveux. Je l'aimais déjà et, grâce à lui, je n'avais mal nulle part. Il me faisait penser à autre chose, pour tout dire. 7 Septembre 1972, Terrain de Quidditch, Premier cours de vol. « - Tenez-vous à droite de votre balai, levez la main au-dessus et dites "Debout !" - DEBOUT ! » Il faisait extrêmement chaud pour un début de septembre, une journée idéal pour mon premier cours de vol. J'attendais ce moment depuis des jours et voilà qu'il était enfin arrivé. Je me forçais à être attentif à ce que disait le professeur, mais pour moi c'était plus un divertissement qu'une matière à apprendre. Mais bien sûr, je m'exécutais. Je me positionnais bien à droite du balai couché dans l'herbe et tandis une main ferme au-dessus. Je fis quelques vagues avec mes doigts avant de prononcer la formule. Le balai s'éleva rapidement pour venir cogner ma paume. Pris par surprise, je m'écroulai au sol, salissant au passage ma chemise blanche. Néanmoins, je le tenais quand même ce foutu balai ! Je me relevais, passant rapidement une main sur mon pantalon, sachant que ça ne servirait à rien. Quand j'eus enfin le courage de poser mon regard sur la foule de première, j'eus l'impression d'être frappé à coups de marteaux dans le sol. Tout le monde, sans exception, me regardait comme si... comme si j'étais bizarre. Je l'étais sûrement, oui, et je le pensais ! Sans attarder plus longtemps sur moi, le professeur, - je n'arrivais pas à retenir son nom, continua ses explications. Plus il avançait, plus je sombrais dans le délire. Trois fois. Oui, je l'avais lu trois fois son livre sur le Quidditch, je connaissais déjà toutes les règles ! Sauf la pratique, dommage... « - Bon ! Passons aux choses sérieuses ! Enfourchez votre balai et élevez-vous dans les air. Redescendez au bout de dix minutes. C'est parti ! » Je tapais le sol avec mes pieds, espérant m'en sortir comme les autres, c'est-à-dire au moins quatre mètres de haut et stable. Mais il en fut tout autrement. Je fus propulsé à dix mètres du gazon, tournant à droite, à gauche. Je savais que ce n'était pas un mauvais sort jeté contre mon balai, mais plutôt à cause du stress qui m'envahissait. Mes mains tremblaient comme des feuilles. Perdant toujours un peu plus d'équilibre chaque seconde, je finis par craquer et lâcher mon balai pour atterrir violemment sur terre. Ce fût la première fois que je me retrouvais à l'infirmerie et pas la dernière. Ce fût aussi un très mauvais départ avec ma passion. 28 Juin 1978, Dortoir. « - Yes ! Je l'ai eu ! Je passe en étude secondaire ! » J'étais trop content. On venait de recevoir les résultats des ASPIC. Je doutais de mes résultats, mais j'étais passé avec septante-cinq pourcent, pas mal pour quelqu'un comme moi qui ne consacrais pas beaucoup de temps à ses études, trouvant toujours un moyen de les faire faire par quelqu'un d'autre. Je me laissais aller sur le canapé de la salle commune, poussant un grand soupir de soulagement. J'avais obtenu un O en Vol sur Balai, je projetais de me lancer dedans, mais avec quelques hésitations quand même. Maintenant, j'étais sûr que je ne pourrais pas me louper. Après tout, j'avais toujours adoré le Quidditch, depuis mes huit ans et j'en jouais souvent. Mais toute ma bonne humeur retomba d'un coup ce jour-là. Il se jeta totalement sur le dossier d'une chaise, manquant de basculer en arrière, des larmes coulant sur ses joues. C'était la première fois que je le voyais pleurer, lui, mon meilleur ami depuis la première. Je n'eus pas à réfléchir, je savais ce qui se passait, mais je ne voulais pas l'admettre, non. Il ne pouvait pas me lâcher comme ça, me laisser seul cinq années ! Je posais une main rassurante sur son épaule. « - J'ai raté Leith... Il étouffa un sanglot qui fis craquer mon coeur en deux. - Je sais... » Pour la toute première fois en dix-sept ans, j'eus envie de me taper la tête contre un mur. Est-ce que c'était ça qu'on ressentait quand on se faisait plaquer ? Parce que pour moi, il était aussi important que si j'aurai eu, ne serait ce qu'une seule fois, une petite amie. Je ne me permets pas de l'oublier, il a pris une trop grande place chez moi. Il nous restait plus qu'un seul espoir : les pauses et... peut-être les entraînements ? Comme quoi les bons moments ne durent jamais... 1 Juillet 1978, Manoir des McKinnon. « - Y'a quelqu'un ? Hé ho ?! » Je venais de passer des heures assis sur un banc du Poudlard Express, regardant un par un les arbres défilés derrière la vitre. À force de rester sans bouger, inactif, j'étais crevé comme après une nuit blanche. Maintenant, si je le voulais ou non, j'allais rentrer chez moi pour les vacances d'été, faire un petit coucou à ma famille... adorée... Mais dès que j'eus passé la porte d'entrée, rien, silence noir. Personne. Je commençai sérieusement à m'inquiéter. Qu'étaient-ils arrivé ? Où étaient-ils bon sang ?! Soudain, un craquement se fit entendre juste au-dessus de ma tête. Mon père et Darius, mon aîné je le rappelle, descendait les escaliers en transportant la penderie. J'en restais bouche bée. Que faisaient-ils ? Ils ne me firent pas attendre longtemps. Après avoir déposé le meuble dans l'allée, ils vinrent à ma rencontre, penauds. « - Nous déménageons. C'était comme si j'avais reçu un poing dans le ventre. Quoi ? On déménageait ?! Et puis le discourt habituel d'un père qui n'avait pas vu son fils depuis un an était "Bonjour, tu vas bien ? Tu m'as manqué tu sais ?". Mais je n'attendais rien de tout ça de lui. Je m'en doutais bien. - Euh... Quoi ? Vous vendez le manoir ?! - Non... pas totalement... Merci ! Enfin une parole rassurante ! - En faite, moi, maman et tes frères partons habituer en Suède, nous te léguons le manoir. Nous t'avons achetés des meubles et un bon paquet d'argent est dans le coffre. Voici le code. » Il me tendit un papier avec quatre chiffre dessus et sans un mot de plus, sans un regard, il se retourna et monta dans le van. Je ne me rappelais pas avoir vu cette voiture avant... Bref, il était obligé puisque maman était une moldue et qu'elle préférait ce moyen de transport. Seul Darius daigna posé une main sur mon épaule. « - Tu gagneras encore de l'argent avec tes études. » Allez, c'est bon, casse-toi, je sais que tu en as envie ! Je le pensais vraiment. Et quand la voiture se perdit dans le vert des champs, je poussais un soupir de soulagement. Enfin ! À l'intérieur, je m'affalais sur le divan du salon et allumais la télé. Pourquoi pas ? Merci ! Je ne me rappelle pas beaucoup de détails de ce jour-là. Je m'en estime heureux. Je ne voulais pas garder en mémoire la mine heureuse de ma famille. Seul ma mère m'avait brisé le coeur. Son regard à travers le pare-brise m'avait clairement fait passer le message de la situation : Désolé... Il m'a obligé... IL ! Je s'avais qui était ce "il", je n'en doutais pas. Mon foutu père. Je n'ai plus rien à raconter, sa touche à sa fin. Cette année, je me débrouille encore pas mal à Poudlard, mais je me sens mieux avec Noss et Oscar. Après, je fais toujours autant de conneries, je ne peux pas m'en empêcher. Je commence ma carrière dans les sports magiques, je suis heureux. Bon, allez, mes amis m'attendent pour le match... Tell me who you really are. ϟ pseudo et âge: Winter et 13 ans, 14 le 22 Février. On m'a dit que ça ne posais pas problème. ϟ Où as-tu trouvé le forum? Forumactif. ϟ Personnage: Inventé. ϟ As-tu un autre compte sur BP? Nop. ϟ Présence: Le plus souvent que possible. ϟ Une remarque?
Dernière édition par Leith H. McKinnon le Mer 31 Déc - 17:52, édité 18 fois |
| | Re: Leith → Un arbre, un autre... Que des obstacles. par Invité, Dim 28 Déc - 21:31 ( #) | Bienvenue !
J'adore ton avatar, j'adore ton pseudo, j'adore ton patronus ! En plus t'es dans le même cursus que moi... réserve-moi un lien
Bon courage pour ta fiche ! |
| | Re: Leith → Un arbre, un autre... Que des obstacles. par Invité, Dim 28 Déc - 21:32 ( #) | Bienvenue Bonne chance pour ta fiche |
| | Re: Leith → Un arbre, un autre... Que des obstacles. par Invité, Dim 28 Déc - 21:34 ( #) | Merci à vous deux Lakhshan, ok, je te réserve un lien |
| | Re: Leith → Un arbre, un autre... Que des obstacles. par Invité, Dim 28 Déc - 21:37 ( #) | Bienvenuuue Bonne chance pour ta fiche |
| | Re: Leith → Un arbre, un autre... Que des obstacles. par Invité, Dim 28 Déc - 21:38 ( #) | |
| | Re: Leith → Un arbre, un autre... Que des obstacles. par Invité, Dim 28 Déc - 21:58 ( #) | Bienvenuuuue |
| | Re: Leith → Un arbre, un autre... Que des obstacles. par Invité, Dim 28 Déc - 22:18 ( #) | Coton ! Coton ... LOL. Bienvenue parmi nous ! Bon courage pour ta fiche ! |
| | Re: Leith → Un arbre, un autre... Que des obstacles. par Invité, Dim 28 Déc - 22:26 ( #) | Bienvenue ! |
| | Re: Leith → Un arbre, un autre... Que des obstacles. par Invité, Dim 28 Déc - 22:45 ( #) | On a le même miroir du raised et j'aime trop tes patronus Bienvenue |
| | Re: Leith → Un arbre, un autre... Que des obstacles. par Invité, Dim 28 Déc - 23:20 ( #) | J'aime d'amour ton deuxième prénom, oh mon dieu ! Et très bon choix d'option, il nous faudra un lien cher élève. Bienvenue quand même au fait |
| | Re: Leith → Un arbre, un autre... Que des obstacles. par Invité, Lun 29 Déc - 9:11 ( #) | Bienvenue |
| | Re: Leith → Un arbre, un autre... Que des obstacles. par Invité, Lun 29 Déc - 11:00 ( #) | Bienvenue Et bon courage pour ta fiche |
| | Re: Leith → Un arbre, un autre... Que des obstacles. par Invité, Lun 29 Déc - 11:01 ( #) | Merci à vous tous |
| | Re: Leith → Un arbre, un autre... Que des obstacles. par Invité, Lun 29 Déc - 12:36 ( #) | Prewett & Panda Bienvenue sur Bp |
| | Re: Leith → Un arbre, un autre... Que des obstacles. par Contenu sponsorisé, ( #) | |
| | Leith → Un arbre, un autre... Que des obstacles. | |
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