Je n'aime pas les hiboux. C'est pourquoi je n'en ai pas. Alors... Bah.. J'ai emprunté celui là à un élève de Serdaigle. En neuvième année, je crois. F'in je suis pas sûre. Peut-être. Donnez lui du miam hibou quand même. Il est un peu concon mais pas méchant.
Dernière édition par Ahnès Ó Meadhra le Lun 2 Fév - 0:14, édité 1 fois
Vous répondez un peu tard mademoiselle O Meadhra, et vous vous répétez. Soyez plus inventive la prochaine fois. Merci pour Volovent. Je crois que les efforts payent enfin.
Pauvre professeur Von Sachsensheim, il ne serait pas ravi d'apprendre que sa matière vous ennuie, mais je dois avouer que cela me fait plaisir que ce soit mon cher hiboux qui accapare votre esprit. Il est vrai qu'elle est bien cette veste, je suis ravi de l'avoir enfin retrouvé, mais bizarrement j'y retrouve de nombreux cheveux roux. Étrange n'est-ce pas ? Mais dites moi ce professeur est votre ange gardien ! Il veille sur vos poumons qui n'ont rien demandé les pauvres.
Professeur Magedore
Ps : Faites attention, vous allez vous noyez.
Dernière édition par Caïn C. Magedore le Mer 1 Juil - 18:04, édité 1 fois
Alors comme ça, vous êtes tyrannique aussi pendant vos heures de cours. Je plains sincèrement vos professeurs. C'est bien pour cela que c'était plus amusant que je la récupère. Et je suis désolé mais j'ai du me résoudre, à contre-coeur je dois bien l'avouer, à retirer ces fils flamboyants. Malgré mon grand âge, je crains que tous mes cheveux ne soient à leur place.
Je suis désolé de vous décevoir, comme je le fais si souvent d'ailleurs, mais mes cheveux semblent bien décidés à rester fixés sur le sommet de mon crâne, ce qui n'est pas pour me déplaire qui plus est. Alors vous voulez dire que votre petit numéro m'était spécialement réservé. Trop d'honneur, vraiment mademoiselle O Meadhra, vous me faites trop d'honneur. Et pour ce qui est de votre sang, je ne vois pas ce qu'il a de particulier, mise à part qu'il est chaud, et même bouillonant, plein de vie et fureur. Je suis flatté.
Magedore
Ps : Mon bureau en sera tout bouleversé le pauvre, passer d'une chose aussi laide à une aussi splendide créature. Je crains cependant que malgré sa mocheté ce bon vieux presse papier ne fasse bien mieux le boulot que vous.
Dernière édition par Caïn C. Magedore le Mer 1 Juil - 18:12, édité 1 fois
Je crains mademoiselle O Meadhra que ça ne soit vu en effet. J'attends de voir ça avec impatience. Et voilà que je me mets à avoir des regrets. Non je crois tout de même que j'ai bien fait de la récupérer, surtout qu'elle commençait à être toute froissée à force d'être traînée partout. Mais je m'incline et ne peux qu'admirer toute cette générosité en vous. Les sangs-purs, en voilà dors et déjà une expression bien ridicule.
Mais je suis l'égoïsme en personne, je pensais que vous le saviez maintenant, mademoiselle O Meadhra. Pour ce qui est de vous trouver de quoi vous couvrir, laissez moi m'en charger. En échange je vous laisse carte blanche pour le presse papier.
Magedore
Dernière édition par Caïn C. Magedore le Mer 1 Juil - 18:25, édité 2 fois
Peut-être cela vaut-il mieux. N'ayez crainte, cet échange est des plus loyal. Renvoyez moi un hiboux quand vous aurez trouvé mon cadeau, et nous pourrons fixer un rendez-vous pour procéder au troc.
C'est une bien triste nouvelle que vous m’annoncez là, et j'en suis navré. Moi qui me faisais une joie de vous revoir et vous offrir mon présent. Mais ce n'est que partie remise n'est-ce pas ? Quoi qu'il en soit je viendrais vous rendre visite si vous êtes effectivement bien atteinte de cet effrayant virus, et si vous me le permettez. J’implore le dernier petit espoir que vous ne soyez pas infectée. Et ne vous faites pas de soucis pour moi, je ne risque pas d'être touché puisque mon patronus ne s'est pas matérialisé.
Votre état semble en effet bien préoccupant. Vous avez bien fait de préférer suivre les conseils de mademoiselle Borthwick, et je ne peux que vous y encourager moi aussi. Il faut vraiment vous soigner, je ne pense pas que ça ne soit qu'une simple grippe. Si c'est possible je me ferais une joie de venir vous voir. Ne vous préoccuper pas de votre allure, vous êtes malade et ça n'a que peu d'importance. Comme quoi parfois mon grand âge semble être d'une certaine utilité.
J'espère que ça s'arrangera pour vous mademoiselle O Meadhra, et que les médicomages trouveront ce dont vous souffrez tous. Je vous trouve changée à travers ces lettres et tout ceci me rend bien songeur.
Professeur Magedore.
Ps : Je souffre d'insomnie ces derniers temps, alors si je peux être utile, je n'en suis que plus heureux.
L’enfermement risque en effet d'être douloureux. Mais ce n'est très certainement que provisoire. Et puis vous aurez des visites... Et pourquoi me préoccuper de votre état serait-il pénible. Ne vous sous-estimer pas mademoiselle O Meadhra, vraiment pas. Mon âge n'est pas un problème pour moi, et je dois avouer que l'importance que vous semblez y accorder me fait plutôt rire. Je dois aussi reconnaître que votre nez estime bien. Je vais très bientôt fêter mes 33 ans en février.
Je ne serais vous dire si c'est bien ou mal. Seulement déroutant.
Professeur Magedore.
Ps : Ne me remerciez pas, c'est un plaisir que de vous répondre.
Vous me flattez mademoiselle O Meadhra, mais votre crédibilité vous fait défaut. Je ne fais jamais de traitement de faveur. J'ai également promis à mademoiselle Diggory de passer la voir, donc ne vous faites pas de soucis de ce point de vue là. Alors comme ça vous m'appréciez ? Votre façon d'apprécier les gens est on ne peut plus étonnante alors. Je n'aimerais pas faire parti de vos ennemis.
Restez tel que vous êtes mademoiselle O Meadhra, ne cherchez pas à vous cacher derrière un masque.
Professeur Magedore.
Ps : Voilà que vous vous inquiétez des cours d'occlumencie à présent. Vous êtes vraiment transformée, il n'y a plus de doutes...
Vous revenez encore et toujours sur cet épisode fâcheux mademoiselle O Meadhra. Vous vous faîtes du mal, et je pensais m'être un peu fais pardonner avec la soirée du bal...
Le problème des masques c'est qu'ils finissent un jour ou l'autre par tomber.
Je vous trouve bien exigeante et bien insolente mademoiselle O Meadhra, fidèle à vous-même finalement. Dois-je vous rappeler que vous aussi vous avez votre part de responsabilité dans les événements de cette soirée ? Ça ne m’empêche pas bien évidemment de reconnaître mes torts et je suis même prêt à en assumer les conséquences si c'est ce que vous voulez.
Je ne peux m'empêcher de penser que c'est vraiment regrettable malgré tout.
Professeur Magedore.
Ps : Vous me croirez ou non, mais jamais tel incident ne s'était produit avant vous.
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