BELLUM PATRONUM
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Version 34
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équilibre des groupes
Nous manquons d'étudiants, de membres des partis politiques Phénix et Gardiens. Nous manquons également de Mangemorts.
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| she strangled the stars for their light. / nesayem | | | she strangled the stars for their light. / nesayempar Invité, Dim 31 Mai - 20:29 ( #) | Nesayem Juhanah Kamilah SHAFIQ ft. lindsey morgan sang-pur vingt-deux ans célibataire hétérosexuelle douzième année de justice magique chat des sables neutre fantaisiie et tumblr | |
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] À propos Nom: Shafiq.Prénom: Nesayem, Juhannah, Kamilah. Âge et Date de Naissance: Vingt-deux ans, née le 31 octobre 1958. Nature du sang: Sang-pur. Situation familiale: Nesayem est orpheline de père ; celui-ci est décédé quand elle venait tout juste d'avoir trois ans. Sa mère, elle, est retournée dans sa communauté berbère quand elle est devenue veuve, et a laissé sa fille aux bons soins de ses grands-parents. Nesayem a également un grand frère, Jawhar, porté disparu depuis un an désormais. Même si elle a tendance à croire qu'elle est seule contre le monde entier, elle a également des cousins et des cousines du côté des Shafiq. Patronus: Un chat des sables qui ne change pas de forme et qui se prénomme Kadeen, un prénom signifiant confident et compagnon. Miroir du Rised: Aussi cliché que cela puisse paraître, Nesayem voit sa famille réunie. Son père, sa mère, son frère et elle. Epouvantard: Nesayem voit un cercueil ; quand elle s'approche de celui-ci, son frère se trouve à l'intérieur. Composition de la baguette magique: Ventricule de dragon, vingt-huit centimètres et sept milimètres, bois d'aulne. Plutôt rigide. Etudes Suivies: Justice Magique, spécialisation Sciences Politiques (douzième année). Animal de compagnie: Une chouette blanche qui se prénomme Faten. | Caractère Au fond d'elle, Nesayem est en colère. En colère contre le monde. En colère contre le destin. En colère contre les autres. En colère contre elle-même. En colère contre sa mère, cette mère trop faible. En colère contre son frère, ce frère qui lui manque. En colère contre son père, ce père qui a osé mourir trop tôt. Alors, oui. Nesayem est en colère. Tout le temps. A chaque heure, à chaque minute de son existence. Elle est en colère, oui, mais, cette colère, elle l'étouffe au fond d'elle-même, parce que c'est plus facile d'avancer en faisant comme si elle avait la tête haute. En faisant comme si elle allait bien. En faisant comme si elle s'en fichait. En faisant comme si elle était au-dessus de tout cela, au-dessus alors qu’en réalité elle est plus basse que Terre. Au fil des années, Nesayem a enveloppé son être dans une carapace, comme pour conserver une certaine distance avec ce monde qui la met tant en colère. Elle regarde les autres de loin, une expression hautaine sur le visage, les yeux froids comme la glace, l’expression tirée par le dédain. Mais, au fond, elle est bien plus révoltée qu'eux à propos de tout ce qu'il se passe. Mais, au fond, elle a envie de crier, crier à s’en déchirer les cordes vocales, crier jusqu’à ce que quelqu’un finisse enfin par l’entendre. Elle remet chaque chose en question et n'hésite pas à faire part de son avis ; elle fait partie de ces personnes qui ne comprennent pas la hiérarchie entre les statuts du sang et et qui ne savent pas se satisfaire de l'état actuel des choses. Elle veut que les choses changent, oui. Mais, bien au-delà de ça, elle veut avoir un rôle dans l’évolution de la société et laisser une trace, une trace de son passage. Elle voudrait qu’on se souvienne d’elle, oui. Elle voudrait que les autres sachent qui est Nesayem Shafiq, oui. Pas comme son père. Pas comme ce père mort avant même de voir sa fille grandir. Pas comme sa mère. Pas comme cette mère qui a pris la fuite dès que le chagrin est devenu trop grand. Elle s'est plusieurs fois demandé, au fond, quel était l'intérêt d'avoir un nom quand elle n'avait plus de proches pour s'en souvenir. Pour se souvenir d'elle. Nesayem ne connait qu'une seule et unique façon de faire et il s'agit de la sienne. Elle ne demandera jamais à quelqu'un d'autre un service ; elle fait tout par elle-même, sachant pertinemment qu'il n'y a que cette manière pour qu'elle soit réellement satisfaite. Elle est efficace et appliquée ; tout est calculé, rien n'est laissé au hasard. Tout est pensé, rien n'est oublié. Certains appellent cela de l'obsession. D'autres se plaisent à croire qu'elle est simplement très impliquée dans ce qu'elle fait, impliquée dans ses affaires, impliquée dans son travail, impliquée dans sa propre vie. Mais, au fond d'elle, Nesayem sait. Nesayem sait qu'elle a un problème. Nesayem sait qu'elle n'aurait sans doute jamais été comme ça si son père était encore de ce monde. Si sa mère était restée. Si son frère n'avait pas disparu. Si elle ne se sentait pas seule, si seule. Elle paraît fermée et froide, un brin désabusée et légèrement arrogante sur les bords. Elle a recours à l'ironie et au sarcasme à outrance, ne supportant pas les faux-pas des autres, appréciant encore moins ses propres erreurs. Cette façade lui permet de rester détachée de tout et du reste, même d'elle-même, presque ; cependant, il existe des personnes, ces personnes en qui elle a confiance, ces personnes qui connaissent la version plus douce et plus nuancée de sa personnalité. Elle se ferme au monde et s'ouvre au peu, elle rejette l'univers tout entier mais accepte de rares exceptions dans son existence. Ils ont la chance de ne pas fait l'objet de son jugement même si elle se permet de leur faire des remarques ; ils ont la chance de ne pas être l'objet de ses critiques même si elle reste directe quand elle a des choses à dire. Mais, au fond d'elle, elle sait. Elle sait que ces personnes ne lui sont pas suffisantes. Elle sait que, malgré toute l'affection qu'elle leur porte, ils ne pourront jamais remplacer ce qu'elle désire réellement. Un père. Une mère. Un frère. Cette famille qu'elle a un jour eu mais que le destin s'est appliqué à lui retirer, année après année, jusqu'à ce qu'il ne reste plus qu'elle. Cette famille qui a laissé un trou dans sa poitrine, un abysse dans son cœur. | [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Patronus Kadeen signifie compagnon et confident. Ami, presque. Et, à vrai dire, il compte tout autant aux yeux de Nesayem. Après tout, il a été le seul à ne pas la laisser. Après tout, il a été le seul à ne pas l’abandonner. Après tout, il a été le seul à tenir ses promesses. Il est resté à ses côtés. Toujours. Resté même lorsque la peste des patronus ravageait les rangs des élèves ; resté même dans les pires instants de l’existence de Nesayem. Il ne possède qu’une seule forme, celle d’un petit chat des sables, mais cela convient parfaitement à la sorcière ; de cette manière, elle n’est pas déstabilisée par les aléas de ses humeurs. Peut-être est-ce parce que la demoiselle est fidèle à elle-même. Peut-être est-ce parce qu’elle ne possède qu’une seule et même facette. Ou, alors, peut-être est-ce simplement parce qu’elle est bien trop rigide pour que son patronus ne se permette de tels écarts ; dans tous les cas, depuis son apparition, Nesayem ne l’a vu que sous une seule et même forme. Kadeen est plus nuancé que Nesayem, moins radical dans ses idéaux. Il est celui qui va tenter de l’apaiser dans ses jugements, de la calmer quand sa colère devient trop forte. Il va la pousser à s’exprimer quand elle canalise trop ses émotions et il va être celui à la soutenir quand elle se lance dans de grands projets. Il est là, à ses côtés, et sa voix flotte dans son esprit comme une deuxième conscience présente pour la calmer dans ses ardeurs. Ils ne se disputent que très rarement ; après tout, Kadeen est pacifiste et aimant, guère belliqueux, et cherche simplement à ce que Nesayem soit plus heureuse. Le jour où il est apparu, Nesayem l'a rejeté. L'a rejeté jusqu'à ce qu'elle finisse par se rendre compte qu'il était là pour rester. Puis, finalement, depuis que son frère a disparu, elle se plait à croire qu'il est avec elle de cette manière, à travers Kadeen. Qu'il est là, auprès d'elle, même lorsque son corps n'est physiquement pas à ses côtés. |
Pseudo et âge: Jilly, which witch, vingt-et-un ans. Où as-tu trouvé le forum ? Sur une carte. Personnage: Tout droit des Shafiq. As-tu un autre compte sur BP ? Vous êtes drôles vous. Présence: Trop. Une remarque ? Because we smart. |
Dernière édition par Nesayem J. Shafiq le Dim 6 Sep - 12:49, édité 2 fois |
| | Re: she strangled the stars for their light. / nesayempar Invité, Dim 31 Mai - 20:29 ( #) | Histoire Happiness can be found even in the darkest of times [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] « Dis, Jawhar, tu sais quand est-ce que papa va revenir ? » Elle était jeune, Nesayem. Sans doute trop jeune pour réellement comprendre ce qu’il se passait autour d’elle. Elle ne savait pas ce que les gens faisaient, là, autour d’eux. Elle ne savait pas pourquoi ils avaient tous un air triste peint sur le visage. Ils étaient silencieux et sombres. Silencieux et ennuyeux. Silencieux et trop sages pour elle. Elle ne comprenait pas, non plus, où était son père. On lui avait dit qu’il s’était en dormi pour toujours. On lui avait dit qu’il était parti au ciel. Mais, pour elle, cela n’avait pas de sens. Il lui avait promis de jouer avec elle, après tout. Et son père tenait toujours ses promesses. Il ne pouvait pas s’en être allé comme ça, sans prévenir. Il ne pouvait pas s’en être allé sans lui accorder une dernière petite heure d’attention. Son grand frère la regarda. Elle n’était pas très haute, même pour une petite fille de cinq ans. C’était pour cela, d’ailleurs, que son père l’avait toujours comparé à un lutin. A un elfe. A une petite fée tombée du ciel. Il se pencha pour l’attraper et la soulever dans ses bras, afin que leurs deux visages soient à la même hauteur. Lui aussi, il avait cet air triste peint sur le visage. Lui aussi était trop silencieux et sombre. Silencieux et ennuyeux. Silencieux et trop sage pour elle. « Je te l’ai déjà dit, Ayem. Il ne va pas pouvoir venir, » dit-il d’une voix douce. La petite fille fronça les sourcils. « Parce qu’il est au ciel ? » Il hocha doucement la tête avant d’avancer doucement parmi la foule. Elle était encore trop jeune. Trop jeune pour comprendre. Trop jeune pour savoir. Autour d’eux, les personnes se recueillaient pour rendre un dernier hommage à l’héritier des Shafiq, père de deux enfants, mari aimé. Autour d’eux, les personnes assistaient à l’enterrement de cet homme qu’ils ne connaissaient pas réellement, quoi qu’ils puissent en penser. Parce que, ceux qui le connaissaient, c’était eux. Jawhar et Nesayem. Et ils savaient tous les deux qu’il avait promis. Promis de rester avec eux. Promis de rester jusqu’à la fin et de ne jamais les abandonner. Et ils refusaient d’admettre qu’il puise s’en être allé comme ça, sans prévenir. Le soir même, Nesayem alla s’allonger dehors avec son frère, à même le sol, simplement pour observer les étoiles. Après tout, il lui avait dit. Il lui avait dit qu’il était au ciel.
Chère maman, Tu me manques. Encore. C’est ennuyeux, ici, avec grand-père et grand-mère, mais je pense que tu as sans doute fini par le comprendre. Ils sont gentils avec moi, tu sais. Vraiment. Mais ce n’est pas pareil que lorsque l’on était tous ensemble. Quand j’étais plus petite et qu’ils m’ont recueilli chez eux à la mort de papa, je ne m’en rendais pas réellement compte. Je jouais sans réaliser à quel point la vie pouvait être morne et triste. Triste comme tous les visages de ces gens à l’enterrement de papa. Mais, depuis que je vais à Poudlard, j’ai compris que ma place n’était pas chez eux. Qu’ils ne sont pas mes parents, même s’ils ont agi en tant que tels depuis que j’ai cinq ans. Tu sais, je pense réellement que notre place est avec toi et je me demandais si t Nesayem poussa un profond soupir, avant de poser sa plume sur la table. Elle froissa le morceau de parchemin entre ses doigts, avant de le lancer derrière elle sans même faire attention à si elle réussissait à atteindre la corbeille. Cela était la cinquième fois qu’elle tentait. La cinquième fois qu’elle n’y parvenait pas. La cinquième fois que ces mots lui brûlaient la gorge sans qu’elle ne parvienne à les retranscrire. Cela faisait des années que son père était parti, des années que sa mère s’en était allée elle aussi. Des années que ses grands-parents s’occupaient d’elle, des années qu’elle souffrait de cette séparation familiale. Le pire avait été quand elle avait été séparée de son frère, principalement parce qu’il était scolarisé à Poudlard de septembre à juin. Son père était mort. Sa mère était parti. Et on lui avait même retiré Jawhar. Chacun de ses mots étaient restés sans réponse ; elle avait obstinément écrit à sa mère, mois après mois, espérant en vain un signe de sa part. Mais rien n’était jamais venu. Elle n’avait jamais pris la peine de lui faire savoir qu’elle recevait bien ses missives. Elle n’avait jamais pris la peine de lui dire qu’elle aussi lui manquait. Avec difficulté, Nesayem déglutit. Son poing se serra sur la plume qu’elle tenait entre ses doigts et elle ne se rendit même pas compte qu’elle finit par la briser. C’était toujours ainsi, avec Nesayem. Elle gardait ses émotions en elle, à un tel point qu’elle oubliait presque que cela pouvait la ronger. Elle gardait tout ce qu’elle ressentait en elle, à un tel point qu’elle finirait fatalement par exploser. Mais elle préférait prétendre. Prétendre qu’elle était au-dessus de tout cela. Quelque part, elle espérait qu’à convaincre les autres, elle finirait par se convaincre elle-même.
« Il m’a laissé. » « Ayem… » « IL M’A ABANDONNÉ ! » Les larmes coulaient sur ses joues. Coulaient sans qu’elle ne parvienne à les retenir. Coulaient, encore et encore, coulaient sans qu’elle ne puisse rien y faire, coulaient parce que, pour une fois, elle s’autorisait à pleurer cette douleur qu’elle ressentait au fond d’elle. Nasayem porta ses mains à son visage et plusieurs sanglots s’échappèrent de sa gorge. Tout au long de son existence, elle s’était répété que ce n’était pas grave. Pas grave de perdre son père. Pas grave de ne plus avoir de mère. Tout au long de son existence, elle s’était répété qu’elle était plus forte que tout cela, plus forte que le monde entier, plus forte que le reste. Plus forte parce qu’elle n’était pas réellement toute seule. Plus forte parce qu’il y avait son frère. Jawhar. Mais, maintenant qu’il n’était plus là, elle se sentait seule. Seule et démunie. Seule et faible, toute sa combativité lui ayant échappé des doigts comme si elle avait tenu entre ses paumes un écran de fumée. Nesayem avait construit son monde autour de lui, après tout. Il avait été le centre de son univers. Elle avait comblé le reste avec Poudlard. Elle s’était appliquée à être la meilleure, s’était appliquée à placer ses ambitions avant le reste, à avancer tête baissée et à bousculer les autres sur son passage. Elle s’était construite une bulle autour d’elle, n’avait accepté que très peu de personnes dans son entourage, comme pour s’assurer qu’elle ne donnait à personne la possibilité de lui faire du mal. Nesayem s’était protégée de cette façon. Elle avait réussi à avancer ainsi, à s’affirmer de cette manière. Elle n’avait plus eu aucune confiance en elle mais elle s’était construite un bouclier pour s’en tirer. Et, ce bouclier avait été Jawhar. « Tu sais comme moi qu’il ne serait jamais parti comme ça, » murmura Kadeen. Nesayem secoua la tête avant d’essuyer les larmes qui coulaient sur ses joues avec violence. « Il m’a laissé quand même. » Elle se fichait de la raison. Elle se fichait qu’il soit parti de son plein gré ou qu’il ait été kidnappé ; elle ne ressentait que cette colère qui l’habitait, que ce manque qui grandissait. Après tout, même si Nesayem se cachait derrière ses grands airs, même si elle revêtait un masque d’impassibilité, Nesayem ressentait toutes ces émotions qu’elle rejetait. Et, à force de les rejeter, elle ne faisait que décupler. Décupler et lui rappeler que, désormais, elle était toute seule.
Dernière édition par Nesayem J. Shafiq le Dim 6 Sep - 12:39, édité 1 fois |
| | Re: she strangled the stars for their light. / nesayempar Invité, Dim 31 Mai - 20:29 ( #) |
Dernière édition par Zahra N. Shafiq le Dim 31 Mai - 20:34, édité 2 fois |
| | Re: she strangled the stars for their light. / nesayempar Invité, Dim 31 Mai - 20:30 ( #) | |
| | Re: she strangled the stars for their light. / nesayempar Invité, Dim 31 Mai - 20:34 ( #) | /me les filles REBIENVENUEKJDHFKJQHFL. Lien. (EnplusEnseignementmagiquedonconpeuttrouverauminimumSilver.) J'ai hâte de voir ce nouveau perso en tout cas *___* |
| | Re: she strangled the stars for their light. / nesayempar Invité, Dim 31 Mai - 20:37 ( #) | Tes prénoms Rebienvenue à toi Hâte de lire tout ça |
| | Re: she strangled the stars for their light. / nesayempar Invité, Dim 31 Mai - 20:43 ( #) | |
| | Re: she strangled the stars for their light. / nesayempar Guest, Dim 31 Mai - 20:45 ( #) | |
| | Re: she strangled the stars for their light. / nesayempar Invité, Dim 31 Mai - 20:53 ( #) | |
| | Re: she strangled the stars for their light. / nesayempar Invité, Dim 31 Mai - 21:15 ( #) | Re bienvenuuuue |
| | Re: she strangled the stars for their light. / nesayempar Invité, Dim 31 Mai - 21:28 ( #) | SJHLGVHKJ.BVHKIDJJSGHKH "bientôtdanslesjoursàvenirs" ah ouais. TON PSEUDO ayem est trop belle rebienvenue |
| | Re: she strangled the stars for their light. / nesayempar Invité, Dim 31 Mai - 23:50 ( #) | Nesayem est làààà et j'avoue Lindsey Morgan colle trop bien à une Shafiq j'ai hâte de lire tout ça ! Rebienvenuuuue |
| | Re: she strangled the stars for their light. / nesayempar Invité, Lun 1 Juin - 0:20 ( #) | Re bienvenuuue ! |
| | Re: she strangled the stars for their light. / nesayempar Invité, Lun 1 Juin - 3:26 ( #) | C'est tout. Rebienvenue |
| | Re: she strangled the stars for their light. / nesayempar Invité, Lun 1 Juin - 3:36 ( #) | Les prénoms envoient du lourd Re bienvenue |
| | Re: she strangled the stars for their light. / nesayempar Contenu sponsorisé, ( #) | |
| | she strangled the stars for their light. / nesayem | |
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