BELLUM PATRONUM
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Version 34
Nouveau tournant, nouvelle version installée ainsi que les nouveautés qui vont avec ! Vous pouvez la commenter ici.
Groupes fermés
Les sang-purs étrangers sont fermés. Redirigez-vous vers les familles de la saga ou des membres.
équilibre des groupes
Nous manquons d'étudiants, de membres des partis politiques Phénix et Gardiens. Nous manquons également de Mangemorts.
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| Liste et inscriptions équipe de Quidditch | | | Re: Liste et inscriptions équipe de Quidditchpar Invité, Sam 31 Aoû - 17:45 ( #) | Pseudo : Alice Montgomery Maison : Gryffondor Poste Souhaité : Attrapeur Mise en Situation : Sujet 1 (Joueur simple): Vous êtes en première année et commencez enfin les cours de vol. Racontez-nous vos émotions et comment est née votre vocation. Son tout premier cours. Alice n'arrivait pas à rester en place. C'était impossible. Depuis toute petite, sa mère lui racontait sa passion pour ce fameux sport appelé Quidditch. Elle devait réussir. Notre jeune Gryffondor devait rendre fière celle à qui elle tenait le plus dans ce monde. Comment allait-elle gagner sa place ? Après tout, elle était encore toute jeune. Et il fallait l'avouer, notre jeune blondinette était assez maladroite. Vous l'avez bien vu ? Alice est un paquet de nerf qui ne reste pas en place, alors si en plus de ça, vous lui rajoutez une maladresse digne de ce nom, comment voulez-vous qu'elle tienne sur un balai en plein vol ? L'école avait plutôt intérêt de déraciner tous les arbres avant son entrée ! Mais, malgré ses pensées négatives, Alice devait y aller. C'était une obligation. Et fort heureusement, sinon, cela ferait longtemps qu'elle aurait pris ses jambes à son cou. Attendez, vous n'imaginez pas bien quand même ! Monter sur un balai d'une épaisseur assez dangereuse, et qui, en plus de ça, vous porte à une certaine hauteur dans le ciel ! Ha, oui ... Et son vertige, on en parle ? Il faut avouer que la jeune étudiante a tout pour réussir ... Bien sur !
Restant aux cotés de son balai, Alice essayait tant bien que mal d'écouter les consignes. Mais ce n'était pas possible. Tout rentrait par une oreille, et sortait pas l'autre. Vous savez, quand vous écoutez quelqu'un et que d'un seul coup, sa voix se fait de plus en plus loin, comme si un bourdonnement venait se mettre entre la voix et elle. C'était ce que ressentait Alice. Elle ne se sentait pas bien. Si elle avait pu crier sa peur, elle l'aurait déjà fait. Mais elle devait se montrer courageuse. Bon sang, elle n'était pas une Gryffondor pour rien ! Alors, reprenant ses esprits, Alice secoua doucement sa petite tête blonde.
« Allez Alice, tu es plus coriace que ça d'habitude ! Ce n'est quand même pas un balai qui va te faire peur ! »
Inspirant un grand coup, la jeune fillette appliqua du mieux qu'elle pouvait les consignes du professeur. Dans une grande respiration, Alice émit, d'une voix assez dure et ferme, le seul mot qui pouvait faire lever le balai afin qu'il vienne rejoindre sa main.
« DEBOUT ! »
A sa plus grande surprise, son balai vint se loger dans le creux de sa petite main. Sans attendre une seconde, les sourcils de la jeune Gryffondor se relevèrent, assez choquée de sa réussite. Comment avait-elle réussit ? Ce n'était tout simplement pas possible. Rien de tout ce qu'elle possédait pouvait mener à un final pareil. En une seule fois, Alice avait eu la force et le mental pour ordonner à son balai de venir à elle. N'arrivant pas à se retenir, la jeune blondinette tourna sa tête dans tous les sens pour voir où en était les autres. Certains avaient réussit, comme elle, d'autres au contraire, continuaient de prononcer le seul mot qui pouvait marcher. Allez savoir pourquoi, mais à cet instant précis, Alice se sentait presque puissante. Oui oui, sa peur venait de partir et à présent, elle avait prit une certaine confiance en elle. Mais attention Alice, après tout, le vol n'a toujours pas commencé.
Une fois que tous les étudiants avaient en main leur balai, ils devaient maintenant se positionner dessus afin de pouvoir s'élever dans les airs. Alice, ne sachant pas tellement comment se mettre, regarder les autres élèves faire. Levant doucement sa jambe pour la passer de l'autre coté du balai, la jeune étudiante sentit des tremblements. On pouvait remarquer que son balai bougeait avec elle. Si Alice voulait montrer qu'elle n'avait pas peur, c'était raté ! Et sa confiance gagnait tout à l'heure ? Sa quoi ? La blague ! Elle tremblait tout simplement, à présent. Il n'y avait rien d'autre en elle. Seulement de la peur, du stress. Alice ne savait pas comment s'élever dans les airs. Voyant le professeur se mettre au niveau de chaque élève, l'un après l'autre, Alice sentit son pouls s'accélérer. C'était bientôt à elle. Il fallait qu'elle réussisse. Elle devait y croire et montrer la même envie que tout à l'heure pour lever son balai. En quelques secondes, se fut à son tour de taper avec son talon sur le sol. Inspirant un grand coup, Alice lança un regard apeuré à son professeur.
« Alice, si tu as peur, penses à quelque chose qui te donne envie de réussir et de vaincre cette peur qui t'immobilise. Tu es gracieuse et courageuse. Vas y ! »
Fermant doucement les yeux, Alice visualisa sa mère. La femme de sa vie. L'être qu'elle aimait le plus au monde. Ne pouvant s'empêcher de sourire avec ces images dans la tête, la jeune Gryffondor, sans réellement s'en rendre compte, tapa sur le sol. C'était magique ! Comme si sa mère, de par sa propre pensée, commandait les gestes d'Alice. En quelques secondes, la jeune étudiante fut dans les airs. Son balai lui obéissait. Il se mit à voler, lentement. Se sentant assez forte pour ouvrir les yeux, Alice commença à voir le jour. Serrant doucement la mâchoire, la jeune Gryffondor s'agrippa du mieux qu'elle pouvait à son balai. Au secours ! Elle était dans les airs. Elle ne touchait plus le sol. Panique totale ! Alice se mit à respirer plus rapidement, comme si une angoisse prenait possession d'elle.
« Je t'en supplie maman, aides moi ... J'ai peur ! »
Des larmes coulaient le long des ses joues mais, Alice, ne sachant pas pourquoi, sentait sa respiration se calmer petit à petit. Comme si, à l'intérieur d'elle, sa mère était présente. Certes, Alice était devin, mais elle ne pouvait rentrer en contact avec les autres. Était-ce simplement la peur qui la rendait folle ? Ou juste l'envie de réussir, qui la poussait à penser à la personne qui la rendait forte ? Elle ne savait pas, mais cela marchait. Son pouls, sa respiration était redevenu normal. A présent, Alice contrôlait son esprit et son corps. Alors, la jeune Gryffondor se fondit dans la masse et vola. Pour se calmer, Alice s'imaginait ressembler à un oiseau volant dans le ciel. Oui, elle était un oiseau. Un bel oiseau volant dans les cieux, et profitant du paysage qui s'offrait à sa vue. C'était tout simplement parfait ! Alice était excitée, heureuse. Aucun mot ne pouvait décrire ce qu'elle ressentait, même un feu d'artifice n'était pas assez puissant pour décrire sa joie. Elle l'avait fait, pour Elise, sa mère. Mais aussi, pour elle. La jeune étudiante se sentait libre sur son balai. Comme si rien d'autre ne comptait. Tout son passé, son père biologique, son beau père, tous ses ennuis n'existaient plus dans les airs. C'était comme si un nouveau monde venait de se créer aux yeux d'Alice. Un monde magique. Laissant l'air venir se déposer tendrement sur son visage et ses cheveux, la jeune Gryffondor souriait. Elle avait un sourire de bonheur qui était venu se dessiner sur ses lèvres. Chose qui s'était fait assez rare depuis quelques temps. Mais à présent, c'était l'inverse. Alice était libre. Alice était heureuse. Alice savait voler.
Mais le vol ne pouvait durer éternellement. Alors, la jeune étudiante redescendit. Lorsque son pied toucha à nouveau le sol, sa tête se mit à tourner. Et son corps à trembler. Comme si son esprit entier lui demandait de recommencer à nouveau. Mais à cet instant précis, Alice se tenait à l'étudiant qui était à ses cotés, ne voulant pas tomber au sol. Puis, elle se résigna et s'assit doucement contre l'herbe. Se laissant tomber sur le dos, la jeune Gryffondor admirer le ciel. L'endroit où elle était, il n'y a que quelques secondes.
« Wahou ! »
Se fut les derniers mots qu'elle prononça avant de quitter le cours. Depuis ce jour, Alice s'est promis une chose. Penser à sa mère lui donner la force et le courage pour voler. S'imaginer être un oiseau l'aider à vaincre sa peur. Son remède contre son stress était trouvé. Et rien n'y personne n'allait pouvoir l'arrêter à présent. C'était décidé, elle allait adorer le Quidditch !
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| | Re: Liste et inscriptions équipe de Quidditchpar Invité, Sam 31 Aoû - 21:01 ( #) | LE PETIT DISCLAIMER: Bon, je sais que j'ai aucune chance de passer parce que mon bébé est handicapé des jambes, mais j'essaie quand même, parce que qui ne tente rien n'a rien! J'ai beaucoup hésité avant de poster ici, mais après avoir écrit mon petit texte, je me suis dit qu'avoir écrit autant pour que ça moisisse dans le fond de mon PC, ça me soûlerait pas mal xD Donc voilà, je viens défendre ma cause perdue en place publique, tout comme Socrate s'est défendu lors de son procès Et puis je me suis dit qu'à la limite, si il peut pas tenir sur un balais normal, Siegfried pourrait avoir un balais spécial, avec je sais pas, des sangles pour tenir ses jambes, comme la selle de Bran dans GoT en fait Dans mon RP, j'ai essayé de faire ressentir ce que peut ressentir quelqu'un dont les jambes ne fonctionnent plus lorsqu'il peut se déplacer librement, et la sensation grisante que ça peut produire de bouger ainsi Je dirais que pour Siegfried, le Quidditch, c'est en un mot l'espoir. (Oui, j'adore faire des petites intros à mes RP, on comprend mieux je trouve ) Enfin bref, je sais que vous adorez mes idées foireuses alors en voilà une, et comme dit Jordy "THE SKY IS THE LIMIT" Pseudo : Siegfried A. Ingherneils Maison : Poufsouffle Poste Souhaité : Attrapeur Mise en Situation : 2, à écouter avec [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], c'est important pour bien ressentir le texte Toi, t’es le mec aux jambes qui sont pas foutues de fonctionner correctement. T’es le mec estropié, celui qui fait un peu pitié, celui qu’on sait pas trop où caser, parce qu’il dérange. Tu les vois, tous ces regards qui se croient discrets, portés sur la canne que tu te traînes tous les jours, ou pire, la paire de béquilles que tu gardes en cas d’urgence. Suffit que quelqu’un te jette un de ces coups d’oeil plein de compassion, comme on envoie de la nourriture à un chien errant pour que t’ais envie de le tuer. Personne pige que t’es pas handicapé, que t’es un être humain et pas une bête de foire, un pauvre chaton qu’on gâte parce qu’on peut pas faire autrement. Mais y’a un endroit où t’es pareil que les autres, un seul au monde. Cet endroit, c’est le terrain de Quidditch. Aujourd’hui c’est ton premier match, t’as de la chance, c’est un jour pas trop mauvais pour toi. Bon, t’as quand même besoin de ta foutue canne pour arriver jusqu’aux vestiaires, mais tu t’en fous, tu tiens bien les quelques mètres qu’il va falloir traverser pour arriver jusqu’au terrain. Parce qu’après tu t’envoles. C’est pas que ton corps qui s’envole quand ton balais s’élève. C’est ton âme, c’est ton esprit qui se trouve projeté dans les cieux, loin de cette paire de jambes qui peuvent même pas te porter. T’es quelqu’un d’autre, sur ton balais t’es un joueur, t’es attrapeur de Poufsouffles et t’en es fier, t’es pas ce gosse handicapé dont t’as honte. Quand tu prends de la vitesse, c’est merveilleux. Souvent, tu te demandes si c’est ça que ça fait de courir, avoir l’air qui siffle aux oreilles, les cheveux qui s’envolent, les yeux qui piquent à cause de la vitesse. Si ça y ressemble, alors tu t’élancerais dans un champ, tu foncerais à toute allure, encore et encore, pour ne jamais arrêter de ressentir cette ébriété, cette liberté. Si seulement tu pouvais. Ta rapidité embrouille tes sentiments. Y’a de la joie, y’a de la peur, de l’appréhension. C’est un cocktail merveilleux qui agite tous tes sens, qui te fait vivre. Tu voudrais laisser ton âme se faire brûler par cette sensation, qui ressemble à celle que tu ressentais quand t’étais amoureux d’elle. Tu voudrais encore lancer ce cri d'espoir qui monterait de la Terre au Ciel. Mais maintenant, tu peux plus aimer, parce qu’elle a brisé ton cœur. Alors à la place, tu voles. Et tu voles bien. T’es un oiseau, t’es Icare. Lorsqu’il s’est élancé à la suite de Dédale, il a ressenti la même chose, t’en es certain. Il était ivre, ivre de bonheur, du bonheur de voler. Mais il s’est trop approché du Soleil, la cire a fondu, et il est tombé. Toi t’as déjà chuté de ton balais, tu sais ce que ça fait. Quand tu tombes, t’as l’impression que ton esprit quitte ton enveloppe charnelle, comme si il tombait trop vite pour qu’il suive. Tomber, ça fait une drôle de sensation dans le ventre, comme un vide, un manque de repères. Tu déteste tomber, parce que ça te rappelle ta condition d’homme. Quand tu voles, tu es un dieu, tu es le dieu qui épouse l’air, et votre amour se scelle en un baiser sur tes lèvres. Tu te jettes dans le ciel pour t’unir à lui, parce que c’est la seule vérité que tu connais. Le vent hurle, son cri emplie tes poumons, rafraîchit ton front fiévreux. Il te donne la force nécessaire pour avancer, tout en te mordant pour te retenir, partagé entre le désir de te garder et de te relâcher. Mais finalement, il te porte, tu t’unis à lui et tu t’y abandonnes, laissant ton coeur rebondir dans ta poitrine, et tes pensées s’engourdir. Soudain, c’est la chute. Tu bascules de ton balais, et pendant une seconde, tu as l’impression de tomber, jusqu’à ce que tes mains s’agrippent désespérément au bois rugueux. Ton effondrement est stoppé net, et tes poignets en prennent un coup. T’es léger, certes, mais tout de même, tes bras vont pas le supporter très longtemps. Le vrai combat commence, celui entre le Ciel et la Terre, pour savoir qui t’aspirera. Tu baisse les yeux vers l’herbe qui t’attend en bas, qui brille comme une émeraude que tu seras pas assez con pour aller chercher. « Crève » lances-tu au sol. Il t’aura pas cette fois-ci, parce que t’es préparé à ce genre de situation : le prof t’y a entraîné, parce que vous saviez tous les deux que ça arriverait. Alors tu te met à balancer, à tortiller des hanches comme un gogo dancer, comme il t’a appris à le faire, pour finalement te hisser sur le manche. Tes jambes ont lâché pendant quelques secondes, assez pour te faire basculer, et tu les sens déjà s’engourdir. Mais t’es habitué, tu sais que tu peux encore lutter assez longtemps pour tenir jusqu’à la fin, parce que tu connais tes limites. Et tu sais aussi que tant que tu iras vite, tant que tu seras ivre, tu réussiras à rester sur ton balais. Quelque part, c’est ta vie que tu joues ici, et tu en éprouves une joie étrange, car retenir la vie contre toi, c’est un peu comme retenir ton âme de tomber. Voler, c’est magique. On ne peut réussir à faire de la magie que lorsqu’on a comprit ce dont il s’agissait. Pour toi, la magie, c’est envoyer ton esprit là-haut, très haut, le catapulter à sa place, juste entre cette étoile qui est celle de ton âme sœur et la tienne. Et sur ce balais, tu te rapproches un peu plus de cet endroit qui est le tien. Un jour tu monteras plus haut que n’importe qui pour décrocher ce petit astre qui t’appartient. Tu le sentiras entre tes doigts, chaud, palpitant, comme tu sens à présent le Vif d’Or entre tes doigts. Voler, c’est une raison de vivre, et le Quidditch c’est l’occasion de prendre une victoire à la vie. Ce triomphe, tu te bats pour lui, parce que tu n’es pas qu’un Poufsouffle, tu es un Ingherneils. Tu n’es pas qu’un blaireau, tu es un dragon. Le feu coule dans tes veines, fait bouillir ton sang, dilate tes vaisseaux, fait jaillir ton cœur exalté. Et tandis que la foule hurle, tandis que les larmes roulent sur tes pommettes, tu dresses un poing vengeur en direction du Soleil à qui tu as arraché cette victoire comme on arrache un soupire de plaisir à une femme. Merci de m'avoir lu, j'ai écrit ce RP avec mon coeur |
| | Re: Liste et inscriptions équipe de Quidditchpar Invité, Dim 1 Sep - 0:28 ( #) | Pseudo : Moa Eléa Keegan Maison : Gryffondor Poste Souhaité : Gardienne Mise en Situation : Sujet 1 (Joueur simple): Vous êtes en première année et commencez enfin les cours de vol. Racontez-nous vos émotions et comment est née votre vocation. « I have a dream, a song to sing to help me cope with anything. If you see the wonder of a fairy tale, you can take the future even if you fail. I believe in angels, something good in everything I see. I believe in angels, when I know the time is right for me. I'll cross the stream - I have a dream » « Gardienne Moa ? T’es trop naïve. T’as de la peine à tenir en équilibre sur une poutre et tu crois vraiment que sur un balai ça ira mieux ? T’y arriveras jamais, tu vas juste te ridiculiser. » Cap. Cette remarque que lui avait faite sa mère quelques jours auparavant sonnait dans son cortex comme un défi personnel, un gage qu’elle se devait de relever. Son rêve était là, à quelques centimètres de sa tête, elle n’avait qu’à hausser le bras pour s’en saisir mais le geste était encore si abrupt à effectuer, si incertain. Depuis de longs mois, elle y songeait nuit et jour. Son souhait le plus profond n’était plus qu’à quelques heures de se réaliser et cette impatience, aussi plaisante eusse t’elle été faisait naître en elle cette appréhension délicieuse. Elle était jeune Moa, encore innocente et des rêves pleins la tête. Souvent, l’ambition avait été sa bête noire, mais ce soir-là, elle était décidée. Comme toute enfant ayant été forcé de grandir trop vite, elle rêvait d’être libre, de vivre dans un monde qui ne serait appartenu qu’à elle, un idéal, son jardin d’Eden. Moa c’était une brise d’été en plein hiver, une chaleur réconfortante les soirs glaciaux, c’était cette fougue et cette envie à la fois. Les lumières s’éteignirent et elle rêvait déjà. Le vent. Elle voulait en être plus proche, le laisser caresser ses cheveux d’une force titanesque, lui permettre de l’emporter loin. Très loin. C’était ce besoin qu’elle avait de toujours bien faire qui l’avait poussée à s’imaginer un avenir brillant ; dans les airs, sur un balai, là où les rêves n’auraient jamais de fin. Pourquoi voulait-elle être gardienne ? En vérité, elle n’en savait rien. Une envie viscérale. Une voix incontrôlable qui la poussait dans cette direction impossible, cette direction que pourtant elle espérait réalisable. Gardienne ou batteuse. Pour leur prouver qu’elle n’était pas faible, qu’elle n’était pas qu’un petit bout de femme en manque d’amour et qu’elle pouvait encaisser les coups, qu’elle pouvait les rendre. C’est la tête remplie d’un espoir nouveau que la griffonne s’endormit ce soir-là, rêvant d’un plaisir éphémère, celui de voler avec les oiseaux, de communier avec une nature qu’elle croyait infinie et de laquelle elle se sentait plus proche que quiconque d’autre ne l’était à ses yeux.
***
Un réveil un peu brutal, une boule au ventre qui ne voulait disparaître, Moa avait eu de la peine à émerger ce matin-là. Elle avait un mal fou à décrire ce qu’elle ressentait véritablement à cet instant tant cette sensation lui était étrangère. De l’impatience, un calme dissimulé par un sourire trop étouffant et une bonne dose de bonnes intentions. Tous ses espoirs prenaient enfin forme en ce-jour, ses rêves les plus fous, ses envies les plus fortes : le cours de vol allait bientôt commencer. Le premier réflexe de la fillette en arrivant à Poudlard avait été celui de se placer des heures durant sur la pelouse proprement taillée du terrain de Quidditch. Elle n’était pas forcément intelligente, sa mère se plaisait à lui répéter qu’elle n’était douée en rien, mais quelque chose au fond de son estomac parlait en sa défaveur. Elle y arriverait. Elle lui prouverait que là où sa génitrice avait échoué, elle parviendrait à réaliser ses rêves et elle serait libre. Libre de flotter dans les airs, libre de vaincre si elle le voulait. C’était cette compétition perpétuelle entre les pics acérés d’une mère trop peu aimante et ses motivations les plus profondes qui faisait de Moa une enfant si paradoxale. 11 ans, pleine d’aspirations pour l’avenir, d’aspirations hautes en couleurs ; de trophées et de banderoles pleins les murs de sa chambre. Henry l’avait un jour emmenée voir un match de Quidditch et, secrètement, Moa était tombée littéralement amoureuse de ce sport. C’était inexplicable, c’était plus fort qu’elle et que toute la force qu’elle pouvait mettre pour lutter, pour se dire que ce métier était trop dangereux, trop instable, tous ses efforts restaient vains. Un jour, elle serait apte elle aussi à apporter cet espoir inaccessibles que lui avaient procurés les joueurs des deux équipes en mêlant toute leur motivation à leur amour pour ce sport. Un jour, elle aurait été cette dose d’espérance revigorante elle aussi, afin de sauver les âmes en peine, d’offrir une raison de se battre aux plus démunis. Du moins, elle ferait tout pour.
Le cours était sur le point de débuter et les élèves s’agitaient dans un voluptueux mélange d’impatience, de témérité et d’appréhension. Le zénith brillait au milieu d’un ciel aussi bleu que l’azur de l’océan et ses tentacules dorés caressaient le bitume d’une main chaleureuse. Moa marchait d’un pas décidé en direction d’un groupe d’élève déjà positionné –elle n’était pas en retard, mais ils étaient en avance- serrant fièrement dans sa main son tout nouveau balai, celui qu'Henry lui avait offert le jour de sa rentrée. Il avait été pour elle comme un second père, un premier en vérité vu que le sien n’était pas resté plus de quelques années. Elle se mit à courir en se mourant d’impatience et se plaça brusquement dans les rangs, prête à suivre toutes les consignes que prodiguerait l’enseignante. Et c’est là que tout commença. Le palpitant de Moa l’inquiétait car ses pulsations ne cessaient de se rapprocher les unes des autres et faisaient monter son appréhension. L’adrénaline se saisit de son corps tout entier et, comme possédée par une force qu’elle ne se connaissait pas, elle mis tout en œuvre afin de répondre aux exigences de son enseignante.
« Debout. »
Le balai capricieux se dressa au premier essai procurant une sensation d’accomplissement indescriptible à Moa. « Regardez prof… » Ne jamais crier victoire trop vite. Le bout de bois fit un tour sur lui même et vacilla avant de s’étendre au sol de tout son long. Retour à la case départ. Moa fût moins étourdie lors du second essai et, à peine son balai eut-il quitté le sol qu’elle s’en saisit et le serra fermement dans sa main droite, encore blanche, plus blanche que la plus pure des innocences. Un grand sourire se dessina sur un visage rendu radieux par la fierté de la réussite. Elle se tût, n’osant plus faire d’éloges sur ce qui lui semblait être un exploit, après tout, partagé ou pas, l’accomplissement de cette tâche était délicieux. Patientant avec un calme d’évêque, la brunette ne perdait un traître mot de ce que pouvait raconter la vieille professeur de vol, elle buvait ses paroles aussi goulument qu’elle se délectait de son jus de citrouille le matin. Chacune des syllabes prononcée par son aînée sonnait à son oreille comme l’appel d’une passion plus profonde, comme l’harmonie d’une valse endiablée, comme la résonnance d’une note encore jamais jouée. Elle était encore plus attentive qu’elle ne l’avait jamais été lors d’une leçon de piano alors que, jusqu’à ce jour, le piano avait été sa seule distraction véritable. En réalité, ce n’était pas la première fois que Moa prenait son envol. Elle avait déjà eu cette sensation, une ou deux fois, où, prise par un élan d’inconscience ravageur, elle avait fait s’élever la balançoire si haut avant de s’en éjecter, que les chutes avaient été rudes et lui avaient coûté plusieurs séjours à l’hôpital. Mais elle avait volé. Elle avait été libre. Enfourchant son balai en écoutant les dernières recommandations, Moa prit une grande inspiration avant de tirer son manche vers le haut pour s’élever de quelques centimètres seulement, au début. Rien n’aurait été plus désastreux pour elle que de brûler les étapes ; elle voulait faire les choses correctement et sans aucune fausse note. Serrant le manche de son balai un peu plus fort, elle le dressa légèrement plus haut et continua son ascension -qui augmenta brutalement de deux bons mètres- avant de le redresser difficilement et de lui chuchoter bêtement en étant persuadée que celui-ci pouvait distinguer chacune de ses paroles:
« OOOOh, tout doux, n’allons pas trop vite. Faut qu’on apprenne à se connaître, toi et moi. »
Ainsi, peu à peu, ils s’élevaient tous les deux, prudemment, avidement et désirant d’en faire plus. Un jour peut-être Moa. Plus rien n’avait d’importance, la quelconque optique de faire autre chose de sa vie que joueuse professionnelle de Quidditch n’avait plus aucune raison d’être pour la belle lionne qui, enivrée par les caresses saccadées du vent sur ses joux rougies, se laissait aller dans un bonheur complet, une plénitude indescriptible. Elle se mit à rêver, perdit son objectif pendant quelques instants -ce qui faillit suffire au drame- un tronc, en pleine figure, qu’elle évita de quelques secondes seulement avant de sentir son cœur s’arrêter net. Elle se voyait déjà faire le tour du monde, voyager comme elle l’avait toujours souhaité, avec Kaïs, sans règles et sans aucunes obligations, eux deux, seuls contre la vie, seuls contre le monde. Ils voyageraient…et en balai. Mais ses rêveries avaient failli lui couter bien plus cher qu’un voyage et elle remercia silencieusement une quelconque divinité de lui avoir épargné la désagréable sensation d’être alitée, une nouvelle fois, pendant quelques jours. Plus jamais elle ne se permettrait de rêver sur un balai, c’était bien trop dangereux. C’est alors que le coup de sifflet final retentit, celui qui annonçait le rapatriement des élèves obligatoires et extirpa à la rouge et or un soupir déçu : « On l’aura échappée belle. » Elle aurait voulu monter plus haut, aller plus vite, voler plus longtemps. Elle ne voulait pas redescendre, elle ne voulait plus. Jamais. Mais elle n’avait pas le choix, pour sa propre sécurité et celle de tous les autres élèves, ils devaient attendre la prochaine leçon pour pouvoir voler à nouveau. Vivre. Etre libre. Encore et toujours. Moa fendit l’air à toute allure comme pour se délecter de ce dernier moment seule avec son balai et redressa quelque peu sa course avant d’atterrir, pieds au sol, l’élan provoquant une course effrénée. Elle faillit tomber deux fois, se retint de justesse une fois et se retrouva nez à nez avec son enseignante. Enthousiaste, elle se sentait obligée de sceller ce pacte secret avec elle même en prenant ce professeur de renom à témoin : « C’était… wahou.. extraordinaire. Plus tard, j’aimerais être gardienne, pour éviter les souaffles au dernier instant, les empêcher de rentrer dans les anneaux in-extremis, comme j’ai empêché ma collision avec l’arbre. » Elle laissa passer un petit instant, un silence, pour reprendre son souffle et ses esprit, pour calmer son myocarde encore animé par un rythme endiablé, celui de l’enthousiasme : : « Vous avez vu hein dîtes ? » Un autre silence. Un peu plus long. Un peu plus grave. Puis, une fougue et un engouement sans pareil, histoire de reprendre, histoire de se rassurer : « Vous croyez que j’en serai capable ? » Elle avait besoin, pour une fois dans sa vie, que quelqu’un prenne son parti et lui fasse se sentir invulnérable, invincible. Elle atteindrait ses rêves mais avait besoin de ce soutien que sa génitrice n’était pas prête à lui donner. Caressant les cheveux en bataille de sa jeune élève, l’enseignante laissa tomber le verdict d’une voix sérieuse et pourtant rassurrante: « L’avenir nous le dira jeune Gryffondor. Mais si c’est vraiment votre rêve, il n’y a aucune raison que vous ne l’atteignez pas. Les rêves sont faits pour être réaliser, ne l’oubliez jamais. » Elle n’avait pas dit oui, elle n’avait pas dit non mais elle avait offert à Moa la plus belle chose au monde. Elle lui avait offert l’espoir. L’espoir d’une vie nouvelle.
***
La gamine se laissa tomber au sol avant de s’émerveiller de l’immensité du ciel, ce ciel qui l’avait accueillie quelques secondes auparavant. Dorénavant, elle n’aurait plus peur car elle n’était plus seule. Cette immensité serait son royaume et elle en serait la reine. Plus rien ne pouvait barrer sa route, son rêve était trop précieux, son avenir trop incertain : elle serait gardienne, elle prouverait au monde que la fragilité, la maladresse de l’enfance, l’insouciance et l’ambition ne sont pas des défauts, que ces caractères ne sont pas des tares. Elle serait cette fille fragile mais pourtant si forte, celle qui n’aurait pas peur de jeter tous son corps contre les souaffles décidés, celle qui n’aurait pas peur des cognards meurtriers. Elle prouverait que sa mère avait eu tord, qu’elle n’était pas bonne à rien et, que si elle le voulait vraiment, elle pouvait triompher là où les autres échoueraient, à quelques centimètres des buts. Ses buts. Ses anneaux. Elle en était convaincue à présent, elle serait la sauveuse de toute une équipe, la sauveuse de ce rêve, la sauveuse de cette vie : sa vie. Un fin sourire aux lèvres, l’innocente ferma les yeux avant de s’extasier de tout son être : « C’est là-haut Moa, là où les rêves n’ont pas de fin. »
Dernière édition par Moa E. Keegan le Lun 2 Sep - 3:12, édité 4 fois |
| | Re: Liste et inscriptions équipe de Quidditchpar Invité, Dim 1 Sep - 10:34 ( #) | Transmis On attend toujours que les demandes se calment un peu pour pouvoir vous départager, merci de votre patience |
| | Re: Liste et inscriptions équipe de Quidditchpar Invité, Dim 1 Sep - 16:44 ( #) | Pseudo : Iélenna Evans Maison : Devinez /SBAAAAAAAAAF/ : nan Serdaigle x) Poste Souhaité : Poursuiveuse Mise en Situation : Sujet 2
Je me rappellerais toujours de mon premier match. La météo semblait clémente et mes coéquipiers m'avaient longuement briffés, me faisant répéter un bon millier de fois la stratégie que nous avions mises au point. C'est ce que j'aimais dans mon équipe, malgré ma récente présence dans l'équipe ils me considéraient vraiment comme l'une des leurs. Nous étions une équipe, pas simplement 7 personnes qui avaient été misent ensemble. Nous avions une équipe majoritairement masculine, 5 garçons contre 2 filles, et même si les blagues machistes ne nous étaient pas épargnées nous étions une vraie petite bande. Je me souviens du stress intense que je ressentais en entrant sur le terrain, même si stress n'est pas le bon moment, c'était plus l'excitation de me sentir observée, jugée, soutenue par tout ceux venue nous soutenir que l'angoisse de me retrouver face à une équipe où les joueurs volaient ensemble depuis des années. Nos capitaines se serrèrent la main et je jurerais les avoirs vus grimacer tant ils essayent de se faire mal. Ah les hommes ! Nous enfourchâmes nos balais et nous pûmes enfin décollés... Le temps semblait s'être couvert, il faisait froid et il y avait du vent, beaucoup de vent. Le match fut lancé. Je ne pensais plus qu'au souaffle. Elena ma coéquipière avait réussi à récupérer le souaffle et nous volions, avec Alexei, vers les buts adversaires dans une formation classique, évitant les cognards autant que nous le pouvions ce qui n'était pas difficile vu le brio avec lequel Vladimir et Lukas les renvoyaient vers l'ennemi et nous offrant une voie royale pour marquer le premier but. Ça avait été simple, bien trop. Aucune équipe ne pouvait sous estimer l'autre à ce point, ils nous avaient réellement pris pour une bande de nuls, incapable de jouer. Nous étions furieux. Par la suite le match repris, sans pitié. Les batteurs n'hésitaient pas à cogner et à plusieurs reprises le match fut stoppé pour permettre aux joueurs de se remettre. Nous menions par 120 à 100... Un score serré et les autres ne nous épargnaient pas, car si nous étions plus rapide, eux avaient l'expérience et s'ils se débrouillaient pour coller aux scores ils ne semblaient pas particulièrement cherchés à dominer le jeu, ils semblaient attendre quelque chose. Nous ne savions pas quoi et à vrai dire nous ne nous en soucions pas, cruelle erreur, nous menions c'est tout ce qui nous importait. Je dois dire que malgré l'expérience de l'autre équipe, nous avions quelque chose la coordination. Si nos " ennemis " jouaient comme de vrais pro, enchainant les formations nous arrivions à les désarçonner en modifiant les nôtres, les entrainant dans des schémas qu'ils ne connaissaient pas forcément, nous communiquions en permanence c'était notre point fort, une harmonie à toute épreuve, notre attrapeur tout en cherchant le vif d'or se débrouillait pour nous dégager des trajectoires, faisant mine de foncer sur les autres. Je prenais mon pied. Je volais depuis que j'avais l'âge de marcher, avec mon père petite, puis des amis, nous improvisions des minis match mais se retrouver ici, sur mon balais soutenue par des centaines de spectateurs... C'était jouissif. Je savourais la sensation unique, l'euphorie de mon premier match. Nous échangions des sourires, pour nous, le plus dur était joué. Nous avions le souaffle, une passe, une autre passe, à moi, esquive d'un cognard, passe, une autre passe, encore à moi, je tire et je marque. Je frissonnais au sons des exclamations, toute angoisse disparue. Malheureusement les bonnes choses ne durent jamais... Le vent devenait de plus en plus violent, le froid était désormais glacial et comble de malheur, des flocons se mirent à tomber. Un peu d'abord, ne nous ralentissant que peu, nous avancions encore et notre visibilité quoi que gênée restait globalement claire. Nous arrivions encore à lutter contre les autres. Mais bientôt ce ne fut plus quelques flocons mais une véritable tempête de neige, nous bloquant la vue. Je ne voyais plus rien, et ne connaissait encore aucun sort me permettant d'y voir. J'étais coincée dans la neige, voyant à peine le bout de mon balai. Je commençait à paniquer, me déportant sur le côté jusqu'à trouver Moïra, elle aussi semblait en difficulté, des cris d’allégresse nous apprirent que l'autre équipe venait de marquer. Ils avaient du s'entrainer à voler par tout les temps, sachant que sous un ciel normal ils n'auraient pas forcément l'avantage. Je collais aux fesses de ma coéquipière, sans trop comprendre comment je me retrouvais avec le souaffle en main, je l'envoyai à Moïra, et me plaçais à côté d'elle, elle envoya le souaffle à Andrei, qui la collait mais de l'autre côté, il me renvoya le souaffle. Je m’apprêtais à le relancer quand un cognard particulièrement bien envoyé nous sépara. Je me retrouvais seule, je ne voyais plus rien. Je continuais d'avancer, espéhttp://www.bellum-patronum.com/groupsrant être dans la bonne direction. Un rire démoniaque retentit dans mes oreilles tandis que une poursuiveuse adverses me prenait le souaffle des mains, me bousculant violemment, manquant de me faire tomber. Je fis aussitôt demi tour mais une clameur de la foule m'apprit que les autres avaient marqués et que nos scores étaient maintenant égaux. Merde ! J'étais aveugle, mais j’espérais que les autres plus expérimentés avait pu se protéger de la neige. Plissant les yeux, je crus apercevoir la silhouette d'Andrei et me dirigeais vers lui. Moïra avait récupéré le souaffle et fonçait vers les buts ennemis, heureusement Andrei avait vue ma gène et avant incanter pour me donner une vision à peu près normale, nous remettant sur un pied d'égalité, enfin à peu prés parce que les autres semblaient vraiment être comme des poissons dans l'eau, ou des aigles dans le ciel. Mais nous nous battions, désormais à armes égales. Le match repris de plus bel, nous reprîmes l'avantage, menant avec une large avance. Voler nous réchauffait et nous avions hâte d'en finir. Notre équipe avait le souaffle, lorsqu'une large de clameur retentit, le vif d'or avait été repéré. Si nos adversaires attrapait le vif d'or nous perdrions, sauf, si nous marquions avant. Andrei, Moïra et moi foncions. Un cognard bloqua Moïra l'empechant de continuer son chemin, les poursuiveurs adverses nous prirent en chasse. Andrei attira les poursuiveurs dans une autre direction, me lançant le souaffle au dernier moment, me laissant seule devant les buts. J’accélérais, avant de lancer le souaffle en utilisant toute ma puissance. Je ne su pas si le gardien arrêta ou non mon tir puisqu’à ce moment je me pris un cognard en pleine tête, la violence du choc m'assomma sur le coup. Je repris conscience trois heures après, des cris résonnant dans tout le lycée. Je souris en constatant que mon équipe se trouvait auprès de moi. J'étais encore groogie mais je me sentais prise d'une excitation pas possible, je voulais savoir. Alexei notre capitaine, me regarda gravement et déclara que les autres avaient attrapé le vif d'or... Après que j'ai marqué et que nous gagnions par 380 à 370. Je hurlais, ils me sautèrent dessus. C'était un des plus beaux moments de ma vie. Je sortis soutenus par Andreï et nous fûmes portés en triomphe. Je pleurais lorsque l'on nous remis la coupe sous les applaudissements de nos amis et supporters. Ce fut mon premier match mais pas mon dernier, avec l'équipe nous gagnâmes de nombreux matchs, perdant aussi quelques fois, les avoir quittés était un de mes plus grand regrets mais je n'avais pas le choix.
C'est en songeant à eux, à ce premier match que je me rendis au terrain de quidditch pour les sélections de l'équipe de Serdaigle, ma nouvelle équipe s'ils m'acceptaient. Alea Jacta Est ! |
| | Re: Liste et inscriptions équipe de Quidditchpar Invité, Lun 2 Sep - 17:20 ( #) | Pseudo : N. Swann Fitzgerald Maison : Serpentard Poste Souhaité : Batteur Mise en Situation : Sujet 1 (Joueur simple): Vous êtes en première année et commencez enfin les cours de vol. Racontez-nous vos émotions et comment est née votre vocation.Je suis tout nerveux à l'idée de voler sur un véritable balai. Avec mes frères, nous pouvions nous amuser sur des balais, mais nos parents nous laissaient seulement le droit si ce sont des balais « trafiqués » pour ne pas dépasser les trois mètres de hauteurs alors imaginez notre frustration. A Poudlard, ils nous font confiance, on a de vrais balais. On pourra s'élever haut même si ce ne sera pas pour la première leçon. J'avais envie de faire le tour de Poudlard, de m'envoler le plus haut possible. Je regarde les autres camarades de mon année qui semblaient tous aussi surexcité que moi. On écoute le professeur de vol qui nous explique les règles de base de son cours. Je fais une moue boudeuse, j'ai envie de voler moi ! Mes yeux fixent avec envie le balai qui était étalé sur le sol dans l'attente qu'elle finisse son discours. Et voilà, enfin ! On se place tous à la gauche de notre balai. Mon dieu, ça commence ! Je sens mes muscles se crisper, prêt à consommer de l'énergie pour battre le sol et planer comme un dragon. Je suis les instructions à la lettre et au même rythme que les autres, même si je connaissais parfaitement les ordres qu'elle donnait avant même qu'elle le dise. Cela me semblait si simple. Je sens le bois frapper ma main à l'ordre donné et j'ai qu'une envie, enfourcher le balai et décoller comme un dragon ou un aigle. Peu importante, tant qu'on me laisse en profiter ! Je suis tellement impulsif que j'ai envie de m'envoler tout de suite. Mes pieds frappent le sol par petits accous, l'impatience se fait sentir, l'adrénaline commence à se faire de plus en plus forte le long de ma nuque. Mes mains deviennent moites au fur et à mesure de l'attente, qui me paraissait bien longue. Elle accepte enfin que l'on chevauche les balais pour se surélever de quelques mètres et de revenir. Avec une rapidité déconcertante, je me place à califourchon et frappe le sol avec le plus de force possible. Je m'élève rapidement sous l'impulsion et lève mon balai pour qu'il s'élève sur une bonne hauteur. Trop court, j'atteignais la limite et c'était déjà terminé, je devais me pencher vers le sol pour descendre. A regret, je sens le sol revenir sous mes chaussures. Je fixe le professeur qui continue de parler dans l'espoir qu'elle nous dise de recommencer. Et si on volait un peu plus que ça ? Je ne sais pas, faire vivre ce cours ! Quelqu'un allait tomber de son balai en s'endormant tellement je trouvais ça d'un ennui mortel. Mes prières furent exaucés. Nous avions la possibilité de pouvoir faire ce que nous voulions, voler sur quelques mètres et faire un peu de distance sur un parcours donné. Chacun notre tour, nous nous élancions. Je trépignais d'impatience, je veux voler ! Pas seulement m'élever ! Je regarde les autres élèves qui profitent des élans de leur premier vol en balai. Mes yeux pétillent et à peine je m'envole d'un mètre que je manquais de me retourner le nez au sol. Non, je me débrouille bien sûr un balai, mais un cognard fila juste en dessous de mon menton, me prenant par surprise. Kezako ? Depuis quand on lance des cognards durant les cours de vol des premières années ? Cette perspective me plaît, mais je suis étonné. Un peu sonné, je remets correctement sur mon balai. On entend le professeur pester en remarquant que des élèves plus âgés se sont amusés à faire une blague en nous mettant les cognards et le vif d'or pendant le cours. Je secoue la tête, essayant de faire croire que j'étais dépité alors que l'idée me trottait dans l'esprit de faire comme les plus grands lors d'un match de Quidditch. Une Batte ! Il m'en faut une ! Je dépasse le professeur pour aller dans la réserve comme la plupart des élèves pour voir ce qu'il se passe, attrapant une batte que je cache dans ma manche. Je ressors aussitôt en espérant qu'elle ne remarque pas que j'ai pris quelque chose et je m'élance. Mes pieds frappent le sol et je m'élève … un peu. J'ai cru pouvoir m'amuser, brandissant tel un enfant à qui on venait de donner une arme mortelle dans la main la batte, je sentais que mon balai n'avançait plus du tout au bout de quelques secondes. ❝ Allez, avance ! ❞ grognais-je jusqu'à ce que j'entende des rires derrière moi. Un autre professeur était arrivé avec deux élèves entre les mains, ce qui permit au professeur de vol de tendre sa baguette pour m'arrêter. ❝ Mr. Fitzgerald, veuillez descendre de votre balai s'il vous plaît et c'est valable pour vos camarades par la même occasion ! Sinon je retire 20 points à chaque élève qui reste encore sur son balai d'ici cinq minutes ! Et plus vite que ça ! ❞ Je lui lance un regard noir qu'elle ignore totalement. Je roule des yeux et finalement, elle me laisse libre. Mes pieds touchent le sol et les autres élèves font pareil. La menace de perdre des points n'est pas tombée dans l'oreille d'élèves sourds. Tout le monde regarde le professeur criait sur les facétieux élèves alors que les cognards retournaient vite dans le coffre grâce à l'autre professeur. Je me sentais frustré de ne pas avoir pu m'amuser. Au moins, c'était amusant de voir le professeur de vol aussi rouge qu'une tomate. Une amie me tapote l'épaule en voyant bien mon air dégoûté et surtout frustré : ❝ Ne t'en fais pas. Je pense qu'on pourra avoir un avant goût du Quidditch. Ou peut-être que ça sera l'année prochaine, sois patient, Swann. Tu peux toujours demander aux capitaines. ❞ Je bascule ma tête en avant, essayant de me reprendre. Une chose est sûre, c'est bien ce que je me suis promis de taper dans ce foutu cognard dès que j'en aurais la possibilité. A vrai dire, je me suis posé la question si je pouvais tenter l'année prochaine. Même si je suis quelqu'un de calme et posé en général, je suis impulsif en cas de compétitions c'est pour cela que j'ai besoin de me défouler. Finalement, je la regarde, acquiesçant avec un large sourire. ❝ Ouaip, t'as raison ! Je vais les dégommer ! ❞ |
| | Re: Liste et inscriptions équipe de Quidditchpar Guest, Mar 3 Sep - 22:22 ( #) | Pseudo : S-T. Artemis Beauchamp Maison : Gryffondor Poste Souhaité : Gardienne Mise en Situation : sujet2
« C’est vrai que je serai très fière de toi Artémis si tu entrerais dans l’équipe ! Mais ça demande beaucoup de motivation et d’ambition ! » Me répétait souvent mon père quand je lui parlais il y a peu de mon fameux projet… Rentrer en tant que gardienne dans l’équipe, la majestueuse, la meilleure, la magnifique, de quidditch des Gryffondor. Ambition… Motivation… Papa ne croyait-il pas en moi ? Il aurait bien du, j’aurai fait encore plus de succès auprès de la capitaine si je savais que mon père était de tout cœur avec moi. C’est vrai qu’il n’est pas grand fan de Quidditch mais il devrait se montrer plus heureux, non ? Pour une fois que je m’investis dans la vie de l’école… Je ne compte plus les fois où il me réclamait d’aller m’inscrire à un club ou je ne sais quoi. On parlait de quoi déjà ? Ah oui, du quidditch. En parlant de succès… Ça ne vous a pas interpellé ? Et oui, j’ai fait un ravage aux sélections, pour tout dire. Je n’en avais parlé à personne de mon fabuleux projet, car on ne me connait pas pour mes exploits au vol. Je ne suis pas une bonne poursuiveuse, la vitesse n’est pas un don. J’aurais bien été batteuse, mais je n’ai pas la carrure. Je ne vous parle même pas du poste d’attrapeuse… J’ai tendance à vite devenir impatiente, et attendre gentiment qu’un vif d’or se pointe ? NON. Le seul, le vrai, l’unique poste qui me faisait rêver, languir, baver, c’était bien celui de gardienne. Je savais que je pouvais mener l’équipe à la victoire, car oui, j’encaisse les coups de façon… très spéciale. Je vous en prie, frappez-moi avec une casserole sur la tête, je en sentirais rien, je vous la ferrai juste manger. Les Souafles ne me font pas peur, et je suis très agile, attentive, et drôlement bornée, mais ça on s’en fout. J’ai surpris donc tout le petit monde qui me voyait au début comme une vulgaire animatrice de foire et j’ai été… Comment dire ? Naturellement prise dans l’équipe. Je vous remercie !
C’est le jour J, enfin. Comme je l’attendais. Tout à coup, je fais moins la maligne. Voyez-vous, ce matin, j’étais nichée dans mon bol de chocolat chaud fumant car je voyais trop de regards braqués sur ma personne, ça me foutais les jetons. Trop de monde comptait sur moi, et je ‘n’aimais pas ça, j’avais peur de décevoir trop de personne. Surtout qu'aujourd’hui, nos adversaires sont les Serpentards. Je sais que l’on va gagner, je n’en doute pas une seconde, car notre équipe, c’est l’élite, elle est vraiment excellente. Nous avons donnés corps et âmes lors des entraînements, nous refusons l’échec, qu’il soit physique ou moral, personne en tombera de son balai, personne n’abandonnera. Quatorze balais s’envolent, dont le mien. Mains cramponnées au manche, je me dirige vite et assurément vers les trois cercles d’or que je dois protéger. Tout est calme, on entend la brise s’abattre dans nos cheveux, on sent que le public est en haleine. Coup de Sifflet. Tout à coup, tout va très vite. Je suis à l’aise, même quand je vois l’énorme balle s’approcher. On tire. Merde. C’est vers le cercle adverse. Traitez-moi de folle si vous le souhaitez, car je n’ai pas bougée. C’était bien trop prévisible, j’avais lu dans le visage de la verte que c’était une fine stratège. Elle voulait me faire croire que ce n’étais pas ici qu’elle tirera, alors qu’elle comptait le faire vers ma position. Les secondes passaient comme de longues minutes. Je voyais les regards catastrophés du public. Un tir. J’arrête, avec une aisance indéchiffrable. Puis tout à coup, c’est l’euphorie dans le public, j’entends le monde crier mon nom, c’est tellement unique ! Cette sensation que cela vous fait quand on vous fait ça la première fois ! "OH YEAH !" Je ne peux que sourire jusqu’aux oreilles et offrir un baiser imaginaire aux supporters avant que la partie ne recommence. Très peu passent, beaucoup ne parviennent pas à traverser les cercles. C’est ça, le talent. |
| | Re: Liste et inscriptions équipe de Quidditchpar Invité, Mar 3 Sep - 23:18 ( #) | Je transmets les mignons |
| Albus Dumbledore pnj - we are all subjects to the fates Répartition : 12/03/2011 Hiboux Envoyés : 1312
| Re: Liste et inscriptions équipe de Quidditchpar Albus Dumbledore, Mer 4 Sep - 19:30 ( #) | Après de longues délibérations, voici les premiers résultats. L'équipe de Gryffondor est d'ores et déjà complète mais les candidats éconduits sont retenus en cas de remplacement. Merci à vous tous et continuez à postuler pour les autres équipes ! |
| | Re: Liste et inscriptions équipe de Quidditchpar Invité, Mer 4 Sep - 19:52 ( #) | Pseudo : Gabriel A. Jones Maison : Poufsouffle Poste Souhaité : Gardien Mise en Situation : Sujet 1
Volé sur un balais, quoi de plus singulier pour un sorcier aguerri ? Seulement je ne suis pas un sorcier aguerri ou tout du moins je ne l'étais pas encore. C'était lors de ma première année à Poudlard, je faisais mes premiers pas dans le monde de la magie car malgré ma famille adoptive magique rien en moi était inné pour la sorcellerie. C'est donc un peu réticent que je me dirigeais vers la cours extérieur du château sans savoir ce qui m'y attendait. Au milieu de l'herbe verte et encore humide à cause de la rosé du matin était posé une vingtaine de balais classique. Même ces simple balais m'interrogeais. Je me demandais comment je pourrais faire voler cette objet qui autrefois pour moi ne servait que ramasser la poussière et qui dorénavant allait être un outil pour me déplacer ou dans le meilleur des cas jouer au quidditch. "Le Quidditch", j'avais lu ce mot des milliers de fois dans les livres et je connaissais les règles par cœur. Ce sport m'intriguais réellement. Déjà que moi en tant que simple moldu je ne savais pas chevauché un balais alors je n'imaginais même pas comment on pouvait jouer avec. Même les illustrations des livres n'étaient pas assez explicites pour que je comprennent comment réalisé ce genre de performance.
Bref, revenons à mon premier cours de vol. Les balais était donc positionné en file et formaient une allée centrale. Au bout de cette allée il y avait notre professeur. Ce dernier nous demanda de nous installés à la droite de notre balais, de tendre notre main gauche puis de dire "debout". Je trouvais ça totalement idiot. Comment un balais pouvait-il arrivé dans notre main juste en disant ces mots ? Malgré mes aprioris mon balais se leva du deuxième coup. Je fus surpris et en même temps impressionné et aussi un peu effrayé. A côté de moi il y avait cette fille qui est à nos jours l'une de mes amies les plus chères mais qui à l'époque m'avais déjà impressionné par son talent à savoir dompté un balais. Je tentais donc de faire la même chose qu'elle et depuis ce fameux cours je ne cesse d'essayer de réalisé les mêmes performances qu'elle en matière de quidditch.
Après avoir mon balais bien en main le professeur nous demanda de le chevaucher. Un peu hésitant au début je me décidais (toujours en prenant exemple sur ma partenaire) à me placé au dessus de l'objet. Puis le professeur nous demanda de taper du pied sur le sol puis de nous élever quelques moments avant de redescendre. Le professeur nous donna le signal et là mon balais s'éleva de quelques mètres. Durant le temps ou j'étais là-haut tout me semblait différent. Je me sentais léger et je me sentais planer comme un oiseau. C'était une sensation formidable et après être redescendu sur terre la seule chose que j'attendais était la prochaine fois pour retrouver cette magnifique sensation. |
| | Re: Liste et inscriptions équipe de Quidditchpar Invité, Dim 8 Sep - 19:01 ( #) | Bonjour ! Comme l'équipe des Poufsouffle (LES MEILLEURS ! ) n'a pas de capitaine j'aimerais postuler. Dice s'est récemment découverte des qualités insoupçonnées de leader (grâce à la réunion des Nés-moldu entre autre) et s'affirme de plus en plus. Ca ne fait pas longtemps qu'elle fait du Quidditch, plus d'un an, mais elle est suuper passionnée, douée et s'entraîne tout le temps. Elle a aidé son équipe l'année dernière à arriver 2e (bon ils ont pas gagné, mais c'est déjà ça !). Voilà voilà, comme je ne savait pas trop comment faire je vous fais ma demande comme ça, mais si il faut faire quelque chose de plus "officiel" ce sera avec plaisir ! |
| | Re: Liste et inscriptions équipe de Quidditchpar Invité, Mar 17 Sep - 17:23 ( #) | Pseudo : Aube De Blois Maison : Poufsouffle Poste Souhaité : Poursuiveuse Mise en Situation : Sujet 2: (Joueur simple): Vous venez d'être sélectionnés ! Racontez nous votre tout premier match, vos émotions et vos appréhensions face aux joueurs plus expérimentés.
C’était déjà une grande nouvelle de savoir que j’étais acceptée dans l’équipe de Quidditch. Une De Blois dans l’équipe, ce sont mes parents qui seront fièrs de moi. Je rêvais de faire partie de l’équipe depuis trois ans déjà et mon premier match je l’attendais depuis assez longtemps. Je n’arrêtais pas de m’entraîner au moins trois semaines avant la sélection des joueurs pour la nouvelle année et je n’ai pas arrêté de m’entraîner jusqu’à ce premier match si attendu.
Nous étions dans la cabine des joueurs, nous étions tous prêts et prêtes à jouer. Très exciter de voir nos adversaires. Nous allons être féroces et imbattables. Après avoir mis mon équipement pour la première fois de la saison, j’ai sentis un petit pincement au cœur, un pincement positif. Ensuite, notre équipe se dirigea vers l’entrée des joueurs du terrain. L’excitation, était dans l’air j’avais hâte d’être sur mon balais et de commencer à poursuivre le Souafle, la balle qu’il faut mettre dans les buts et enlever des mains de l’autre équipe. Nous étions tous fière de faire notre apparition dans le terrain immense où allait se dérouler toute l’action. Le jeu commença quelques minutes après avoir pris position dans les airs sur le terrain. La majorité des membres de mon équipe y faisaient partis depuis plusieurs années, donc j’étais une des moins expérimentée ici. Je ne me sentais pas intimidé par leurs présences. Au contraire, cela me donnait beaucoup plus de force et d’envie à gagner ce match si attendu. Pendant celui-ci, je me suis fait frapper plusieurs fois par les batteurs de l’autre équipe. Je perdais un peu l’équilibre, mais je ne me laissais pas faire et j’ai réussis à compter un but. J’en ai manqué une dizaine, mais celui que j’ai compté était le plus beaux but de ma vie que j’ai pu faire. J’avais réussis à me faufiler derrière les batteurs de mon équipe qui m’ont tous protégé et j’ai mis mon agilité et mon habilité en valeurs pour lancer le Souafle, qui s’est rapidement rapprocher au centre de l’anneau, près du visage du gardien de l’équipe opposé qui a voulu protéger son visage plutôt que du but. Ces coéquipiers n’étaient pas fiers de lui, mais les miens l’étaient pour moi, ce qui m’a fait un grand bien à mon cœur.
Durant ce premier match j’ai reçu beaucoup de coup, qui m’ont endurci et m’ont permis de m’améliorer et de faire ma place dans cette équipe avec mon but qui a presque fait un blessé. J’étais très fière de moi. |
| | Re: Liste et inscriptions équipe de Quidditchpar Invité, Mar 24 Sep - 0:16 ( #) | Pseudo : Myrtille L. Lefebvre Maison : Poufsouffle Poste Souhaité : Poursuiveur Mise en Situation : Sujet 2: (joueur simple) : Vous venez d'être sélectionnés ! Racontez nous votre tout premier match, vos émotions et vos appréhensions face aux joueurs plus expérimentés.
Ca y est.. mon premier match.. Je regarde l'horloge en me disant que j'ai encore le temps de faire demi-tour. Après tout, ils ont déjà deux poursuiveurs, ils n'ont pas besoin de moi. Ma main tapote mon balai avec nervosité. Notre capitaine nous fait un petit discours histoire de nous encourager. Je ne l'écoute pas. Il pourrait parler de chocolat ou de panda violet que je ne le saurai même pas. Je suis juste là, à le fixer, comme tous les autres. Mon dos se redresse à l'annonce de l'équipe ennemie. On entend la foule acclamant leurs héros, à l'extérieur. C'est bientôt notre tour. On s'avance, les uns derrière les autres. Notre capitaine passe devant, se met à sourire, comme s'il montait sur scène pour y jouer le rôle de sa vie. "Et voici, la deuxième équipe tant attendue : les POUFSOUFFLES !!" C'est l'heure. Je me retourne d'un coup sec, prête à les abandonner là, au moment crucial. Puis je vois le sourire de mon équipier derrière moi. Il est détendu, calme, presque serein. Il baisse un peu la tête et plonge ses yeux dans les miens. Il pose sa main sur mon épaule, me retourne dans le sens de la file et me chuchote à l'oreille "Ca va aller, ne t'en fais pas.." Le souffle chaud de ses paroles ont comme un effet rassurant sur moi. Que peut-il se passer de si horrible sur le terrain ? J'avance doucement avec mon équipe et passe la porte des vestiaires. La lumière m'éblouit et je suis aveugle pendant quelques secondes. J'entends seulement les élèves qui nous acclament. Ils sont tellement nombreux que le son me parait accentué, comme si le fait que je ne puisse plus voir avait décuplé mes autres sens. Je recouvre la vue petit à petit. Je place mon balai et décolle. Plus je monte, plus je me rends compte que l'école compte un nombre impressionnant d'élèves. Il y a aussi les professeurs et même le personnel. Tous sont là pour soutenir leur équipe préférée. Je prends position et regarde l'équipe adverse. Leur regard est menaçant. j'ai l'impression qu'ils me fixent tous, comme si j'étais seul contre eux tous. Je cherche le garçon de tout à l'heure du regard. je tourne la tête rapidement et prends conscience que mon souffle est coupé. Il est là, à ma gauche. Il regarde droit devant avec un air sévère. Je me rends compte que tous ont la même expression. La voix au mégaphone parle depuis tout à l'heure mais je ne sais pas ce qu'il dit. Ma main est crispée sur mon balai. Je vois une fille en face de moi qui me regarde avec un sourire en coin. j'ai l'air d'une gamine à côté de tous ces gens.. Puis je comprends.. "Ca va aller.." Sa voix résonne dans ma tête comme pour me redonner confiance en moi. Pourquoi ça n'irait pas ? Et l'autre là devant.. elle pense avoir affaire à plus faible qu'elle ? Elle a tort. C'est mon premier match.. Hors de question que je montre mes points faibles aujourd'hui. Ce sera la victoire, ou rien !
Dernière édition par Myrtille L. Lefebvre le Dim 29 Sep - 0:22, édité 2 fois |
| | Re: Liste et inscriptions équipe de Quidditchpar Invité, Sam 28 Sep - 10:17 ( #) | Pseudo : Alexandre E. Queen Maison : Poufsouffle Poste Souhaité : Capitaine/Poursuiveur Mise en Situation : Sujet 4: (Capitaine): Vous avez perdu un match important, et votre équipe est définitivement dernière de la coupe. Que leur dîtes-vous ? Comment réagissez vous. C'était le coup de sifflet final. Et ils avaient lourdement souffert. Alexandre regardait les autres joueurs descendre de leur balai et filer dans le vestiaire. Ils étaient abattus et pour cause, cette défaite les privait définitivement de la coupe et ils étaient relégués à la dernière place du classement. Il mit quand même pieds à terre au bout de quelques instants. Tout c'était pourtant déroulé comme à l'entrainement, ils avaient une bonne technique, mais ils avaient manqué de chance. Il prit également la direction du vestiaire, cherchant dans sa tête un moyen de remonter le moral des troupes, mais lui-même avait le moral six pieds sous terre. Il savait bien qu'on ne pouvait pas gagner a tous les coups, mais il avait vraiment cru à cette victoire. Lorsqu'il entra dans le vestiaire, il croisait les regards un peu perdu de ses camarades, eux aussi cherchaient à comprendre le pourquoi du comment. Seulement l'équipe adverse avait été meilleure tout simplement. Alex ouvrit la bouche une, puis deux, mais aucun son ne voulait sortir. Il n'avait pas l'allure d'un meneur d'homme, et pourtant, quand il s'agissait de Quidditch, il était vraiment bon. Prenant son courage a deux mains, il ouvrit une nouvelle fois la bouche. " Bon les gars..." Ne sachant absolument pas ce qu'il allait pouvoir dire, il s'arrêta quelques secondes. Il prit une longue inspiration et se lança. " Aujourd'hui, ce n'était pas un bon jour. Certes, on a eu les moyens de gagner, mais l'équipe qu'on avait en face de nous était tout simplement meilleure. Et je sais aussi que cette victoire nous prive de la Coupe. Mais soyez rassurés ! Il y en aura d'autre des matchs et on aura encore le moyen de gagné l'année prochaine, et l'année suivante encore ! " Il laissa quelques secondes de silence pour laisser le temps à ses joueurs d'assimiler ce qu'il venait de dire. " Je sais bien que certains d'entre-vous cherchent a savoir pourquoi nous avons perdus aujourd'hui. Ne vous tracassez pas avec ça voyons ! On a déjà perdus des matchs et pourtant, a vous voir j'ai l'impression que c'est la première défaite de votre vie. Ecouter-moi, nous nous sommes bien défendu toute l'année, on a pas été mauvais, bien au contraire. Ce soir, quand nous allons rentré dans notre salle commune, vous allez voir que nos camarades s'en fichent complètement que nous ayons perdu ! Ils se sont bien rendus compte des efforts que nous avons fournis pour honorer notre maison ! Et ça croyez-moi, c'est ce qu'il y a de mieux avec eux." Il regarda ses joueurs et certains esquissaient un sourire sur leurs lèvres. Il avait plus ou moins réussi à leur remonter le moral et c'était satisfaisant. Puis le vestiaire commença à se vider. Alexandre restait seul. Il savait bien qu'il se torturait les méninges à vouloir trouver ce qui n'allait pas. Il avait une bonne équipe et il en était fier. Mais son moral à lui était vraiment, vraiment bas. Il n'aimait pas les échecs comme celui-là. Le jeune homme fila prendre une douche et essaya tant bien que mal de se noyer dessous, mais rien à faire. Il s'habilla alors simplement. Il avait sa tête des mauvais jours et il savait pertinemment qu'il n'allait pas participer à la fête organisée par ses camarades le soir même. Non il allait se trouver un endroit calme et établir sa stratégie de l'année prochaine. Parce que oui, un jour, il tiendra la Coupe dans ses mains. Et ce jour n'allait pas tarder ! Bon c'est pas super, mais qui n'essaye rien n'a rien ! Merci d'avoir lu |
| | Re: Liste et inscriptions équipe de Quidditchpar Invité, Sam 28 Sep - 11:42 ( #) | Je transmet ! |
| | Re: Liste et inscriptions équipe de Quidditchpar Contenu sponsorisé, ( #) | |
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