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Fenrir-Amos - Screaming the name of a foreigner's god
BELLUM PATRONUM ::  :: Nox
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par Invité, Jeu 5 Fév - 14:23 (#)


Fenrir-Amos T. Weasley

21 y.o. / Serpentard / Offensive magique, 11ème année
6 ans : Le Terrier, Mariage de la mère d'Amos.
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Ma mère se remarie aujourd'hui. Avec cet homme qui travaille au ministère de la magie. Il est gentil. Mon grand-frère et moi nous aimons l'écouter lorsqu'il nous raconte ses histoires. Parfois, il m'appelle, et je descends en courant les escaliers qui grincent, et je saute sur ses genoux. Il me regarde et me demande de lui raconter une histoire. Alors je réfléchis, et je lui invente un conte. Lui aussi aime mes histoires. Et pendant ce temps là, ma mère prépare une soupe au potirons dans une grande marmite. Parfois, je demande à ma mère à ce qu'on puisse retourner au Terrier. Je ne comprends pas pourquoi nous avons du déménager, nous étions bien, tous les trois. Et je voyais papa régulièrement. Je n'ai jamais vu mes parents s'aimer, ils se sont séparés après ma naissance. Mais je vivais avec eux deux, car nous restions une famille même s'ils ne s'aimaient plus. Et puis une femme avait fait irruption dans la vie de mon père, Monsieur Weasley, et ma mère avait rencontré Eric.
Je regardais autour de moi. Je n'étais pas la seule tête rousse sous ce grand chapiteau que mon père et mon beau-père avait installé. Ma mère avait voulu se marier au Terrier, et mon père avait tout préparé, de bon cœur. La séparation de mes parents ne m'a jamais touché. Je n'ai jamais pleuré en pensant que j'aurai aimé les voir s'aimer, avoir un petit frère ou une petite sœur. Les voir sourire et s'embrasser. Non, je n'ai jamais pensé à cela, tout simplement parce qu'ils s'aimaient toujours, mais comme un frère et une sœur. Mais on m'avait prévenu : ce mariage changerait quelque chose à notre vie. Alors, quelques mois avant le mariage, nous avions quitté le Terrier pour s'installer dans une petite maison de Godric's Hollow. Notre nouvelle demeure était petite mais convenable. Néanmoins, je regrettais la grande horloge qui indiquait où nous nous trouvions, la vaisselle entassée qui se lavait toute seule et les grands escaliers tordus. Tout dans cette maison paraissait s'effondrer, mais par je ne sais quel miracle, elle restait debout, plus accueillante, plus chaleureuse encore. Cette maison avait une âme.
J'étais donc là, debout parmi les invités, et je regardai mon grand-frère donner les alliances. C'était d'un chiant. Mais ma mère était heureuse, et c'était le principal. Mon père pleurait, comme si c'était son propre mariage, mais il était tellement aimant, tellement généreux que ce mariage le touchait au plus haut point. Il n'avait jamais détesté ma mère. Au contraire, il avait un grand respect pour elle, elle était son premier amour après tout. Son ancienne meilleure amie dont les sentiments avaient été brouillés par un sentiment d'amour éphémère. Deux enfants, et puis la magie s'était envolée. Ils étaient redevenus meilleurs amis, et cette relation fusionnelle, Eric la jalousait. Ainsi, les visites au Terrier se firent de plus en plus rares. Mon père, qui était alors suivit de plusieurs rouquins au mariage de ma mère, avait eut un dernier enfant, une fille. On ne les voyait que pour les grandes réunions de famille. Mais mon frère et moi, nous leur écrivions. C'était nos frères et sœurs après tout. Mes deux parents étaient heureux, et dans ce cas, nous l'étions aussi.
La soirée se déroulait dans la joie et la bonne humeur. Nous jouions autour de la tente, des bouts de bois dans les mains, pensant se jeter des sorts qui n'existaient pas. J'étais un grand auror, comme voulait le devenir Eric, et je courais parmi les champs à la recherche de mon grand-frère, un vilain sorcier qui avait volé la baguette du ministre de la magie. Puis, nous devenions des animaux. J'étais un chien, et j'aboyais en courant après les autres. Mon frère se prenait pour un oiseau, et les autres petits rouquins, nous suivaient. Nous rêvions depuis toujours de ce jour où la lettre de Poudlard viendrait nous appeler. Où viendra le moment de choisir nos baguettes. Et c'est dans l'innocence que nous nous prenions pour toutes les créatures magiques et non magiques. C'est en Hippogriffes que je rejoignais ma mère. « Va te coucher mon chéri, il est tard. » Elle me prit dans ses bras, et mon visage chercha avidement l'odeur de fleurs qui émanait de ses cheveux. Je posais ma tête dans le creux de son cou, et la laissais m'emmener à l'intérieur de la grande maison. Mon grand frère nous suivait, et tous les petits rouquins Weasley de même. On se coucha, chacun dans nos petits lits douillets. Fatigués de cette journée de sorciers. Ma mère baisa mon front, puis se dirigea vers mon grand frère. Elle s'arrêta sur le seuil de la porte. A l'étage, j'entendais les rouquins faire un bruit monstre. Et leur mère leur demanda de se calmer. La mienne, qui était resté nous regarder, souriait. Elle passa la main dans ses longs cheveux roux, aussi roux que les miens, et souffla : « Je vous aime mes amours. » Nous n'avions rien besoin d'autre pour passer une bonne nuit. Mon frère me tendit mon ours en peluche qui se trouvait près de son lit, et s'allongea. Ma mère referma la porte, et j'écoutais ses pas s'éloigner. Puis, mes yeux se fermèrent, et je m'abandonnais à mes rêves.


11 ans : Godric's Hollow, La lettre de Poudlard.
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Il y a un âge où tout enfant se rebelle. Où l'autorité parentale n'a plus aucun impact sur nous, et où au contraire, elle nous mène au danger. A l'erreur. A l'irréparable. Les skinhead Londonnien nous ont inspiré, pas dans nos idéologies, mais dans nos manières de vagabonder. Doc Martens, crâne rasé et vieux jean délavé, nous étions connus pour ensorceler les poubelles du quartier. C'était un éternel recommencement. Chaque matin, nous nous retrouvions aux alentours de onze heures, on s'asseyait sur un muret pour manger nos vieux sandwich. Et puis on était partis pour faire un maximum de conneries jusqu'au coucher du soleil. A cet époque, un conflit faisait rage entre Eric et moi. Les histoires avaient disparues, et mon frère n'était plus là pour me tenir compagnie. Je me sentais seul. Je le sentais désintéressé, trop occupé dans son boulot. De plus, nous n'allions plus au Terrier. Eric étant jaloux de la relation qu'il y avait encore entre ma mère et mon père, refusait qu'on aille voir les Weasley. Pourtant ils étaient ma famille.
De nombreuses fois, je ne rentrais pas lorsque le soleil se couchait. J'allais manger chez mon père, et je revenais à Godric's Hollow. Lorsque je rentrais, Eric voulait tout savoir, mais je ne disais rien. Je voyais dans le regard de ma mère qu'elle comprenait, et le sourire qui s'étirait sur ses lèvres me laissait voir son autorisation de ne pas obéir à l'homme qui n'était pas mon père. Qu'Est-ce que je l'aimais lorsqu'elle prétendait m'accompagner dans ma chambre pour me disputer, alors qu'en réalité, elle m'embrassait sur le front, et me rappelait les bêtises que je faisais lorsque j'étais plus petit. J'aimais ces moments. Et je les provoquais. Et puis un jour, je décidais de me raser les cheveux. Ce jour là, Tom, mon ami cracmol, m'avait prêté le balai de son père. J'étais parti en chemin pour le Terrier. A force de me débrouiller seul pour me rendre au Terrier, j'avais appris à très bien voler, et arrivais désormais à atterrir en toute beauté. Mais ce jour là, mon père criait lorsqu'il s'approcha de moi. Il me prit dans ses bras et posa sa grande main sur mon crâne chauve. « Par la barbe de Merlin! Mon fils, qu'as-tu fait à tes cheveux?!. » Les petits rouquins me regardaient comme si j'avais commis un meurtre, puis on me fit rentrer. Je racontais à mon père de quelle manière Maman avait appris que je m'entraînais à lancer des sorts sur les poubelles de Godric's Hollow. Je parlais de Tom le Cracmol, qui avait perdu ses pouvoirs lors d'un combat avec un Serpentard, et de quelle manière ses parents l'avaient retirés de l'école. C'était grâce à lui que nous avions une baguette. Et on tentait, vainement, de lui rendre ses pouvoirs. Ainsi donc m'étais-je rasé le crâne : je ne voulais pas qu'on me reconnaisse grâce à ma couleur de cheveux. Je ne voulais pas causer de soucis à ma douce mère. On nous prenait pour des voyous, mais nous étions tout simplement pressés de rejoindre nos frères et sœurs déjà à Poudlard.
J'allais avoir onze ans dans quelques mois, et ce jour là, après avoir raconté mes soucis à mon père, un grand sourire se dessina sur son visage. Les petits roux étaient autour de la grande table en bois. Et mon père tira de sa poche une lettre. « Nous l'avons reçu ce matin. » Je me jetais dessus. C'était la lettre de Poudlard. Je l'ouvrais avec empressement et la lisais à voix haute, et plus la fin approchait, plus ma parole se transformait en un cri d'excitation.

COLLÈGE DE POUDLARD, ÉCOLE DE SORCELLERIE

Directeur : Albus Dumbledore
Commandeur du Grand-Ordre de Merlin
Docteur ès Sorcellerie, Enchanteur-en-chef, Manitou suprême de la Confédération internationale des Mages et Sorciers

Cher Mr Weasley,
Nous avons le plaisir de vous informer que vous bénéficiez d'ores et déjà d'une inscription au collège Poudlard. Vous trouverez ci-joint la liste des ouvrages et équipements nécessaires au bon déroulement de votre scolarité.
La rentrée étant fixée au 1er septembre, nous attendrons votre hibou le 31 juillet au plus tard.
Veuillez croire, cher Mr Weasley, en l'expression de nos sentiments distingués.

La Directrice-adjointe.


Je me jetais au cou de mon père et embrassais mes frères et sœurs. Puis je sortais, et courais jusqu'à mon balai. J'allais annoncer la nouvelle à ma mère qui laissa échapper quelques larmes, et le lendemain, ce fut celles de mon ami Tom qui coulèrent, lorsqu'il se rendit compte qu'il serait désormais le seul à rester à Godric's Hollow. Car la bande de têtes chauves que nous étions, avions tous reçu notre lettre la veille. Poudlard m'a sauvé de l'ennui. Mais m'a aussi rapproché de mes frères et sœurs, et éloigné de mon beau-père.
Ce fut ma mère qui m'emmena sur le chemin de Traverse pour faire mes courses de rentrée. J'avais, autrefois, accompagné mon grand-frère pour la même chose, mais fasciné par les gens étranges qui s'y baladait, je n'avais en aucun cas fait attention aux achats. On prit tout d'occasion, et j'appréciais cette odeur de vie, d'ancien qui émanait de mes affaires. Mon père m'offrit une chouette, que j'appelais alors Luna. Cette chouette qui mourra neuf ans plus tard, par la maladie des pigeons d'Afrique. - C'est par un chaton roux tigré appelé Oggy que fut remplacé ma Luna. - Quoiqu'il en soit, ce fut une baguette en Crin de Licorne et bois de Sureau, de 33cm qui décida de se lier à moi lorsque nous allâmes chez Ollivander. J'étais heureux, plus que heureux. J'avais laissé repousser mes cheveux roux, et fus heureux de voir qu'il en avait été de même de mes anciens compagnons chauves. Je les présentais d'ailleurs à ma mère, qui les accueillit à bras ouvert.
Le 1er Septembre de cette même année, quelques semaines après ces longues courses sur le chemin de Traverse, je me trouvais dans le Poudlard Express, prêt à commencer ma vie et mes études, et prêt à rendre ma mère fière de moi.



16 ans : Godric's Hollow. L'attaque sauvage.
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C'était les vacances de Noël. J'étais donc retourné à Godric's Hollow pour l'occasion. Mon grand-frère, lui, avait fait le choix de rester à Poudlard, trop occupé dans ses devoirs. C'était ma période préférée, pas pour les cadeaux, mais pour l'esprit familial et magique. Ma mère, chaque année, m'attendait, bras ouverts, avec dans ses mains mon calendrier de l'avent magique qu'elle avait soigneusement préparé. Je venais d'avoir seize ans. Et les résultats de la BUSE étaient tombés. J'avais eut Optimal à toutes les matières. Ainsi donc m'étais-je attendu à un bel accueil.
Mais lorsque j'étais descendu du Poudlard Express, le visage de ma mère était ravagé par une expression que je ne lui connaissais pas. Elle avait pleuré. Je la prenais dans mes bras, et elle s'effondra en larmes. On ne parla pas du trajet. Puis, une fois arrivé à Godric's Hollow, elle prit une longue inspiration. « Amos, beaucoup de choses ont changé... » Je tournais la tête vers elle, sur le point de lui demander ce qui se passait, mais l'apparition de mon beau-père m'enleva les mots de la bouche. Il marchait avec une canne, l'air affaibli. Je descendais de la cheminée par laquelle nous étions rentrés, et m'avançais vers Eric. Il s'affala sur une chaise et jeta sa canne. Il avait une histoire à me raconter. Mais cette histoire là était bien différente de toutes les autres. Elle était vraie, et difficile à dire. Eric était parti pour une mission pour le ministère de la magie, et il était tombé sur un loup-garou. Ce dernier l'avait mordu et Eric n'avait rien pu faire pour le combattre. Ce fut un de ses amis qui assena un sort qui assomma le loup-garou, et ils purent tous deux repartir pour le ministère. Il souffrait, il se transformait. Et le ministre avait donc décidé de lui retirer ses fonctions pour un temps, afin qu'il puisse s'habituer à cette nouvelle vie. Eric était détruit. Cela faisait donc quelques semaines seulement que mon beau-père était ainsi, et ma mère ne s'en remettait pas. Le soleil se couchait, et je regardais alors le ciel. La lune n'apparaissait pas encore dans sa totalité.
Ainsi, nous fêtâmes Noël dans l'inquiétude et la crainte.
La veille de mon retour à Poudlard, je fus réveillé par des cris. Je sautais donc de mon lit et allais rejoindre ma mère. Mon beau-père criait, se tordait dans tous les sens. Ses yeux étaient envahis d'un atroce regard animal, et ses membres s'étiraient longuement et dangereusement. A mesure que les poils apparaissaient sur son corps meurtrit, l'homme que ma mère aimait disparaissait. Je pris sa main et la tirais en arrière. Nous devions fuir. Mais l'amour qu'elle avait pour lui l'en empêcha. Elle voulait l'aider, mais il n'y avait rien à faire. Il arrêta de hurler, poussant des petits glapissements. Puis lorsqu'il se retourna, un monstre se présenta à nous. Il courait après nous dans la maison, j'attrapais ma baguette et la tenais fermement dans ma main. Mais ma mère traînait derrière moi. « Mon amour. Eric, c'est moi! C'est nous... » J'attrapais à nouveau ses deux mains et la tirais un peu plus fort avant de nous enfermer dans ma chambre. Je pris sa tête entre deux mains et lui lançais en la forçant à me regarder dans les yeux : « Maman, ce n'est plus lui! » J'attrapais un bout de papier, une plume et écrivais en panique : "S.O.S. Eric Jugesdore loup-garou. Fenrir-Amos Weasley & Mme Jugesdore en danger." Je l'accrochais à la patte de Luna et la lançais par la fenêtre. Je regardais sa silhouette s'envoler dans les airs. Ma mère pleurait et sursautait à chaque nouveau coup de mon beau-père contre la porte de ma chambre.
Puis les bruits cessèrent. On l'entendit glapir à nouveau. Et enfin, dans un rugissement terrifiant, il enfonça la porte et se releva sur ses deux pattes en nous regardant. Il s'apprêtait à s'attaquer à ma mère lorsque je m'interposais et criais : « Stupéfix! » Il fut projeté contre le mur. Mais le sort n'était pas assez puissant pour une bête comme lui, et lorsqu'il se releva, il plongea sur ma mère qui s'était alors avancée, inquiète. Je le vis planter ses crocs dans son bras et lui déchirer le dos de ses grosses griffes. Ma mère poussa un cri. Je criais alors, les larmes roulaient sur mes joues. Je me jetais sur lui et il se mit à gigoter dans tous les sens. Ma mère ouvrit grand les yeux, attrapa sa baguette et me lança le sort d'entrave, en me maintenant en l'air, de manière à ce que le loup ne puisse pas m'atteindre. J'assistais donc à la mort de ma mère,  tuée par l'amour. Et puis, alors qu'elle s'apprêtait à pousser son dernier soupir, des gens arrivèrent, et encerclèrent le loup qui avait lâché sa proie. Il fut enchaînée et envoyé je ne sais où. Et ma mère qui respirait encore, me regardait. Et je pus voir échapper de ses lèvres un "Je t'aime" d'adieu.


16 ans : Salle spéciale - Hôpital Ste-Mangouste, La séparation
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A mon réveil, mon grand-frère se trouvait là, les yeux embués de larmes. Il y avait autour de lui des boîtes de Chocogrenouilles. Il se jeta presque sur moi lorsque mon regard se posa sur lui, et attrapa ma main. Il pleurait à nouveau. A chaudes larmes. Je me relevais et observais la pièce lumineuse dans laquelle je me trouvais. Ste-Mangouste. C'est alors que tout me revint, et je criais alors en me levant précipitamment de mon lit  « Où est maman?! » Il ne répondit rien et s'écroula au sol, ses sanglots redoublèrent d'intensité. Mon cœur se serra. Je manquais d'air, et la pièce semblait tourner autour de moi. « Non... Non... » J'ouvrais la porte. Mon frère m'appelait, mais je m'en fichais. Je courais dans l'hôpital, à la recherche de la femme qui m'avait donné la vie. C'est alors que je reconnus un des hommes qui était venu à notre secours. Lorsqu'il m'aperçut, il se posta devant une porte, l'air angoissé. Elle était là.. Je me jetais sur lui et tentais de le pousser. Il ne bougea point et couina de sa voix grave : « N'entre pas mon enfant... » Je le poussais à nouveau et il se poussa enfin. J'ouvrais la porte et il entra derrière moi. Plusieurs lits étaient disposés dans la vaste pièce. Les rideaux étaient tirés, ainsi, ne pouvais-je pas voir les patients. Au fond, à droite, plusieurs médecins se trouvaient agglutinés autour d'un lit. Je courais alors et les poussais un à un pour atteindre le lit. « Maman! » Criais-je désespérément en atteignant le pied du lit.
Elle était là, étendue sur le dos, marmonnant je ne sais quelle parole. Je crus tomber. J'aurai voulu mourir. Son visage, autrefois magnifique, était recouvert de poils bruns. Je ne la reconnaissais plus. Ses cheveux roux avaient disparus sous l'épaisse couche de fourrure. Elle était attachée. Et je voyais encore la marque de sa morsure qui était refermée. Elle n'était plus que des petites traces brunes sur sa peau de porcelaine. Je m'effondrai sur elle, et plongeais mon visage dans sa fourrure, à la recherche de son parfum fleurit. Mais je n'en trouvais qu'une odeur de bête. L'homme qui s'était trouvé devant la porte m'attrapa par la taille et me tira loin d'elle. Car elle avait ouvert les yeux et reniflais à présent. A la recherche d'une proie. Ma voix, mes cris, mes pleurs s'évanouissaient dans la vaste pièce. Un silence de mort y régnait. Tous me regardaient, comme s'ils partageaient ma douleur. On me tirait hors de la pièce. Il fallut plusieurs personnes pour me retenir.
Ma mère resterait là pour toujours. Dans la salle spéciale de Ste-Mangouste. Ils n'ont jamais su expliquer cette apparence de loup-garou qui avait ravagé le visage de ma mère. Mais la folie l'avait envahit, la rendant ainsi plus dangereuses que bien d'autres loup-garous en période de pleine lune. A chaque pleine lune, on l'enferma dans une pièce, surveillée par des Aurors du ministère de la magie. Elle ne répondait plus à rien, ne reconnaissait plus ses enfants. Eric, mon beau-père, fut envoyé à Azkaban où il fut condamné à y finir ses jours. En refusant de s'éloigner de nous, comme il était censé le faire, il avait enfreint une règle très importante et avait entraîné la perte d'un être humain. L'évènement fit les gros titres pendant quelques semaines, avant de s'évanouir. Mais cette nuit marqua mon corps et mon cœur comme jamais. J'avais perdu ma mère, et tout espoir.


19 ans : Pré-au-lard, La folie destructrice.
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La mort. La mort ne venait pas, et pourtant je la provoquais. Cela faisait trois ans que ma mère n'était plus elle-même, trois ans que ce sentiment d'avoir perdu tout ce qui comptait à mes yeux faisait rage en moi. Trois ans de silence, de souffrance. Je n'arrivais plus à vivre, je devenais exécrable, hautain, mauvais. Rien ne pouvait apaiser cette douleur qui faisait rage. Et lorsqu'elle était trop forte. Je quittais Poudlard. La cabane Hurlante semblait être le seul endroit où je semblais retrouver une partie de moi-même. Je ressentais la mort à chaque instant. Je l'avais vu. Je voyais des choses que d'autres ne pouvaient pas voir. Les Sombrals m'apparaissaient comme les plus belles créatures du monde magique. Ma chouette mourrait, elle aussi. Comme si elle ressentait ce qui déchirait mon fort intérieur. L'alcool, je le respirais, je le recrachais. Le vice, l'interdit, me permettait de vivre. Encore un peu. Avant de plonger vers la mort. Mais rien ne s'arrangeait. Non rien.
Cette folie, visible, qui me détruisait, atteignait son apogée à chaque pleine lune. Traumatisé par l'évènement qui avait eut lieu trois ans plus tôt, chaque pleine lune me rappelait en détail ce malheureux soir où toute ma vie a basculé. J'étais connu pour être ivrogne, penché sur l'alcool qu'importe le temps, où les récents évènement. Je me réveillais avec le sang souillé, et je m'endormais ainsi. Mais je n'étais malade que ces soirs là. Je ne me montrais faible que ces soirs là. J'acceptais de pleurer, de montrer ce que je ressentais, parce que chaque pleine lune correspondait au moment où ma mère subissait les pires douleurs.


21 ans : Parc de Poudlard, Un combat contre soi-même
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Je me suis mit à défendre une cause indéfendable. Je voulais prouver que les loup-garous pouvaient être inoffensifs, et ainsi, permettre à ma mère de retrouver sa vie. Je voulais espérer, je voulais l'imaginer sortir de cette salle Spéciale, le visage débarrassé de tous ces poils. Qu'elle vienne vers moi, bras ouverts, et qu'enfin, je pourrai à nouveau plonger mon visage dans sa cascade de cheveux roux d'où s'étendrait ce parfum de fleurs qui a bercé mon enfance. L'espoir m'a fait vivre pendant quelques instants, quelques années. Je me suis battu, mettant de côté ce passé d'alcoolisme qui m'avait quelque peu détruit. Et puis, le malheur s'est abattu une seconde fois sur moi. Mais cette fois, je l'ai accepté avec la conviction que je réussirais à le dépasser, que ce ne serait un échec comme la fois précédente. La peste des Patronus. Elle s'est abattue sur Mogwai et moi, et la peur nous a paralysé. Je l'aimais, et il était hors de question que je le perde aussi.
Même si les crises nocturnes n'ont pas cessé, cette peste a ôté toute la force qui me restait. Désormais au second stade de la maladie, je tente de garder espoir. Mais je sais que rien ne sera jamais aussi simple dans ma vie.

Caractère:
▲ FENRIR-AMOS THEO WEASLEY

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Dernière édition par Fenrir-Amos T. Weasley le Jeu 5 Fév - 19:54, édité 2 fois
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Message Re: Fenrir-Amos - Screaming the name of a foreigner's god
par Invité, Jeu 5 Fév - 14:24 (#)
« Si l'amour embellit les femmes, les femmes, elles, embellissent l'amour. »






Ashley Londubat
AMOUR ☼Ashley et Amos se connaissent depuis toujours. Enfants ils jouaient ensembles dans les champs du Terrier, et malgré toutes les épreuves de la vie, ils ne se sont jamais séparés. Ashley a toujours été présente pour Amos après l'internement de sa mère, mais c'est lorsque la peste des patronus a touché Amos qu'ils se sont rendus compte de ce qu'ils éprouvaient l'un pour l'autre. La distance, l'absence et le manque les ont réunit. Depuis, Amos qui ne pensait pas pouvoir tomber amoureux un jour, ne jure que par Ashley.
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Nora L. Weasley
DEMI PETITE-SOEUR ☼ Ils n'ont pas toujours vécu ensembles, néanmoins leurs relations ont toujours été des plus fraternels. Nora est la dernière de la famille Weasley, ainsi, de nombreuses années les sépare. Mais des choses les rapproche. Ils s'adorent et aiment passer du temps ensembles. Ils sont très complices.
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Gisèle J. Diggory
AMIE D'ENFANCE ☼ Gisèle et Amos se connaissent depuis toujours. Enfants, ils jouaient ensembles lorsque Gisèle allait rendre visite à sa cousine, qui habitait non loin du Terrier. En grandissant, Amos s'est éloigné d'elle, gêné par les préjugés amitié fille-garçon. Et puis Amos a perdu sa mère, sa famille, sa stabilité et il s'est renfermé sur lui-même, incapable d'exprimer le moindre sentiment. UCdiv>
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Prism M. Ollivander
LIEN ☼ LIEN LIEN LIEN LIEN LIEN LIEN LIEN LIEN LIEN LIEN LIEN LIEN LIEN LIEN LIEN  LIEN LIEN LIEN LIEN LIEN.
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Lucy O. Shacklebolt
AMOUR ☼LIEN LIEN LIEN LIEN LIEN LIEN LIEN LIEN LIEN LIEN LIEN
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Malinda E. Foxburr
DEMI PETITE-SOEUR ☼ LIEN LIEN LIEN LIEN LIEN LIEN LIEN LIEN LIEN LIEN LIEN LIEN LIEN LIEN LIEN LIEN
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Ambroise L. Montaigu
UC ☼ LIEN LIEN LIEN LIEN LIEN LIEN LIEN LIEN LIEN LIEN LIEN LIEN LIEN LIEN LIEN LIEN LIEN LIEN LIEN LIEN .
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Madison E. Jenkins
LIEN ☼ LIEN LIEN LIEN LIEN LIEN LIEN LIEN LIEN LIEN LIEN LIEN LIEN LIEN LIEN LIEN  LIEN LIEN LIEN LIEN LIEN.
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Syeira M. Devereaux
NATURE DU LIEN ☼LIEN LIEN LIEN LIEN LIEN LIEN LIEN LIEN LIEN LIEN LIEN
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Ezther C. Bishop
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Dernière édition par Fenrir-Amos T. Weasley le Ven 13 Fév - 19:59, édité 5 fois
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Message Re: Fenrir-Amos - Screaming the name of a foreigner's god
par Invité, Jeu 5 Fév - 14:24 (#)
« Les maximes des hommes décèlent leur coeur. »






Alexandre E. Queen
LIEN ☼LIEN LIEN LIEN LIEN LIEN LIEN LIEN LIEN LIEN LIEN LIEN
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Nom du personnage
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Nom du personnage
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Nom du personnage
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Dernière édition par Fenrir-Amos T. Weasley le Ven 13 Fév - 18:48, édité 3 fois
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Message Re: Fenrir-Amos - Screaming the name of a foreigner's god
par Invité, Jeu 5 Fév - 14:52 (#)
Salut beau gosse Chou
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Message Re: Fenrir-Amos - Screaming the name of a foreigner's god
par Invité, Jeu 5 Fév - 15:29 (#)
Moi aussi je veux bien Haww
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Message Re: Fenrir-Amos - Screaming the name of a foreigner's god
par Invité, Jeu 5 Fév - 18:11 (#)
Moi aussi alors Yeah! A ce qui parait, les Diggory et les Weasley s'entendent plutôt bien Yeah! J'ai cliqué juste parce que j'ai vu que tu avais ajouté Fenrir à ton nom, ça m'a fait bizarre lol. Tiens d'ailleurs, j'étais pas passée chez Lutan moi ?
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Message Re: Fenrir-Amos - Screaming the name of a foreigner's god
par Invité, Jeu 5 Fév - 18:54 (#)
Ashley : Aaaaaah Chou Notre rp va pouvoir se faire Yaaa Mais du coup faut revoir notre lien puisque Amos n'est pas un loup du coup Hum

Alexandre : Oh ouiiii! Avec lequel de tes persos? Tous ou juste Alex? Daengelo

Gisèle : Huuum.... Je crois que oui tu étais passé sur la fiche de Lutan mais on avait pas décidé de lien. Mais on peut en parler maintenant! Et oui, les Diggory & les Weasley se connaissent et sont amis. Mais comme Amos n'a pas beaucoup vécu avec son père, on peut dire que Gisèle était une connaissance avant d'arriver à Poudlard, ou alors qu'il la connaissait vraiment petit, quand il vivait au Terrier. Et puis quand il est parti vivre à Godric's Hollow avec sa mère et son beau-père, il l'a perdu de vue. Ca peut déjà faire un bon départ Yeah!
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Message Re: Fenrir-Amos - Screaming the name of a foreigner's god
par Invité, Jeu 5 Fév - 18:57 (#)
C'est une bonne idée ! Gisèle était toujours fourrée chez sa cousine qui habitait près du Terrier alors ça peut le faire ! Ils se connaissaient tous petits mais ne se sont pas revus ensuite oui !
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Message Re: Fenrir-Amos - Screaming the name of a foreigner's god
par Invité, Jeu 5 Fév - 19:03 (#)
Et lorsqu'ils se retrouvent à Poudlard, qu'Est-ce qu'il se passe? Comment réagit Gisèle face à l'agression de la mère d'Amos, et au changement de comportement d'Amos qui devient particulièrement sombre et renfermé?
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Message Re: Fenrir-Amos - Screaming the name of a foreigner's god
par Invité, Jeu 5 Fév - 19:24 (#)
Je m'étais trompée j'avais lu l'histoire de Lutan en premier. Putain l'histoire d'Amos m'a foutu le bourdon Fenrir-Amos - Screaming the name of a foreigner's god 307273211 Le pauvre Fenrir-Amos - Screaming the name of a foreigner's god 307273211 Forcément, Gisèle a appris et a été sous le choc. Surtout qu'étant petite, une femme comme ça elle l'aurait kiffée. Du coup, Gisèle n'aurait certainement pas repoussé Amos malgré son nouveau comportement loin de là la connaissant Hum
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Message Re: Fenrir-Amos - Screaming the name of a foreigner's god
par Invité, Jeu 5 Fév - 19:59 (#)
Oui, c'est très triste TT Ah super alors. Après je comprends pas, ils ont le même âge mais pourquoi Gisèle est en huitième année? Hum Parce que Amos pourrait compter sur elle, de temps à autre. Se sentir rassuré par sa présence, mais sans pour autant le manifester. Avoir quelqu'un qu'il connaissait petit, quand il avait encore ses deux parents sous le même toit, pourrait lui faire du bien, se sentir "protéger". Mais pour autant, il ne se montrerait pas chaleureux avec Gisèle, bien qu'elle compte à ses yeux bien plus que ce qu'il peut faire croire Daengelo
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Message Re: Fenrir-Amos - Screaming the name of a foreigner's god
par Invité, Jeu 5 Fév - 20:11 (#)
Gisèle vient seulement d'avoir ses vingt ans là le 25 décembre. Hum Du coup elle est rentrée à l'école l'année scolaire suivant ses onze ans. C'est bizarre tout le monde me demande ça mais on a recalculé plusieurs fois avec Quinn pour être dans la bonne année Hum

Ben elle elle n'a pas changé depuis qu'elle était toute petite, elle est toujours douce, altruiste, tactile, gentille, honnête Hum

Alors vu qu'il a changé en pleine année scolaire, comment tu vois leur relation d'avant et celle d'après ? Ce qui est certain en tous cas, c'est que Gisèle n'est pas du genre à lâcher quelqu'un. Et même s'il n'est pas chaleureux, elle elle l'est beaucoup Robert47cm
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Message Re: Fenrir-Amos - Screaming the name of a foreigner's god
par Invité, Jeu 5 Fév - 20:27 (#)
Bah ouais mais Amos est de novembre, donc il a un an de plus que Gisèle et il est en onzième année Oo Va falloir recompter tout ça. Fin bref...

Ben Amos était vraiment ouvert, gentil, drôle, populaire. Il avait tout pour lui, et puis la perte de sa mère l'a rendu plus sombre, distant, moins amical. Du coup, il aurait pu traîner avec elle, mais sans plus, parce qu'après tout elle est plus jeune, et puis c'est une fille (préjugé amitié fille/garçon). Et puis après l'accident, il se serait rendu compte qu'on s'en fout de l'âge, des différences. Qu'en la présence de Gisèle, il serait plus calme. Juste parce qu'il sait qu'elle est là, et ça le relie au passé. Mais il est trop fier et trop borné pour faire un pas faire les autres.
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Message Re: Fenrir-Amos - Screaming the name of a foreigner's god
par Invité, Jeu 5 Fév - 20:35 (#)
Oui arrivés à l'école il y aurait certainement eu une distance. Ils se seraient dit bonjour, auraient pu se parler de temps à autres mais c'est tout. Mais par contre oui après l'attaque forcément elle serait allée le voir, rien que pour le prendre dans ses bras. Oui, elle est comme ça GI. Nan mais c'est pas grave qu'il soit trop fier pour faire le premier pas. Gisèle elle a pas ce genre de fierté mal placée. C'est elle qui viendra le voir. Et d'ailleurs, il se pourrait peut-être même bien qu'elle se soit énervée contre lui un jour tiens Hum ,Un jour où elle l'a trouvée dans un état d'ébriété certain Hum Gisèle s'énerve pas souvent, ça aurait pu être amusant hihi
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Message Re: Fenrir-Amos - Screaming the name of a foreigner's god
par Invité, Jeu 5 Fév - 20:42 (#)
Ah ouais bonne idée! Parce que Amos et sa bouteille, ahlala, même son patronus peut rien y faire!
Mais j'aime beaucoup Chou
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