Pseudo : Wyall N. Stewart
Maison : Poufsouffle
Poste Souhaité : Batteur 2
Mise en Situation : Sujet 2

Wyall était dans les vestiaires de Poufsouffle, sa tenue jaune, son balai à la main. Il ressentait deux émotions à la fois, le stress et la rage de tout déchirer. Aujourd'hui c'était son premier match, contre les Serpentards en plus. On raconte que ce sont des durs, qui trichent mais, le nouveau batteur des jaunes ne contait pas se laisser abattre si facilement. En dessous, il avait enfilé un gros pull d'hiver car, les gouttes d'eau étaient grosses et glaciales. Il regarda le capitaine et l'attrapeur entrer dans le terrain. Lui et l'autre batteur suivirent, laissant les trois poursuiveurs en dernier. Il sauta plusieurs fois sur places, remua les bras, la tête avant d'enfourcher son balai tout neuf. Des banderoles étaient levées dans le ciel, représentant soit le blaireau de Poufsouffle ou alors le serpent de Serpentard suivi d'un signe étranger aux yeux de Wyall. La tête baissée vers le bas, il fixait le souaffle que l'arbitre tenait dans ses mains, les cognards venaient d'être lancé, suivi du vif d'or.
« Aujourd'hui s'affronteront Poufsouffle et Serpentard. Le souaffle est libéré, que le match commence ! »
Un coup de sifflet brute retentit, tous les joueurs filèrent vers le souaffle, les gardiens vers les buts qu'il devait défendre. Il laissa un cognard foncer droit vert le camp adverse puis un autre batteur le renvoya vers lui. Il l'esquiva mais, dans le choc se déséquilibra de son balai comme si c'était la première fois qu'il montait sur un balai de quidditch. Comment avait-il pu faire ce geste horrible ? Wyall repensa aux entraînements des Pouffy, il avait fait preuve d'agilité, de calme et de vitesse. Pourquoi ça ne faisait pas effet ici, au beau milieu du match ? Le jeune sorcier se ressaisit, il n'était pas faible, c'était un sorcier ! Son sang de né moldu n'avait rien avoir la dedans, il était admis dans l'équipe, il avait un don. Regardant alors ce qui ce passait avec le souaffle, il eu le temps de voir qu'un boulet fonçait droit vers Emily. Il vola rapidement et de sa batte, frappa dans la balle. Une voix qu'il connaissait s'éleva alors, c'était un élève de gryffondor qui parlait. De l'autre bout du terrain, criant dans son parlophone, tout le monde l'entendit et la tête du capitaine des serpents réprimait une haine totale et une crainte de défaite.
« Dix points pour Poufsouffle grâce à Blue ! Attention, le match n'est pas encore fini. »
Puis se fut à son co-équipier de se défouler un peu. Surtout que tout les deux, ils essayent de réduire le nombre de joueur chez les vers. De loin, Wyall remarqua les mains serrées venant des tribunes de Poufsouffle et de Serpentard. Aucun but ne fut pris pour les poufsouffle qui menait zéro-septante. A chaque fois qu'on marquait, on avait dix points. Et le match continua, continua, presque trop vite pour Wyall qui était content d'écraser les Serpy. Soudain, il y eu comme un grand mouvement, l'attrapeur adversaire était en route vers le vif d'or, détrônant Loup R. Raven. Le jeune joueur eu alors une folle idée. Si il touchait Castiel, Loup aurait tout son temps pour attraper le vif d'or.
« Touchons Castiel ! »
Le message fut passé presque dans toute l'équipe. Malheureusement, un serpentard l'avait aussi entendu. Mais Wyall réussis à avoir un cognard à sa suite. Avant qu'il ne puisse l'envoyer vers sa cible, il se retourna, alarmé par les cris de joie et de honte. Loup avait attrapé la petite balle jaune à ailes, il la tenait dans sa main.
« POUFSOUFFLE GAGNE »

Pseudo : Aphrodite Perséphone De Sade
Maison : Serdaigle
Poste Souhaité : Poursuiveuse (je le fais pour combler l'équipe des serdaigle, mais avec Castiel chez les serpys je comprendrais que ce soit refusé :oops: )
Mise en Situation :

Les vestiaires étaient pleins à craquer. Tous les joueurs se bousculaient, en effervescence face à ce match qui approchait. Perséphone était assise, face à son casier. Déjà prête à entrer en jeu dans son uniforme de Poursuiveuse. Les cheveux lâchés, dansant dans le vent. Elle prit une profonde respiration, c'était son premier, oui son premier match dans l'équipe des Serdaigles. En France il lui arrivait déjà de jouer avec sa famille bien que généralement, les filles de la famille De Sade ne pouvaient s'approcher d'un balais. Persé s'en foutait, elle se sentait bien dans les airs. Ça y est, les joueurs sortaient des vestiaires, Persé saisit le manche de son balai, le meilleur balai sur le marché français. Élégant et féminin. Mais aussi rapide que l'éclair. Une fois sur le terrain, elle balayait les gradins du regard. Elle n'avait pas le tract, elle était habitué à être sous les feux de la rampe. Elle grimpa sur son balai et décolla dans les airs. Entouré des autres joueurs, elle prit un moment d'adaptation, tentant de cerner les défauts de chacuns d'entre eux. Puis elle vit Samaël. Elle lui sourit en coin.

"Donnez le meilleur de vous même !"

La demoiselle chuchota un léger "compte là dessus" avant d'accélerer dans les airs, slalomant entre les adversaire et attrapant le Souaffle avant l'autre équipe. Elle fit le tour du terrain. Cherchant de ses yeux vifs et habiles. La française croisa le regard de Lennon et elle hocha la tête, pour prévenir sa coéquipière de l'arrivée du ballon presque rond. Elle le lança de toute ses forces, le voyant filer face à elle et se faire réceptionner d'une main de maître par Lennon.

Perséphone fonça de nouveau vers les buts, évitant de justesse un cognard. Et alors que le Batteur de l'équipe adverse se préparait à tirer sur Lennon, Perséphone déclencha son pouvoir de vélane. Attirant ainsi le regard du Batteur. Juste quelques secondes avaient suffit pour que Lennon puisse envoyer le Souaffle à Alan qui lui même marqua un but grandiose.

Ce qu'elle avait fait était interdit, elle le savait. Mais elle ne le faisait pas souvent, juste dans des cas d’extrême urgence...où quand le batteur en question s’appelait Magnus Sznjerdmann.

Les entraînements dirigés par Samaël avaient porté leurs fruits, et il ne fallut pas très longtemps pour que la stratégie de l'équipe surpasse celle des gryffondors. Perséphone enchainait buts et passes réussies. Alors que les batteurs faisaient leur possible pour éviter que les serdaigles ne soient blessés. D'ailleurs Perséphone vit l'un des deux cognard foncer sur elle, légèrement trop tard. Elle dut virer à gauche violemment, trop presque et partit à la dérive. Quelques secondes qui lui semblèrent des minutes passèrent avant que son balai ne retrouve son équilibre et ne la sauve de justesse du crash. La française ferma les yeux, se remettant de ses émotions et puis, une fois le choc passé. Elle s'éleva de nouveau dans les airs afin de récupérer le souaffle que lui lançait Alan. Le match aboutit par une victoire des Serdaigles. Ce fut une véritable fête dans les vestiaires de l'équipe, et encore plus dans la salle commune. Persé savait maintenant qu'elle avait sa place dans cette équipe. Après tout, on peut-être belle et bonne en quidditch.

Acceptés

Pseudo : Maxime I. Mordoch
Maison : Serdaigle
Poste Souhaité : Gardienne
Mise en Situation : Sujet 2.

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Je suis prise, mais ...

Un premier coup de langue, je me retourne, grognant que l'on me réveille. Un coup de museau, je me retourne une nouvelle fois et ouvre un œil. « Fôve, arrête. » Et je tire ma couverture sur la tête. Quand Föve est décidée, elle ne s'arrêtera pas. La preuve, elle se dirige au pied de mon lit … Et tire ma couverture. « Grrr … Föve, je te déteste quand tu me fais ça ! » Je me met assise dans mon lit, les yeux à peine ouvert, ne comprenant pas pourquoi elle veux tant que ça que je me lève. Surtout que l'on est le week end, on est samedi. « MINCE ! » Déclarais-je en sautant du lit. Bien sûr, aujourd'hui c'est la sélection pour le quidditch, voilà pourquoi ma louve voulait tant que ça que je sorte de mon lit. Alors je trottine me préparer, cheveux attaché en un chignon fait à la va vite, une bonne écharpe, un bon pull et un bon pantalon, de vieille chaussure et je cours au terrain, suivis de Föve qui avait l'air drôlement ravie que je me sois levée.

J'arrive, déjà toute essoufflée sur le terrain. Il y a beaucoup de monde, après, sont-ils tous là pour le même poste ? Je ne pense pas. Mais je ne penses pas non plus être la seule pour le poste de gardienne. Très peu de fille, beaucoup de garçons. Matchos ? Je ne penses pas, il vrai que autant moldus que sorciers, avant, beaucoup de sports étaient pour les garçons, alors doucement, les filles arrivent, mais très peu osent pour le moment. Parce que finalement, le Quidditch peut être plutôt dangereux, avec les cogneurs … Mais pour moi, ce n'est qu'un détail. Je souhaite réellement faire parti de l'équipe. Un rêve secret ? On peut dire ça. « Ceux qui veulent être gardiens, préparez-vous ! ». Le capitaine avait parler. Balais en main, J'attendis que Samaël me demande d'aller devant les anneaux. Simple, il fallait que j'arrête la balle. Simple à dire. Mais à faire … Je croisais les doigts finalement.

La première, arrêtée. Coup de chance peut être, il fallait voir par la suite. La deuxième et troisième ratées. En bref, je ne pensais pas que j'allais être prise. J'avais commencé à baisser les bras, j'étais peut être pas faite pour le quidditch au final. Mais je me ressaisis rapidement, lorsque la prochaine arriva rapidement et que de peu, je l'arrêta. Je releva la tête en souriant, regardant la balle repartir au centre du terrain. Puis le capitaine m'envoya encore quelques balles que j'arrêtai toutes. Lorsque je remis pied à terre, j'étais un peu plus rassurée. Avec un peu de chance, j'allais, peut être, être prise.

Le temps que les autres passent, j'étais assise dans mon coin, Föve à mes pieds, je buvais un peu d'eau. Et à vrai dire, pendant quelques heures, je regardais les autres, depuis mon petit coin, passer leurs épreuves pour faire, comme moi, parti de l'équipe. Puis, les sélections étaient finies. Le capitaine demanda à tout le monde de se rassembler, et nous expliqua que ceux qu'il allait appeler, allait être les personnes sélections pour faire parti de l'équipe. « Lennon, Perséphone et Alan, poursuiveur. » Les trois personnes appelées sautèrent de joie, heureux de rejoindre l'équipe. Samaël continua à appeler « Maxime, gardienne. » J'ouvris grand les yeux. Que … Quoi ? Je suis prise ? Je baisse le regarde vers Föve qui s'était relevé en me voyant agir. Elle me fixa et, dans une poussée de joie, elle se releva sur ses deux pattes arrières et posa ses pattes avants sur mes épaules. Et … BOUM. J'étais au sol, mon patronus sur moi me léchant le visage. Derrière, quelques rires. Je tourna la tête en même temps que ma louve, c'étaient les poursuiveurs qui venaient vers nous. « Félicitation Maxime ! » Que Lennon et Alan m'avaient dit avec un immense sourire. Quant à Perséphone, elle m'avait dit « Bienvenue dans l'équipe Gardienne ! » Mon rêve s'était réalisé.

Mais après la joie, les doutes. Oui, j'étais réellement heureuse de faire parti de l'équipe, mais … Mais si pendant un match, avec le stresse, je laisse passer toute les balles ? Ils vont tous me détester et tous me pourrir. Peut être qu'ils feront tout pour que je parte, pour que je quitte l'équipe. Peut être qu'ils feront tout pour que je me sente aussi mal que la première fois ou j'avais trop bu. Peut être que si à cause de moi, ils perdent un match, il ne voudront plus de moi en gardienne. Föve se frotta à moi. Elle savait que j'avais peur. Alors elle voulait me réconforter. Elle, savait que je pouvais y arriver, mais moi, je n'en étais pas convaincu ...

Pseudo : S. Charlie Evenwell
Maison : Serdaigle.
Poste Souhaité : J'ai longueument hésité puis finalement... j'ai choisi d'être batteuse car cela correspond plus au caractère de Charlie et ainsi, elle pourra tout vous défoncer la tronche à coup de batte...
Mise en Situation : Sujet 2.

Ferme les yeux. Décontracte-toi. Ne pense plus à rien. Fais le vide, oublie. Oui, oublie le temps, oublie tout ce qui fait de toi une personne différente. Aujourd’hui, tu n’étais pas simplement Charlie Evenwell, la jolie Serdaigle au regard perdu, à l’insouciance et à la fragilité d’une enfant. Aujourd’hui, tu étais Charlie Evenwell, membre de l’équipe de Quidditch de Serdaigle, batteuse. Le Quidditch était un sport qui - depuis que le monde magique t’avais été révélé – te fascinait. Rien que le fait de voler sur un balai, comme dans les contes de fées que tu écrivais autrefois, te rendait euphorique. Tu te souvenais de ton premier cours de vol donné par ton tuteur de l’époque. Tu avais encore du mal à contrôler tes pouvoirs et le vol était l’un des cours qui te permettait de canaliser ce flux de magie qui parcourait ton corps. Tu te remémorais le frisson que tu avais ressentit lorsque - dans les airs, de ton balai - tu pouvais contempler les environs et les champs qui s’offraient à toi à perte de vue. Tu avais eu cette impression que tout sorcier ressentait un jour : l’impression de pouvoir faire tout et n’importe quoi, l’impression de n’avoir aucune limite, de gouverner ce monde, ces personnes qui pensaient avoir le contrôle sur tes le moindre de tes faits et gestes. Il n’en était rien. Tu étais libre. Lorsque tu étais sur ton balai, tu étais libre de faire ce que tu voulais, ce dont tu avais envie, comme bon te semblait. Tu n’avais plus peur. Tu n’étais plus cette petite fille craintive qui, le soir, pleurait en silence par peur de s’endormir, par peur de faire ce même et stupide cauchemar que tu faisais chaque nuit depuis ta tendre enfance. Tu inspiras l’air frais, celui-ci s’engouffra dans tes poumons. Une sensation de chaleur envahit doucement ton corps, remplaçant l’euphorie par un douloureux mal de ventre. L’estomac noué, le stress grandissant, tu ouvris tes grands yeux bleus, déterminée à battre l’équipe adverse. Ce n’était qu’un match amical en vu du championnat qui débutait ce printemps. Ta sélection dans l’équipe n’avait pas été une évidence pour tout le monde. En effet, bien que tu ais 16 ans et que tu sois en cinquième année, cette année était la première que tu passais à l’école de magique d’Hogwarts. Tu avais été en tutorat ces deux dernières années, tentant de rattraper tant bien que mal le retard que tu avais pris sur tes camarades. Ta maladie ne t’avais malheureusement pas permis d’intégrer l’école auparavant. Les autres joueurs ainsi que le Capitaine t’avaient, au commencement, pensée trop fragile et trop inexpérimentée pour exercer un tel poste mais tu leurs avais montré que tu connaissais aussi bien ce sport qu’eux. Ton tuteur t’en avait expliqué les règles, les différents postes qui pouvaient s’offrir à toi. Tu avais, tout d’abord, été fasciné par le poste d’Attrapeur et bien que ta capacité à analyser les mouvements et ta patience étaient parfaite pour pourchasser le vif d’or, tu avais préféré le poste de batteuse qui semblait être fait pour toi. Ton tuteur avait pensé que c’était une bonne idée de t’enseigner les bases de ce célèbre sport magique : à l’aide d’une batte et de quelques balles inoffensives, tu avais rapidement atteint un bon niveau.

Perdue dans tes pensées, tu ne sentis pas la main de Samaël, ton capitaine, se poser sur ton épaule. Il te secoua légèrement, tu sursautas et te retournas, batte à la main. Il esquiva le coup que tu tentas de lui infliger par réflexe. Tu esquissas un sourire gêné, les larmes aux yeux, te répandant en excuse. Il se contenta simplement d’ébouriffer tes cheveux et de se pencher vers toi, un sourire rassurant que tu ne lui connaissais pas.

« Garde cette énergie pour le match et profite-en pour frapper quelques Serpentards au passage. – Il marqua une pause, tu soupiras, rassurée qu’il ne t’en veuille pas. – Et n’oublie pas, frappe les avec les cognards, ça vaut tous les coups de batte du monde, crois-moi.
D’accord, je vais faire de mon mieux. – Dis-tu, un grand sourire aux lèvres que seuls les membres de ton équipe de te connaissaient. Tu n’étais pas aussi démonstrative d’habitude. L’euphorie prenait doucement le dessus sur tout ce qui faisait de ta vie un enfer.
Je n’en doute pas, j’ai confiance en toi. – Il fit signe aux autres de le suivre. – Allez, viens, on y va. »

Tu pris la deuxième place de la file, derrière ton préfet. Tu n’avais pas le droit de le décevoir, tu n’avais pas le droit de décevoir tes coéquipiers, il était interdit que tu déçoives les élèves de ta maison. Tu devrais frapper avec toutes les forces que tu possédais, certes, mais tu devrais frapper juste. Atteindre ta cible de plein fouet. Le stress envahit alors chaque partie de ton corps, te faisant trembler comme jamais tu n’avais tremblés. Vous étiez désormais sur le terrain. Ton cœur se serra sous les applaudissements des élèves et des professeurs tandis que vous vous mettiez en place. Les deux capitaines au sol, une poignée de main bien ferme, un sifflement… Le match commença. Le vent s’engouffra dans tes cheveux, bien qu’ils aient été attachés au préalable. L’air était agréable à respirer par sa fraicheur d’hiver. Tout se mit en place. L’un des poursuiveurs Serpentards étaient en possession du souaffle, bien décidé à marquer. Tu cherchas le cognard des yeux. Repéré. Accélérant, tu te dirigeas vers celui-ci et d’un coup de batte bien placé, l’envoya vers le joueur adverse, il toucha de plein fouet l’épaule du vert qui lâcha le souaffle dans la seconde qui suivit l’impact. Cette saison promettait d’être excellente. Tu allais rejoindre ton capitaine qui t’adressas un sourire avant de lui-même se diriger vers un batteur ennemi, à pleine vitesse. Tu ne compris pas tout de suite puis l’information fut claire au bout de quelques secondes : ce n’était qu’une feinte. Rapidement, tu te dirigeas à nouveau vers le cognard qui se dirigeait vers l’attrapeur de ton équipe. Tu dévias sa trajectoire avec un puissant coup. Celui-ci se dirigea à pleine vitesse vers le batteur aux cheveux longs et bruns que venait d’atteindre Samaël. Celui-ci ne vit pas l’objet se diriger vers lui, l’imposante carrure de ton capitaine le cachant. Celui-ci eut tout juste le temps de se baisser.

Touché, coulé.

Pseudo : Ridley L. Devon
Maison : Gryffondor
Poste Souhaité : Poursuiveur 3
Mise en Situation : « Vous venez d'être sélectionnés ! Racontez nous votre tout premier match, vos émotions et vos appréhensions face aux joueurs plus expérimentés. »

Debout dans le vestiaire, reposée contre mon casier, le sourire aux lèvres j'entends déjà les bruits dans les gradins, je l'excitation monter en flèche parmi mes coéquipiers. J'aime cette sensation d'avant match, être attendu de tous, toutes les conversations, tous les regards sont tournés vers les joueurs de quidditch. On se sent vraiment briller, exister. Vêtue de ma tenue de poursuiveuse, mes longs cheveux blonds ramenés en une queue de cheval pour ne pas risque d'être gênée, je prends une grande inspiration. C'est bientôt le moment, mon premier match. Non, je ne pense pas être particulièrement stressée, peut-être un peu oui, mais c'est supportable. Non moi c'est l'excitation et l'adrénaline qui m'envahissent. Depuis que je suis au château je rêve de pouvoir monter sur le terrain, sur mon balai, je rêve de sentir cette sensation de peur, de fierté, de stress et d'adrénaline s'emparer de moi alors que chaque sorcier de l'école se retrouve autour de nous dans l'espoir de voir son équipe remporter. Je ne pensais pas y arriver. C'est vrai, après tout le plus part des sorciers du coin se sont entraînés depuis très jeune, par simple loisir pour la plupart, mais le résultat reste le même, ils ont pût se familiariser avec ce sport, avec le vol depuis très jeune, ou du moins en apprendre les règles et les stratégies pour ceux qui ne pouvaient pas user de leur balais. Mais moi, malgré mon statut de sang pur, je n'ai pas eu cette chance. Encore une fois je ne peux m'empêcher de haïr mes parents pour m'avoir cacher le monde magique, pour m'avoir privé de tout ce que ce monde peut m'apporter. Mais depuis que je suis ici j'ai tout fait pour rattraper mon retard, et même si certains cours me semblent tout aussi ennuyeux que ceux des moldus, le quidditch m'a toujours attiré et maintenant, maintenant j'y suis.

De ma main droite j'attrape mon balai et je sens cette impatience monter en moi, alors que l'arbitre annonce l'entré des équipes sur le terrain. Sans plus attendre j'enfourche mon balais et je fonce sur le terrain. Arrivée en haut j'observe chacun des adversaires un sourire amusé aux lèvres, mais tout de même un peu nerveuse. Alors que le coup de sifflet retentis sur le stade, je prends un peu de hauteur dans le but de repéré le souafle. Une fois chose faite je fonce en sa direction, profitant de cette sensation de liberté, ce sentiment de revivre provoqués par la vitesse et le vent frai qui fouette mon visage. Adrénaline. J'ai toujours aimé les sensations fortes et la compétition, je crois que le quidditch est vraiment fait pour moi. Profitant d'une passe plutôt longue entre les poursuiveurs adversaires, j'intercepte la balle rouge au vol, perdant un court un instant le contrôle de mon balais au passage à cause d'un mouvement trop brusque de ma part, avant de la renvoyer en direction de mes coéquipières un peu plus loin. Ne me préoccupant plus vraiment du souafle un instant, mais gardant tout de même un œil sur les poursuiveurs en cas de passe, je prends la direction des buts adverses.

Alors que je prends de plus en plus de vitesses, un cognard fonce droit sur moi. Le cœur qui bat à tout rompre, prise par surprise et réagissant un peu tard je plonge à pique vers le bas du terrain, espérant y échapper. C'est quoi, manquerais plus que je me le prenne en pleine face, pour un premier match super image. Évitant de me crasher sur le sol je redresse mon balais, et entreprend un virage assez serré avant de remonter vers les anneaux d'or. J'arrive juste à temps pour recevoir la passe d'une poursuiveuse et marquer grâce à un coup avec l'arrière de mon balais. Malheureusement pour moi, le gardiens adverse bien trop habile vient tout juste de le stopper de ses mains et de le relancer vers son équipe. Et entre passes interceptées, coup bas et cognard à éviter, le match dure encore de longues minutes, sans trop de dégâts matériaux des deux côtés avant que le coup sifflet final ne retentisse, marquant finalement notre défaite.

acceptées toutes les trois.

Merciii !

Pseudo : Berry Elys Threwgow
Maison : Serdaigle
Poste Souhaité : Attrapeur
Mise en Situation : Sujet 2: (Joueur simple): Vous venez d'être sélectionnés ! Racontez nous votre tout premier match, vos émotions et vos appréhensions face aux joueurs plus expérimentés.

Je me rends enfin à mon premier match de Quidditch, car oui je fais partie de l'équipe.Pas dans le poste que je souhaitais au début mais le professeur de vol m'avait ensuite recommandée en tant qu'Attrapeur.Je ressens beaucoup de hâte mais aussi beaucoup d'adrénaline.Le Capitaine de l'équipe donne ses derniers conseils tandis que nous nous rendons sur le terrain.Le lancement du match et je décolle sur mon balai flambant neuf.Je suis une des plus jeunes joueuses de la saison et je ressens le regard moqueurs des autres joueurs de l'équipe adverse : les Serpentards.Je n'ai pas peurs d'eux, je les ignore tout simplement et commence à voler autour du stade en entendant d'apercevoir le Vif d'Or.De temps en temps un cognard vient s'approcher de trop près mais je peux compter sur les batteurs pour les renvoyer ailleurs.

L'objet tant convoité apparaît enfin dans mon champs de vue, je m'élance aussitôt à sa poursuite.Il arrive vers le milieu du terrain, la ou toute l'action se déroule.Je vois les cognards et le souaffle et j'ai envie de ralentir mais je garde ma vitesse.J'ai déjà vu des matchs, ce qui se passe chez les autres joueurs n'arrêtera pas le Vif d'Or dans sa course et l'autre Attrapeur n'hésitera pas à la suivre.Du coup je m'engouffre auprès de toutes les balles volantes.Je les sens me frôler mais rien ne me touche.Je vois la fin de tout ça car la petite balle dorée à virée vers la droite, vers les tribunes.Je souris mais un ricanement particulièrement fort me perturbe l'espace d'un instant.C'est mon adversaire Serpentard qui vient de me ricaner dans l'oreille, il vient de survoler tout le monde en sachant que j'attraperais pas le Vif.Et maintenant il me donne un coup que je n'ai pu éviter.Ma vitesse à chuter et ma direction est déviée, je me retrouve en plein dans l'envoi d'un cognard qui m'atteint à l'épaule.Je ressens la douleur et de la colère envers mon adversaire, en ignorant la douleur je reprends ma course plus déterminée que jamais, il a de la chance que je n'ai pas été au poste de batteur.

Je le revois tout près du Vif, tout au hasard je décide de contourner une tribune pour tenter de doubler le Serpentard.Par chance j'arrive en même temps que mon adversaire alors je lui donne un coup comme il à fait mais le Vif à changer de direction.Cette fois, c'est l'Attrapeur adverse qui est déstabilisé, je peux prendre de l'avance et je ne me gêne pas pour le faire.Je reprends vite la vitesse que m'a fait perdre cet idiot et je m'approche dangereusement du Vif.Je me rappelle des conseils avant du matchs, il faut tenter d'analyser les mouvements du Vifs sans pour autant le regarder pendant très longtemps.Je plisse les yeux, oublie le reste et tends mon bras.Je ne peux pas attraper avec une main alors je prends équilibre sur mes deux jambes, m'avance doucement et tends mes deux bras.Après un douloureux effort de mon bras gauche, je réussis à refermer mes deux mains sur l'objet.J'ai du mal à garder l'équilibre sur mon balai mais je réussi à reposer une main sur le manche et de l'autre je tends le Vif avec un geste triomphant.Je dois avouer que le match à été passionant, je suis ravie de ma réussite et le professeur de vol à bien fait de me recommander auprès du Capitaine.Lui aussi doit penser ça, car à présent tout le monde à les yeux fixés sur moi.Finalement Attrapeur ce n'est pas si mal.

acceptée Berry .

Pseudo : Seven L. Parkinson.
Maison : Slytherin.
Poste Souhaité : Poursuiveur n°2.
Mise en Situation :

SUJET 2
« Vous venez d'être sélectionnés ! Racontez nous votre tout premier match, vos émotions et vos appréhensions face aux joueurs plus expérimentés.»

Seven était du genre à bien aimer la compétition, et c'était bien sûr la seule fois où il se trouvait être quelqu'un de fair play, il ne voulait pas qu'on mélange ce qu'il fait aux autres, avec la compétition. Il devenait totalement un autre homme quand il devait faire quelque chose. Toujours concentrer, toujours à vouloir se donner un fond. De plus c'était le seul endroit ou Sang-pur et Sang-impur était la même chose pour lui, compétiteur dans l'âme, si ces personnes ne faisaient pas parti de son équipe, il n'en avait que faire et n'épargnerait personnes. Il devait faire ses preuves, sur le terrain. Son statut ne comptait plus. Son sang ne comptait plus. Son nom de famille ne comptait plus. Plus rien ne comptait à part la victoire. Il le savait, et il la voulait. Son premier match, il allait l'avoir.

Pour la première fois de sa vie, il redouta quelque chose. Qu'allait-t-il arriver s'il faisait tout foirer ? Ce serait une terrible honte pour lui. Mais, d'une seconde à l'autre, il remit les pieds sur terre, pas une seule seconde il pourrait faire ça, il était bien trop sûr de lui-même pour oser stresser et penser à de mauvaises choses. Il avait réussit à montrer ce qu'il savait déjà rien qu'un peu, c'était pour ça qu'il était là, il avait été sélectionné. Sa réaction était bien digne de lui, étant quelqu'un de vantard, il ne pût s’empêcher de le crier sur tout les toits, ainsi de narguer ceux qui ne l'avait pas été. Mais là n'était pas le sujet. Il était là, les cris de la foule le fit sourire. Des acclamations allant pour l'une et l'autre équipe, les spectateurs se brisaient la voix pour crier toujours et encore plus fort, pour pouvoir faire encore plus de bruits que les adversaires. Voici le match, celui qui était quelque chose de réel. Pas des entraînements rien de tout ça. Non.

Fier de lui, tête haute, digne et sûr de lui. Il ne faisait que confirmer comment était la plupart des serpentard dans ses moments-là. Toujours fiers d'eux-même, voulant défendre la réputation de leur maison. « Alors Parkinson, t'as préparé un petit coup bas à l'équipe adverse ? » Le jeune joueur de Quidditch se mit à rire tout en regardant son coéquipier. « Pas cette fois-ci, ça t'arrangerait trop. » Seven abordait toujours ce sourire de vainqueur il était sûr, ce match serait le sien et ainsi celui de son équipe -mais plus le sien quand même.-, il avait une robe d'un vert qui lui allait tellement bien, ayant comme chiffre au dos, le 9. Prenant son balai il se mit à suivre son équipe, il devait serrer la main à ses adversaire, ce qui le fit encore sourire, et cela n'était surement pas un sourire de gentillesse, loin de là.

Le match commença. Dès le début la tension était à son comble. Seven était assez agile et maîtrisait parfaitement son balai, restant sur ses gardes chaque seconde, en même temps qu'il bougeait, il observait toujours autours de lui, puis c'est à ce moment-là où il vit qu'un membre de l'équipe adverse envoyant le souafle à un de ses collègue qu'il crut bon de faire enfin sa véritable entré. Tel un corbeau, il n'eut aucun mal à s'emparer de la balle, abordant un sourire fière, il entendit le cri de la foule. « Voici la recrue de Serpentard ! Le jeune Seven Parkinson, vole le souafle à Gryffondor et se dirige vers les buts de ces derniers, va-t-il marquer ?! » Le voici qu'il s'approchait de plus en plus vite des buts, mais ne fut pas sa surprise quand il aperçu un cognard venir à sa rencontre. C'est quand il vit Louis frapper dans le cognard qu'il reprit sa course démente, remerciant le serpentard par un sourire. Rien que pour ce geste Seven pensa instinctivement qu'entre les deux, ce serait une forte amitié qui aura lieu. Une fois arrivé à une distance favorable pour marquer un but il dut éviter quelques Gryffondor. Mais ce n'était pas assez pour arrêter le jeune Parkinson. Il ne se fit pas prier pour marquer un but, ce qui déclencha une hystérie collectif de la part des serpentards téléspectateurs. « ET C'EST DIX POINTS QUI VONT A SERPENTARD GRACE A CE MAGNIFIQUE DUO DE SEVEN ET DE LOUIS ! »

Le match se fit sans trop de dégâts, enfin pour Seven il n'eut rien à part des égratignures. Les minutes passèrent extrêmement vite enfin pour se terminer au coup de sifflet qui annonçait la victoire pour les serpents vert. Ce qui rendit le jeune sang-pur fier de lui. Il adorait cette sensation. La victoire. L'adrénaline. C'est ce qu'il aimait.

Ok pour toi

Pseudo : Léandre M. McLeod
Maison : Serpentard
Poste Souhaité : Poursuiveur
Mise en Situation : Sujet 2: (Joueur simple): Vous venez d'être sélectionnés ! Racontez nous votre tout premier match, vos émotions et vos appréhensions face aux joueurs plus expérimentés

L'aube était d'hors et déjà présente depuis bien longtemps, nous étions Dimanche, le temps était brumeux l'hivers de son manteau blanc recouvrait les horizons dociles des quelques collines et montagnes environnantes. Je laissais sagement mon regard voguait sur ses quelques paysages que je ne connaissais que trop bien puisque voilà bientôt trois ans que Poudlard était ma demeure. Un rictus machiavélique ornaient mes lèvres alors qu'avec une certaine précipiation je quittais la fenêtre qui m'avait servit d'échappatoire l'espace d'un instant. Je quittais d'un pas préssé deux, trois bouquins sous la main pour la forme alors que je m'immobilisais devant une rangée de vieux bouquins tous plus délabrés les uns que les autres. J'esquissais une moue dédaigneuse en lisant "Le monde moldu Tome I" ou encore "Les rollers pourquoi faire ? "; Depuis le début de l'année scolaire je me félicitais d'avoir prit Runes. Léandre ne savait ce qu'était un roller et ne voualit pas l'apprendre. Je rangeais mes livres à un endroit parfaitement incongru alors que je souriais au bibliothécaire en sortant. Pourquoi ? Je ne sais pas mais j'avais passé ma matinée et mon midi dans ce lieux fastidieux et poussiéreux en trépignant de jouer mon premier match. S'était cette apr-smidi que pour la première fois j'allais ravir la foule, donner du spectacle et marquer des buts ! Ce sera mon heure de gloire, je n'en doutais pas. Comment en douter ? Il était rare qu'un capitaine de Poudlard prenne un troisième année pour remplacer un des plus anciens joueurs de l'équipe de base alors j'avais de bonne chance d'être extrêmement bon. Je cavalais à travers les escaliers bondés croisant sur le chemin quelques membres de ma maison qui me félicitait à coup de "Bin joué McLeod !" ou encore de "T'as gérés gamin"... Gamin franchement ? Je roulais des yeux en soupirant hargneux alors que mes pas foulaient le sol sabloneux menant jusqu'au stade. Je ne voulais pas être en retard, je ne voulais pas manquer ne serait-ce qu'une seconde de ce premier match en passant des vestiaires à l'issu de la confrontation. D'exaltation je pénétrais d'une allure haltière dans les méandres du stade, fasciné non mais hyperboliquement enthousiasmé voilà qui était certain. Mon regard se perchait sur chaque détail avec une rapidité que je ne me serais pas même connue, je bouillonais intérieurement. N'ayant aucun doute sur mes capacités je crois que ce n'était même pas le stress qui me rendait si dispersé. Non selon moi la soif de compétitivité grondait significativement un peu tel l'appel du sang pour le guerrier à l'aube d'une nouvelle heurte entre deux nations. Je débouchais dans les vestiaires pile à l'heure rejoignant le reste de l'équipe. Montey Corts me donnait une forte tape dans le dos, petit et carré il était de loin le plus redoutable batteur de Poudlard. Je prenais celle-ci pour un encouragement incongru alors que Ted et Cassidy me donnaient quelques conseils pour le match. C'est Orvid Blokson qui nous réunirent pour nous servirent à tous un discour intense et emplis de passion. Il prenait le temps de détailler chaque rôle et de lister ses attentes en fonction de ces derniers pour finir sur une note positive. "Le venin aura raison du lion." Comme toujours pensais-je un sourire carnassier aux lèvres. Il se retournait en levant sa batte au ciel avant de nous envoler les uns après les autres. Les acclamations me faisait frémir, tous ces gens réunient pour nous voir jouer puis triompher m'emplissaient d'opiniatreté. L'arbitre comptait sur notre fairplay avec un regard insistant à l'équipe des serpents. Nous étions connue pour avoir un jeu violent ce que je ne pouvais qu'affirmer avec fierté. Les balles furent libérées accompagnées d'un coup de sifflet. J'eu un mouvement de recul lorsque je vis Trivet le cpaitaine Gryffondor fonçait droit sur moi. Cette armoire à glace m'aurait sans mal percutait au vue de la alrgeur de ses épaules si je lui avais fait front. Je fronçais les sourcils lorsque j'appercu le souaffle lui être passé par une rouge et or. Dans un demi-tour rapide je fonçais droit vers le massif garçon alors que Ted était d'hors et déjà épaule à épaule contre lui dans un combat peu convaincant. Je décidais de suivre l'action de plus près interceptant le regard de Cassidy qui m'indiquait de m'y mêler. Je fonçais jusqu'aux cotés de la montagne des gryffons en m'imposant d'un violent coup d'épaule. Le lion en cage se débattait alors que notre capitaine Ovid lui envoyait un cognard qui l'obligea à lacher le souaffle que dans un piquet vers le sol j'interceptais. Vélocement je fus poursuivit par deux poursuiveuses adverses me menaçant du regard je balançais le souaffle dans une passe habile à Ted qui l'interceptait à son tour. Le match fut en sa majeur partie ainsi, le souaffle jamais véritablement dans un l'un des deux camps mais toujours gravitant au centre. Jusque là nos batteurs avaient percutés Lucie Gringberg l'attrapeuse qui était donc blessée au bras. Problème ? Les gryffons s'étaient montrés bien plus agressif dans leurs attaques et conservait le souaffle plus de 15 secondes relevaient du miracle. C'était sans doute pour cela que lorque Cassidy rattrapa une balle perdue en me la lançant j'étais prêt à tout pour marquer ce but ! Avec l'appuis des batteurs et les entraves de Ted j'arrivais à me frayer un chemin évitant dans un hoquet de surprise un cognard de justesse frôlant mon flanc droit alors que mon bras populsait le souaffle dans l'anneau de droite in extremis. "Dans ta FACE HASTON !" lui criais-je d'un ton rageur alors que Ted me donner un coup d'épaule congratulatif. "Les équipes sont aux coudes à coudes, 60 à 50 pour Serpentard !" Porté par mon triomphe mes attaques se faisait plus violentes et plus fréquentes alors que je marquais deux autres points successif suite à un jeu de passe maîtrisé entre Cassidy, Ted et moi. Lorsque Sean attrapa le vif d'or nous étions bien entendu comblés. J'étais certain que maintenant j'avais bel et bien un talent sans nom. Nous avions écrasés les Gryffons dans le sang et les coups, oui et alors ?

Pseudo : P. Avery Edenshaw
Maison : Serdaigle
Poste Souhaité : Poursuiveur
Mise en Situation : Sujet 2 – Joueur simple.

Avant d’aller dans les vestiaires et me préparait pour le moment fatidique de ma journée, je devais déjeuner et ça m’étais totalement impossible parce que j’angoissais. J’angoissais de devoir jouer ce premier match et je détestais rater les choses, en général, encore plus lorsque c’était une affaire de groupe. Je regardais la vague comme admirant la lumière au loin qui se reflétait dans les vitraux de la grande salle, impassible, cherchant à cacher se troubler, cette peur. Je ne mangeais rien et partait au final assez rapidement vers les vestiaires, enfin de toutes les manières, le temps filait à une vitesse à la fois incroyable et totalement lente, je ne savais plus trop. Je me changeais enfilant enfin ma tenue, prenant bien mon temps, respirant comme une malade qui s’apprêtait à sauter pour un marathon. Oui, la respiration était censée pouvoir me détendre, mais ça ne faisait pas tout … Je m’étirais un peu, faisant les cents pas dans les vestiaires quand peu à peu, les autres arrivaient. Notre cher capitaine arrivait aussi en avance. Nous étions une équipe ponctuelle. Maintenant que j’étais en leur présence, mon stresse était double parce que j’avais peur, trop peur de les décevoir.

Le temps arriva pour nous de rejoindre l’entrée du terrain. On annonça notre équipe et nous avons pénétré à l’intérieur de cet illustre stade de quidditch. Si grand, si majestueux ! La seconde équipe arrivait sur le terrain. Je voyais mes coéquipiers les défier du regard, c’était néanmoins assez gentil. Nous ne sommes pas des méchants non plus. Je faisais de même, comme si de rien n’était mais au fond, j’étais tétanisée. Je savais trop bien que c’était l’étape cruciale pour ma bonne intégration dans mon équipe. On enfourchait nos balais. Je m’installais bien, ne manquant aucune étape pour être au mieux installé et la plus performante possible. Chacun se plaçait en position. J’offrais un sourire timide à mon coéquipier de droite qui devait être étonné de me voir ainsi, pourtant si peu timide habituellement, si peu perturbée, mais comme habituellement, quand il y avait trop d’enjeu dans ma tête, trop d’enjeu pour quelques choses, j’avais une Avery différente qui prenait le dessus.

Coup de sifflet. C’est parti ! Je ne peux plus m’enfuir, plus reculer, je dois l’affronter et même si j’ai pensé à abandonner, je ne le ferais pas, je ne l’aurais pas fait car je ne suis pas comme ça. Je reste dans les airs, à l’affut et rapide, suivant, poursuivant plus rapide que le vent lui même, comme je le peux pour ne pas laisser mes adversaires nous surpasser. Je n’entend presque pas les cris de la foule, je ne suis que plus concentrée sur mon objectif même si parfois, l’assurance de certains plus expérimentés m’impressionne et me ralentit parce que j’ai presque envie de les regarder pour m’en inspirer. Mais je me reprends et vole de plus belle, j’intercepte le Souafle, à mon grand étonnement entre un lancé qu’à fait mon adversaire à son collègue qui n’a pas su me contrer et je fonce vers leur but … je fonce, regardant ma cible, mais je les sens revenir à l’assaut. Ils n’abandonneront pas, cela est certain. Je ne veux pas, je le sers entre mon bras et mon corps comme si il était mon enfant et à l’approche des buts, je l’envoie, priant en une seconde pour qu’il atteigne bien le but visé. Et hop, un but … Un but qui me rassure, me voilà rassurée, je n’aurais pas totalement déçu mon équipe. J’ai le sourire, je souris à mes coéquipiers qui ont l’air heureux même si ce n’est pas gagné. Le reste du Match n’est pas une catastrophe, je ne marque pas 1000 buts, ce n’est pas crédible, pas possible et j’en rate même plusieurs, je me fais prendre le souafle. Parfois, je râle intérieurement ou me critique doucement avant de repartir à la recherche de la balle de plus belle. Ce jour-là, nous aurions pu gagner mais ce ne fut pas le cas, mais à peu d’écart, nous étions fier et j’étais rassurée ; oui, je n’étais pas une incapable, j’étais même plutôt bonne dans ce que je faisais, mais je n’étais pas infaillible non plus.

Pseudo : Alison Milller
Maison : Serpentard
Poste Souhaité : Poursuiveur 3
Mise en Situation : Sujet 2

Je n'étais pas vraiment rassurée. Certes au sélections j'avais bien réussi, réussissant a faire entrer le souafle par trois fois sur cinq essais. Oui j'avais était fière de moi. Mais là c'était un vrai match. Je ne devais pas faire d'erreur. Mais pour l'instant le match n'était pas encore là et j'étais toujours à la table du petit-déjeuner. Les autres membres de l'équipe n'avait pas l'air rassurés et ils m’encourageaient a manger alors que eux picoraient à peine. Pour leur faire plaisir, j'avalais une tranche de pain et un verre de jus de citrouille mais le cœur n'y était pas et tout menaçais déjà de ressortir. Finalement en soupirant, je me levais et partit vers le terrain avec mon balai. Je fût bientôt rejointe par toute l'équipe et dans les vestiaires la tension était à son comble. Je déglutis. "Et si j'étais nulle ? Et si ils avaient fait une erreur en me prenant dans l'équipe ? Et si ..." Soudain tout mes questionnements furent balayés par l'entrée sur le terrain. C'était une belle journée. Il ne fessait pas trop chaud, le soleil brillait... Bref c'était la journée parfaite pour un premier match de Quidditch. J’enfourchais mon balai en soupirant et m’envolai. Plus question de faire machine arrière. Immédiatement Léandre attrapa le souafle tandis que les moineaux volait derrière lui. Je le rattrapa et il m'envoya le souafle pendant qu'un cognard se dirigeais dangereusement vers lui. Je fonças vers les buts mais alors que j'allais tiré un Serdaigle se mis devant moi et tenta de me prendre la balle. Je vis Seven et Léandre pas loin et envoya le souafle à Seven. Autour de nous les cognards fusaient mais il en était de même pour les Serdaigles. Soudain sans qu'on sache trop comment les Serdaigles reprirent le souafle. En jurant je me lançais à leurs poursuites. Bientôt le souafle fus de nouveau à nous et nous commençâmes à enchainais les buts. J'en marquai deux, en raté un et me fis prendre le souafle. Le score était alors de 70 à 50 en notre faveur lorsque Castiel attrapa enfin le Vif-d'Or. Je n'arrivais pas à y croire... On avait gagné !!! Certes je n'avais pas était parfaite mais j'étais fière de moi. La suite fut confuse dans mon esprit joyeux. Je vis simplement une masse verte fonçait sur nous. Dans la salle commune la fête était bien là. On était tous très heureux mais je crois que j'étais la plus contente. J'avais réussi, j'avais marquée. Ainsi ils ne c'étaient pas trompée en me prenant dans l'équipe. Et lorsque enfin je fût me couché, c'est avec le sourire aux lèvres que je m'endormis.