Pseudo : James E. Rosier
Maison : Serpentard
Poste Souhaité : Gardien
Mise en Situation : Sujet 2, joueur simple

Ce matin James s'était levé plus tôt qu'à l'habitude, l'appréhension du match surement. Déjà la veille, il avait eu du mal à trouver le sommeil, faisant les cent pas à côté de son lit et n'avait dormi que 4 heures tout au plus... Pas idéal pour un premier match, mais que voulez-vous ? Il avait le trac ! Même si jamais il ne l'admettrait devant qui que ce soit. Il devait se montrer à la hauteur, un Rosier, ne peut pas perdre !
Il avait revêtu sa robe verte dont le tissu neuf scintillais au niveau des inscriptions « Rosier ». Son père avait porté la même une vingtaine d'années plus tôt. Il devrait s'en montrer digne.
En marchant dans le couloir qui mène au terrain le jeune homme senti comme une grosse boule dans mon estomac, mais n'en laissa rien paraitre. Il était certes plus jeune et moins expérimenté que la plupart des joueurs, mais il savait ce qu'il avait à faire. Il devait leur montrer ce qu'il valait s'il voulait rester dans l'équipe. S'il voulait gagner leur respect. Il serrait dans sa main son balai, le nimbus 1001, excellent balais utilisé par les professionnels et tout juste sortis, que mon père m'avait envoyé en apprenant ma sélection. Il avait été accompagné d'un mot « un Rosier ne perd jamais. » tout ce qu'il y a de plus encourageant. Ce balai m'avait valus le regard tour à tour envieux et moqueur de mes coéquipiers. J'avais gardé la tête haute et leur avait répondu d'un regard dédaigneux, qui voulait dire « je suis un Rosier ». Le capitaine de l'équipe dit quelques mots à leur adresse, auxquels James ne prêtait qu'une oreille distraite. Pourquoi s'inquiétait-il, après tout il s'était entrainé durant plusieurs années pour arriver à jouer dans l'équipe ! Il réalisa que l'équipe entrait sur le terrain et les suivis. Quinn serra la main du capitaine des Gryffondor et l'arbitre porta son sifflet à ses lèvres.
Le coup de sifflet retentis et le match débuta. James se posta devant les anneaux de son équipe, le vent lui fouettant le visage. Etre fatigué par un jour de vent, c'est pas terrible pour un premier match. Mais James ne s'en rendait même plus compte, absorbé par le souaffle qui se dirigeait vers les anneaux des Serpentards. Il devrait l'arrêter, coute que coute, si les rouges et or marquaient le premier point, les Serpentards risquaient de se démotiver. Il fit donc une jolie cabriole, appréciant la souplesse et la rapidité de son balais, bien plus maniable que son vieux brossdure, et bloqua sans grande difficulté le souaffle, qu'il lensa à ses coéquipier avec un grand sourire. Il arrêta également la seconde, puis la troisième tentative de ses adversaires. Il avait à nouveau confiance en lui Un peu trop peut-être, car il avait oublié de surveiller les batteurs adverses et ne vit le cognard de Swann qui fonçait droit sur lui que bien trop tard, tenta une montée en piquet il put au moins éviter de le prendre en pleine tête et c'est son bras qui accusa le choc dans un craquement inquiétant. La douleur lui fit tourner la tête et il faillit chuter de son balais., laissant passer le souaffle.
Il eut du mal se stabiliser à nouveau mais parvint à remonter devant les anneaux. Pendant sa chutte il avait laissé passer un second souaffle, il ne devait pas permettre aux lions d’égaliser. Il devait arrêter ce troisième essai. Dans un effort surhumain il parvint à se saisir de celui-ci in extremis, et à le renvoyer à Parkinson qui partit comme une flèche en direction des anneaux dorés. La douleur dans son bras ne cessant d’augmenter, James avait de plus en plus de mal à se concentrer sur le match qui se déroulait autour de lui. Son bras lui criait de s’arrêter, mais il devait lutter, un Rosier ne perd pas. Il tint encore bon durant les 10 minutes qui suivirent, stoppant encore une fois le souaffle. C’est avec soulagement qu’il entendit à nouveau le coup de sifflet de l’arbitre, l’un des attrapeurs s’était saisis du vif d’or, le match était clos. James descendit vers le sol avec difficulté puis se laissa tomber à terre, sombrant dans l’inconscience sans pouvoir lutter. Il se réveilla le lendemain à l’infirmerie, et le première phrase qu’il entendit fut un « bravo, tu t’es bien battus. Et on a gagné, c’est Castiel qui a attrapé le vif d’or. » Il ouvrit alors les yeux et vit un visage souriant qui le regardait.

Pseudo : C. Alhena Prince
Maison : Serpentard.
Poste Souhaité : Poursuiveuse.
Mise en Situation : Sujet 2.

Le jour J. Celui que tout le monde attendait avec impatience : le premier match de la saison de Quidditch. Ce magnifique sport sorcier et de loin le meilleur. Peut-être était-ce dû au fait que le Bavboules était moins reconnu. Ce jour était donc attendu par beaucoup et surtout pas les joueurs des différentes équipes. La victoire de ce match allait se jouer entre l’équipe des Poufsouffles et celle des Serpentards. Un match qui, pour les serpents, s’annonçait facile. Il ne fallait pas les sous-estimer pour autant. Alhena n’était pas ce genre de personne à sous-es… En fait si. Elle se pensait supérieure et bien qu’elle n’ait que douze ans, la jeune fille était persuadée qu’avec son frère, personne n’était plus doué en Quidditch qu’eux. Ils n’étaient qu’en deuxième année mais le talent des jumeaux avait été reconnu : Sebastian était batteur, Alhena était poursuiveuse. Un poste qui lui allait à merveille puisqu’elle adorait l’idée de pouvoir marquer des points et de montrer son talent à toute l’école. Elle n’était pas bien grande, elle était juste dans la moyenne pour son âge : 1m50. Son frère avait facilement dix cm de plus que ce soit en taille ou en cheveux. Il n’était absolument pas costaud ni le plus musclé de tous les batteurs mais il frappait avec précision et atteignait toujours sa cible. Il avait d’ailleurs fait tomber un de ses concurrents de son balai lors des sélections, au plus grand plaisir de sa jumelle qui s’était amusée à voir le Serpentard se tordre de douleur sur le sol. Un bras cassé, ce n’est pas si grave pourtant. Sebastian, tu viens ? On va être en retard. Elle observait son frère en train d’essayer d’attacher ses cheveux. Elle esquissa un sourire et s’approcha de lui, le faisant s’assoir sur le banc du vestiaire. Qui d’ailleurs, n’était pas le sien. Tant pis. Elle se saisit de l’élastique et lui attacha les cheveux avec délicatesse. Voilà qui est mieux, mademoiselle. Il se retourna, le regard furieux. Elle déposa un rapide baiser sur sa joue, lui saisit la main et courut jusqu’à l’entrée du stade, là où l’équipe les attendait avec impatience. Ils pouvaient entendre les cris des spectateurs à l’annonce de leur venue sur le terrain. Elle inspira un grand coup, le balai à la main, jetant un coup d’œil à Sebastian qui fit voler sa batte, la rattrapant habillement. Le jeune homme lui fit un clin d’œil comme pour la rassurer. La brunette lui rendit et porta son attention sur les portes qui s’ouvraient, dévoila l’herbe du terrain. On donne tout ! Ils n’ont aucune chance. Le capitaine fut le premier à franchir les portes tandis que les autres joueurs le suivaient, saluant la foule d’élèves ainsi que les professeurs qui applaudissaient avec engouement. La jeune fille esquissa un petit sourire en coin avant d’aborder à nouveau un visage impassible et froid. Les capitaines se mirent l’un en face de l’autre, au milieu du terrain, l’arbitre entre eux deux. Des boîtes les entouraient : elles contenaient les différentes balles qui serviraient au match. Sauf le souaffle qui était déjà dans les mains de la professeur de vol. Elle se mit à énoncer les règles qu’Alhena n’écouta pas, déjà perchée sur son balai, dans les airs, à attendre le coup d’envoi. Serrez-vous la main ! Et pas de coup bas. Elle jeta un coup d’œil aux deux batteurs, Sebastian fit mine de ne pas comprendre ce qui arracha un ricanement à sa jumelle. Les capitaines se serrèrent la main, le jaune lâcha un petit gémissement tandis que l’arbitre sifflait. Elle lança le souaffle et libéra le vif d’or. L’attrapeur des Poufsouffles se saisit de la balle, se dirigeant rapidement vers le but des verts et argent. Sebastian se dirigea avec rapidité vers le cognard et un coup de batte plus tard, le souaffle était dans les mains d’Alhena qui fit une passe à l’une des deux des autres poursuiveuses. Elle était trois filles dans l’équipe et cela avait tendance à faire rire les autres. S’ils savaient. Toutes les trois poursuivies par les poursuiveurs adverses, celle qui possédait le souaffle le lança à Alhena qui fit semblant de monter en chandelle, la balle dans la main. Elle fut suivie par les adversaires. Aussitôt, elle lâcha la balle rouge qui tomba dans les bras de sa coéquipière et qui, avec rapidité et force, tira dans le cercle en or. Feinte de Porskoff réussie. Dix points pour Serpentard ! s’écria le commentateur. Magnifique feinte des jolies Serpentardes ! La brunette serra le poing, tournant la tête derrière elle pour apercevoir son frère qui lui cria de faire attention. Elle haussa un sourcil étonné jusqu’à ce qu’elle sente le cognard frôler son épaule. Elle fut légèrement déstabilisée mais ne tomba pas, s’accrochant à son balai avec toute la force qu’elle possédait. Le souaffle était à nouveau en possession des Poufsouffles qui semblaient bien déterminé à marquer. Elle jeta un coup d’œil à son frère jumeau et lui fit signe de la viser. Sa mine devient déconfite, il lui fit signe que c’était dangereux mais elle n’écouta pas, esquissant simplement un sourire rassurant. Elle frappa dans le cognard le plus proche en direction de sa sœur qui se mit à accélérer vers le poursuiveur jaune et au dernier moment, elle s’agrippa à son balai et plongea en piqué vers le sol tandis que le cognard frappait de plein fouet l’épaule du Poufsouffle qui lâche le souaffle. Celui-ci fut réceptionné par Alhena qui se trouvait juste en-dessous. Elle fit une passe à l’une de ses coéquipières qui s’empressa d’aller marquer dans les buts adverses. Magnifique et dangereuse feinte de la part de nouvelle poursuiveuse des Serpentards. Pas mal pour une deuxième-année. D’ailleurs, savez-vous que son frère est aussi dans l’équipe ? Magnifique coup exécuté par les jumeaux Prince, ils n’ont pas fini de nous surprendre ces deux-là… Par ailleurs, elle est… Elle est ? Le commentateur se fit prendre le micro des mains. Alhena esquissa un sourire, observant le match avec intérêt. Le match s’annonçait bien, la saison aussi.

Merci d'avance.

Je transmet en ZM

Etant donné qu'il n'y a qu'un poste de poursuiveur de libre, nous avons décidé de l'attribuer à Alhena, qui a fait un rp plus dans l'esprit de ce qu'on attendait, désolée Alison Et James, c'est oui pour toi également

Equipe de Serpentard complète

YEAAAAH merci

Merci

Pseudo : Némésis A. Malefoy
Maison : Serdaigle
Poste Souhaité : Poursuiveur (et sinon Gardien) ♥
Mise en Situation : Sujet 1 (Joueur simple): Vous êtes en première année et commencez enfin les cours de vol. Racontez-nous vos émotions et comment est née votre vocation.

Elle avait le cœur qui battait la chamade. A ses pieds se tenait le bout de bois sur lequel elle était censée apprendre à monter. C'était son premier jour à l'école. Après avoir appris la nouvelle que leur fille n'était pas admise à Serpentard, ses parents lui avaient plus ou moins fait comprendre qu'elle avait à se démarquer d'une façon ou d'une autre, et de manière..agressive. Montrant ainsi à tous que le choixpeau avait commis une erreur. Mais le fait était qu'il ne s’était pas trompé. Elle savait qu'elle était fragile et malgré cette fragilité elle tentait de ne rien laisser paraître. Mais au fond, elle se sentait faible. En revanche elle, se trompait sur son compte, et elle était loin d'imaginer à quel point.

Tandis que tous les élèves prenaient place à côté de leur balai, chuchotant entre eux, excités de commencer leur première leçon de vol, se voyant déjà membre d'élite au sein de l'équipe de Quidditch de leur maison, elle, avait le teint livide. Et si elle tombait? Et si le balai ne l'écoutait pas, ou se retournait contre elle? Et quelle était la probabilité qu'elle échoue lors de ses tentatives, voir pire qu'elle..mais une voix l'interrompit. « Miss Malefoy? » « Euh..ou-oui professeur? » « J'ai demandé de se placer à gauche, non à droite. » Confuse, sentant ses joues s'empourprer tandis que des rires étouffés se faisaient entendre, elle changea de côté. Elle n'avait vraiment pas envie de faire ce cours. Elle ne voulait pas faire partie d'une équipe et encore moins monter sur un balai. A Londres, il y avait des voitures, c'était tellement plus pratique et sécuritaire! Continuant à donner des instructions, le professeur ne s'occupait plus d'elle. Son voisin de gauche lui souffla: « T'inquiètes pas, tu risques pas de te faire mal. » « Tu crois? » « C'est sûr même, regardes-toi: tes fesses décolleront pas du sol tellement t'as la trouille. » ricana-t-il. Lui jetant un regard noir, elle le dévisagea de bas en haut. L'enfant était potelé et arborait un petit regard méchant. « On verra qui ne décollera pas, bouboule. » lui dit-elle. La remarque fit mouche et l'enfant ne l'importuna plus. Restait à lui prouver qu'elle n'avait pas peur de s'envoler. Mais ça, il fallait qu'elle s'en convainque elle-même.

Le professeur entama alors la phase ultime du cours. Fini les indications, tous avaient désormais à les suivre. Tendant la main au-dessus de son balai, elle ravala sa peur. D'une voix ferme elle lança: « Debout. » Mais rien ne se produisit. Le petit gros ricana. Se calmant, elle réitéra son geste, sans plus de résultat. C'est alors qu'elle se dit que quelque chose clochait. Elle ne pouvait pas ne pas y arriver. Elle ne voulait pas échouer, pas maintenant. Elle réitéra donc son ordre avec force et conviction: « Debout! » Et le balai vint se placer dans sa main. Les yeux étincelants, elle se tourna vers le garçon...qui commençait à devenir rouge sous l'effort, proférant moult insultes à l'encontre du balai qui refusait d'obéir. Mais il 'était pas le seul. Beaucoup d'autres peinaient à se voir obéir et rares étaient ceux qui, comme elle, n'avaient pas eu besoin de beaucoup de tentatives. Soulagée, elle le fut moins quand le professeur lança un peu après: « Positionnez-vous sur votre balai. A mon coup de sifflet, vous frappez fort le sol pour vous lancer. Vous restez un moment et vous redescendez au sol en vous penchant légèrement vers l'avant. » Son cœur commençait à battre la chamade. Elle se positionna, prête à exécuter le tout quand même. Pas question d'être à la traîne. Si tous le faisaient, elle ne voyait pas pourquoi elle n'y arriverait pas. Et puis, elle voulait savoir ce que ça faisait de voler. Le coup de sifflet retentit alors. Donnant une impulsion avec le pied, elle se lança.

Elle n'aurait jamais imaginé que cette expérience serait aussi extraordinaire. Elle n'était pas bien haut, certes, mais cela lui suffisait pour le moment. Elle avait vaincu sa peur et désormais, elle voulait plus. Elle voulait apprendre à voler, elle le voulait vraiment. Regardant son voisin, il n'en menait pas large. Se cramponnant comme un forcené au manche, son visage était blanc comme un cachet alors qu'il n'avait pas décollé d'un mètre. Némésis soupira. Au final, ce sont ceux qui parlent le plus qui échouent le plus. Il lui faisait un peu de peine malgré ce qu'il avait dit, mais c'était tant pis pour lui. Le professeur dut d'ailleurs aller l'aider tant il peinait à voler. Profitant qu'elle lui tournait le dos, Némésis s'envola un peu plus haut. Juste un peu, histoire de voir si sa peur revenait. Mais non. Au fur et à mesure qu'elle montait, elle se sentait de plus en plus légère. Fermant les yeux, elle savourait cet instant..jusqu'à ce qu'un cri la fasse sursauter. « NEMESIS MALEFOY, REDESCENDEZ IMMEDIATEMENT AU SOL!! » Déstabilisée un moment, elle retrouva l'équilibre et se pencha vite en avant. Très vite. Trop vite. Manquant s'écraser sur le sol, elle releva son manche in-extremis. Posant un peid à terre, le souffle court, elle avait la tête qui tournait. Le professeur, elle, avait fait une crise cardiaque. Elle eut droit à savon et à des heures de retenue pour avoir désobéi..mais ça en valait le coup. Depuis ce jour, elle se promit de remonter le plus vite possible sur un balai. Tant que ce n'était pas sur ses heures de cours évidemment.