Une véritable surpise ! Une allégresse naissante entraînant en son éclosion un sentiment de contentement et de ravissement sic de satisfaction. Voilà ce que m'évoquais la nouvelle d'il y avait encore maintenant de quelques semaines à peine. J'ignore parfaitement si un jour dans votre courte vie vous avez eut la drolatique occasion de vous attribuer quelques louanges nullement fondées mais qui venaient d'un assouvissement quasiment irrassible, si bien que ne vous rendiez pas même compte de l'hyperbolisme de vos pensées mais personnellement oui. Pour faire état de franchise parfaite avec vous sur l'instant je ne me sentais qu'emplis de la plus simple des vanités et à la fois des tours de force. Moi, à tout juste treize ans j'avais passé les tests de l'équipe de quidditch. Jusque là je vous le conçoit il n'y a rien de bien folichon et encore moins d'extraordinaire mais justement toute la surprise résulte de ces derniers mots : et je fus accepté. J'avais clairement conscience de mon potentiel sur un balais puisque mon professeur de vol m'avais fortement recommandé et avec une insistance zélée de passer les fameux tests en tant que batteur spécialement. Je ne sais point la raison de ce grade particulier dans l'esprit de l'alambiqué Mme. Grinch mais il me plaisait bien alors je n'avais guère protesté. Du haut de mes treize ans je n'aurais probablement oncques parié sur mon triomphe mais qu'importais maintenant j'étais bel et bien de l'équipe ! J'avais dh'ors te déjà assisté aux entraînements, perfectionné mes coups de batte de mon mieux et le grand jour était arrivé. SI vélocement d'ailleurs ... qu'en ce jour même j'étais un balais à la main revêtant les couleurs de mon équipes, genouillères et coudières à l'appuis. Bon sang mon premier match devant des masses de spectateurs !Les cris grisant de la foule d'élève hurlait à la gloire de leurs préférés m'emplissant d'un sentiment nauséeux d'apréhension. J'échangeais quelques regards tendus avec la capitaine de l'équipe qui dégageait toujours cette aura d'assistance ainsi que d'auspice. Je ne m'estimais guère vacual de mes pensées les plus mornes mais du moins rassuré l'espace des secondes qui suivaient. "Bien. Aujourd'hui nous affrontons Gryffondor." claironna-t-elle d'une voix forte en enfourchant son balais ce qui signifiait pour moi "Bien. Aujourd'hui nous affrontons Coonor Varms le colosse de l'équipe du lion".. je délutis péniblement "Comme à l'entraînement et ils n'auront aucune chance !" L'important garçon qui jonchait à mes cotés d'hors et déjà le balais entre les jambes leva son poing gauche au ciel dans un "wwhhoooo" de contentement. Franchement je n'avais qu'une envie passer innaperçut auprès de tous ces joueurs qui faisait partie de l'équipe depuis au moins deux ans. Les portes des vestiaires s'ouvraient et la capitaine s'élevait déjà dans l'air suivit de l'équipe et pour ainsi dire de ma personne. C'est l'instant où je me présentais à ces habitués de Poudlard et pour avoir fait aprtie de la masse anonyme qu'étais le public je savais leurs exigences et notamment l'hostilité de certain quant aux nouveaux membres des équipes ... Je retiens une lippe de mécontentement alors que nous effectuons un traditionnel schéma sphérique dans le stade sous les applaudissements, les hurlements des différentes maisons. Mon regard céruléen faisant un bref tour d'horizon puis m'immobilisant de front les batteurs adverses. "On va faire un carton Sam!" me souffle mon cooéquipier. Lui surement mais moi c'est une autre affaire. Je redresse mon bras droit comme brandissant maladroitement ma batte face aux regards incrédules des joueurs du lion. Le discours sur le fairplay de l'arbitre prend fin, le vif d'or, les cognards et le souaffle sont libérés. Mes prunelles s'attardent sur le souaffle quelques secondes de trop et d'hors et déjà les joueurs s'affèrent dans des courants aériens ascendants et c'est ainsi que je découvre tout l'art de ne se tenir qu'à une seule main lorsque l'agitation est naissante et que le zéphyr s'engouffre par bourrasque dans sa cape. Fronçant les sourcils emplis de désir de faire mes preuves je fonce droit devant moi, le vent fouettant mon visage tant j'étais désireux de vélocité. Je fonce tout droit et je prenais en chasse un batteur adverse. Qu'elle en était la raison ? le simple fait que cela était notre stratégie marqué l'adversaire pour entraver toute attaque. Peinant à conserver mon bras bien droit avec la prise de vitesse j'avais opter pour le laisser pendant, j'imagine que cela devait être une erreur tactique de ma part puisque je fus sans peine parfaitement déboussoler lorsque le cognard me frôla sur ma droite jaillissant de nulle part m'obligeant ainsi à virer sur la gauche percutant ainsi un joueur passant à cet instant. C'est là que ça ce complique puisque mon balais se mettait instantanément à tournoyer sur lui même quelques secondes. Je luttais entre le vent et l'élan qu'avait entrainé le choc lorsque je me mis à fixer l'horizon. Une astuce que m'avais donner l'attrapeur de l'équipe et qui marcha assez bien puisque je repartis avec certes grand mal mais tout de même. Je volais le bras redressé cette fois-ci au sommet de la tour Serpentard fixant le macth et les petits pions qui voletaient de aprt et d'autre. Mon objectif ? Capter un cognard sans en être la cible cette fois-ci. J'attendais quelques secondes dans la plus parfaite sereinnité. Là haut je me sentais quasiment intouchable, la foule toujours retentissante alors que des "HO" massifs se faisaient entendre des gradins de Gryffondor. Serdaigle venait de marquer un point à en voir Leen taper dans la main de Jordan. Aussitôt dans l'encradrement je voyais deux joueurs se disputaient quelque chose d'imperceptible, le vif d'or ? Cet constatation me fit quasiment sursauter alors que je fonçais de nouveau vers le centre du stade. Si oncques l'un d'entre eux se saisissait du vif d'or cela signifierait que je n'aurais essuyer qu'un échec cuisant. L'agitation de nouveau, le chaos et la pluie naissante rythmé le match alors que je me faisais bousculer en plein vol par un membre de l'équipe adverse et Jordan, le souaffle passant de main en main alors que je repère l'attrapeur adverse que je ne lâche plus du regard. C'est lui qu'il faudrait que je touche ! Ce serait idéal n'est-ce pas ? A croire que mes paroles furent entendu puisque à l'instant où je le prenais en chasse restant à une douzaines de mètres derrière lui, une obule noir grossissante s'approchait. Le stresse m'envahissait, allais-je la louper ? allais-je toucher ma cible ? Tant de question qui vous anéantis le peu de confiance en soi que l'on a à son premier match. Je bande mon muscle lève bien haut le bras et prend un maximum d'impulsion au moment de frapper. Ma batte percuttait la balle je le sentais puisque celle-ci se faisait particulièrement lourde à orienter et guider. Je ne vis pas franchement où je l'avais envoyé mais j'entendis une offuscation générale de la foule et des commentaires emballés. "Bon sang ! Il n'a même plus de balais ! remarquable coup de Baumgarten !!!!" Sans voix un instant je cherchais du regard l'attrapeur que je voyais épaule à épaule avec Danny. J'effectuais un tour de stade véloce en constatant que ma cible initiale avait été bele te bien loupée mais qu'en revanche j'avais touché le balais d'une poursuiveuse de gryffondor fonçant en vrille vers le sol. Je lève ma batte triomphant en passant à toute vitesse près de la tour de Serdaigle un sourire mal assuré aux lèvres mais présent. Je souhaitais faire forte impression, mais je n'osais même plus détaché mon regard du stade. Sauf que cette fois-ci je vis le cognard me foncer dessus, je le voyais s'approcher et je fis un véloce piqué verticalement vers le haut. Pas assez véloce infortunément si bien que le cognard me toucha de plein fouet. Une horrible douleure m'envahit, prenante et suffocante alors que je tombais de mon balais que je voyais partir en vrille puis disparaître finalement de mon champ de vision alors que mon corps retombait dans le vide. Je paniquais mais avant tout je souffrais. Réflexe ? Je ne sais pas vraiment mais je me sentis percuter des personnes alors que je maugréais en me tenant les côtes. "Le nouveau batteur de Serdaigle a chuté dans les gradins ! Espérons qu'il se remettra vite d'aplomb ... PPOOOINTTTT pour Serdaigle ! Magnifique action !!!" Le reste ? Je ne sait pas vraiment j'étais personnellement bien trop préoccupé par mes deux côtes cassées et ces maux de ventre insupportables, sans compter ma cheville foulée.

Voilà, ça y est, j'y suis. Mon premier match en temps que capitaine des Poufsouffle. Autant dire que je sentais la pression monter, mais j'allais gérer, j'étais un compétiteur dans l'âme. Comme d'habitude, j'avais bien analysé la situation pour ce match. On jouait contre Gryffondor, et je devais avouer que l'équipe des chatons était redoutable. Alors j'avais fait ce que je faisais le mieux: j'ai listé leurs points forts et leurs faiblesses, ainsi que les nôtres, pour voir ce qu'on pouvait faire. C'était ça aussi être capitaine. Il fallait savoir regarder la réalité en face et admettre quand on était moins bon dans un domaine. Leurs poursuiveurs étaient très bons, légèrement meilleur que les nôtres. Niveau attrapeur, je pense que les deux se valent. Mais là où on pouvait faire la différence, c'était sur les batteurs. Ce n'était pas de la vantardise, mais j'avais toujours excellé à ce poste et même si je ne jouais pas avec Arthur, on se comprenait très bien avec le deuxième batteur. C'est pour ça que j'avais réuni mon équipe pour leur proposer ma stratégie qui serait, je l'espère gagnante.
"Aujourd'hui est un grand jour, parce que nous avons l'occasion de clore le bec des chatons en les battant sur le terrain. Votre travail à l'entrainement a été excellent, et je tiens déjà à vous dire que je suis fier de l'engagement dont vous avez fait preuve. Mais il ne faut pas s'arrêter maintenant. Aujourd'hui, j'attend de vous que vous donniez tout sur le terrain. Et pour vous aider, voici la stratégie qu'on va mettre en place: les poursuiveurs, vous allez utiliser les plans de jeu qu'on a travailler à l'entrainement. Vous les métrisez et vous vous comprenez bien, je suis sur que ça va marcher du tonnerre. Il faudra aussi faire attention aux cognards car nous, les batteurs, on va tacher de les envoyer aux maximum sur les poursuiveurs de l'équipe adverse, quitte à vous laisser un peu moins protéger. Ca vous donnera l'occasion de récupérer la balle le plus souvent possible et de tromper leur gardien. Oubliez pas qu'il a tendance à moins s'occuper de l'anneau central, donc tentez votre chance là. Gardien, on connait tes qualités et les batteurs ont va tout faire pour te simplifier la tâche. Fait attention, ils ont une forte tendance à feinter sur l'anneau droite pour au final tirer à gauche. Quand à notre attrapeur, on compte sur toi pour le battre, on sait que tu en ais capable. Je crois en vous, donnez tout et la victoire sera à nous! "
Je voyais que mes troupes étaient motivées. Le match pouvait commencer, et les gryffons n'avaient qu'à bien se tenir.